• 14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Le 14 juillet 1789, la Bastille est prise d'assaut par les Parisiens. De ce jour date la fin de l'«Ancien Régime» et le début de la Révolution française.

    La Fête nationale du 14 juillet perpétue le souvenir de cet évènement.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Le siège et la reddition de la forteresse royale s'inscrivent dans une période de vide gouvernemental, de crise économique et de tensions politiques à la faveur de la réunion des États Généraux et de leur proclamation par le Tiers en Assemblée constituante. L'agitation du peuple parisien est à son comble suite au renvoi de Necker (11 juillet) et du fait de la présence de troupes mercenaires aux abords de la ville.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    La forteresse était défendue par une centaine d’hommes qui firent près de cent morts parmi les assiégeants. Il y en eut six parmi les assiégés, dont le gouverneur de Launay. Cependant, la reddition de la Bastille fit l’effet d’un séisme, en France comme en Europe, jusqu'en Russie impériale.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    D'emblée, l'évènement est considéré comme un tournant radical dans le cours des évènements par les Parisiens et le pouvoir royal. Il marque l'effondrement de l'administration royale et provoque une révolution municipale. La capitale puis le pays se mobilise derrière les Constituants. De plus, il est immédiatement mis en scène et célébré par ses partisans. Il revêt par la suite une charge symbolique extrêmement forte dans la culture politique républicaine.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    La Fête de la Fédération fut organisée à la même date l’année suivante, pour coïncider avec le premier anniversaire de l’évènement. La date du 14 juillet fut choisie en 1880 pour célébrer la fête nationale française en souvenir de cette double commémoration.

     Le 14 juillet 1789, la forteresse ne comptait que sept prisonniers : quatre faussaires, dont le procès était en cours d'instruction ; deux fous, Auguste Tavernier et de Francis Xavier Whyte dit chevalier de Whyte de Malleville ; un noble, criminel, enfermé à la demande de sa famille, le comte de Solages. Les autres prisonniers, comme le marquis de Sade ou Anne-Gédéon Lafitte de Pelleport avaient été transférés ou libérés peu avant. « Quasi vide sans doute, mais surchargée : surchargée de la longue histoire entretenue entre la monarchie et sa justice ». Ainsi, une légende noire enveloppait la forteresse et en faisait le symbole du despotisme ministériel ou de l'arbitraire royal. Cette image, dont témoigne les Cahiers parisiens explique pour une part l'« émotion populaire » de cette journée du 14 juillet.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Le peuple de Paris était inquiet depuis plusieurs jours, craignant que les troupes étrangères massées autour de la capitale depuis juin ne finissent par être utilisées contre les États-généraux ou pour servir un hypothétique massacre de la population des « patriotes ». Les échos et la publicité des débats de l'Assemblée ont autant compté dans la mobilisation populaire que « la colère et des peurs cumulés dans les différentes strates de la population parisienne », peur d'un « complot aristocratique », peur de la disette alimentée par les fantasmes d'un « pacte de famine ». Au 14 juillet, le prix du pain atteint son maximum depuis le règne de Louis XIV. La question frumentaire est au cœur de l'insurrection. Le portrait des émeutiers confirme ces préoccupations de subsistance. « Gens de métiers », artisans, commis de boutiques, les cortèges sont composés de salariés des faubourgs, père de famille, pour les deux tiers alphabétisés.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Le 14 juillet, 10 h, les émeutiers s’emparent des fusils entreposés aux Invalides. Devant le refus de son gouverneur, une foule composite — près de 80 000 personnes dont un millier de combattants — se présente pour s’en emparer de force. Pour défendre l’Hôtel des Invalides il existe des canons servis par des invalides mais ceux-ci ne paraissent pas disposés à ouvrir le feu sur les Parisiens. À quelques centaines de mètres de là, plusieurs régiments de cavalerie d’infanterie et d’artillerie campent sur l’esplanade du Champ-de-Mars, sous le commandement de Pierre-Victor de Besenval. Celui-ci réunit les chefs des corps pour savoir si leurs soldats marcheraient sur les émeutiers. Informé de leur refus, Besenval décide d'abandonner sa position et de mettre ses troupes en route vers Saint-Cloud et Sèvres. La foule escalade les fossés, défonce les grilles, descend dans les caves et s’empare des 30 000 à 40 000 fusils à poudre noire qui y sont stockés ainsi que vingt pièces de bouches à feu et d’un mortier. Les Parisiens sont désormais armés. Il ne leur manque que de la poudre à canon et des balles. Le bruit court qu’il y en a au château de la Bastille. Besenval avait en effet donné l'ordre de stocker la poudre dans la forteresse.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    La Prise de la Bastille.

    À 10 h 30, une délégation de l'Assemblée des électeurs de Paris se rend à la Bastille. Les membres du Comité permanent n'envisagent pas de prendre le bâtiment par la force mais souhaitent ouvrir la voie des négociations. Pressés par la foule des émeutiers, notamment ceux du faubourg populaire de Saint-Antoine où l'affaire Réveillon a été un épisode marquant de la pré-révolution, les électeurs envoient une délégation au gouverneur de la Bastille, Bernard-René Jordan de Launay. Ce dernier a pris soin de la mettre en défense en calfeutrant des fenêtres, surélevant des murs d'enceinte et en plaçant des canons sur les tours et derrière le pont-levis. La délégation a pour mission de demander le retrait des canons et la distribution de la poudre et des balles aux Parisiens qui forment la « milice bourgeoise ». En effet, au-dessus du portail monumental de la Bastille construit en 1643, se trouve un arsenal, magasin d’armes et de poudre. Par mesure de sécurité, de Launay les fait déplacer la nuit précédente vers une cour intérieure. Cette délégation est reçue avec amabilité, elle est même invitée à déjeuner, mais repart sans avoir eu gain de cause. Cependant, la foule s'impatiente et certains imaginent que la délégation est retenue prisonnière. Ce quiproquo aggrave les tensions.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    À 11 h 30, une deuxième délégation mené à l'initiative de Jacques Alexis Thuriot, accompagné de Louis Ethis de Corny, procureur de la ville, se rend au fort de la Bastille. Thuriot qui souhaite éviter un affrontement, presse les Invalides pour passer la seconde enceinte, inspecte les lieux et demande des garanties. Le gouverneur s'engage à ne pas prendre l'initiative des tirs. La foule des émeutiers armée des fusils pris aux Invalides se rassemble devant la Bastille. Elle amène avec elle cinq des canons pris la veille aux Invalides et au Garde-Meubles, dont deux canons damasquinés d’argent offerts un siècle auparavant par le roi de Siam à Louis XIV. Ils sont servis par des militaires ralliés à la foule et tirent sur les portes de la forteresse.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    À 13 h 30, les quatre-vingt-deux invalides défenseurs de la Bastille et trente-deux gardes suisses détachés du régiment de Salis-Samade ouvrent le feu sur les émeutiers qui continuent leurs assauts sur la forteresse, faisant une centaine de tués. Durant trois heures et demie, la Bastille est alors soumise à un siège régulier. 

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Une troisième délégation se rend à la Bastille à 14 h, dans laquelle se trouve l’abbé Claude Fauchet, suivi à 15 h d'une quatrième avec de nouveau Louis Ethis de Corny, accompagné de Louis-Lézin de Milly, son secrétaire, du comte Piquod de Sainte-Honorine, de Poupart de Beaubourg, Boucheron, Fleurie, Jouannon et Six. Cette dernière délégation, voulue dans les formes par le comité permanent de l'Hôtel de Ville, affublée d'un tambour et d'un drapeau pour afficher son caractère officiel, se présente devant le marquis de Launay mais n’obtient toujours rien. Pire, les parlementaires reçoivent une décharge de mousqueterie qui toucha la foule. Les soldats de la garnison de la Bastille et les assiégeants échangent des tirs. Dans la confusion, même cette dernière délégation fut prise à partie par la foule des assiégeants. Les négociations sont dès lors closes, et c'est par la force que l'on compte prendre la forteresse.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    À 15 h 30, un détachement de soixante-et-un garde-françaises sous le commandement de Pierre-Augustin Hulin et Jacob Job Elie, anciens sergents aux Gardes-Suisses se présentent devant la Bastille avec cinq canons. Ces canons sont mis en batterie contre les portes et le pont-levis du château. L'attaque proprement dite de la forteresse débute.

    La reddition de la Bastille

    À 17 h, la garnison de la Bastille rend les armes, sur promesse des assiégeants qu’aucune exécution n’aura lieu s’il y a reddition. De Launay n'a que peu de confiance sur les forces de ses garnisons et trop peu de vivres pour tenir un siège.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Arrestation du Marquis de Launay

    Les émeutiers, parmi lesquels on dénombre une centaine de tués et soixante-treize blessés envahissent la forteresse, s’emparent de la poudre et des balles, puis libèrent les sept captifs qui y étaient emprisonnés. La garnison de la Bastille, prisonnière, est conduite à l’Hôtel de Ville pour être jugée. Sur le chemin, de Launay est massacré. Sa tête est découpée au canif par un garçon cuisinier nommé Desnot, avant d'être promenée au bout d'une pique dans les rues de la capitale. Les têtes de de Launay et de Jacques de Flesselles, prévôt des marchands de Paris sont promenées au bout d’une pique dans les rues de la capitale jusqu’au Palais-Royal. Plusieurs des invalides trouvent aussi la mort pendant le trajet. De Flesselles est assassiné sur l’accusation de traîtrise.

    14 juillet 1789 La prise de la Bastille

    Têtes de Jacques de Flesselles et du Marquis de Launay au bout de piques.

    À 18 h, ignorant la chute de la Bastille, Louis XVI ordonne aux troupes d’évacuer Paris. Cet ordre est apporté à l’Hôtel de Ville à deux heures du matin.

     * Sources : Wikipédia

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 10:44

    Bonjour ma petite Vero ,tu es en plein dans l'histoire de France ! vas tu voir le défilé du 14 juillet , moi je le regarde toujours à la télé à défaut de le voir en réel!!!!!

    Bon week-end ma petite Vero Gros bisous Hélène

    2
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 10:50

    ... Oh non, je n'irai pas voir le défilé 1) trop de monde et de 2) j'ai d'autres obligations ce jour là.

    3
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 11:01

    Une très belle page d'histoire ma Véro, magnifiquement illustrée. Bravo et merci de cet excellent partage. Bises et bonne journée. ZAZA

    4
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 11:06

    une page de notre Histoire , bien ou pas , je ne sais pas , au regard de ce qui s'est passé ensuite avec les colonnes infernales et tout ce bain de sang !

    bisous

    5
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 11:38

    Sur les timbres aussi, ils avaient l'habitude de couper les têtes .....

     

                             

    Un article superbement documenté et illustré.  Pour ma pert, j'ai cherché Louis XVI en timbre, il y en a hyper peu .... !  Pour le défilé, je l'ai regardé l'an dernier à la télé, cette année peut être pas. Le même jour, il y a une fameuse étape vosgienne, avec la "planche des belles filles". Un peu ma région.

    Amicale bisou. Yann.

    6
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 11:41

    Un superbe article sur le juillet bravo bisoussssssss 

    7
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 11:58

    Bonjour Véronique, magnifique article sur la prise de la Bastille avec de jolies gravures de l'époque... Bonne journée, gros bisous

    8
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 13:31

    Bonjour véro et merci magnifique documentation de cette journée qui est le 14 juillet ... je vais me faire un plaisir de regarder le défilé et toi peut-être y seras-tu ? doux WE  bisous !!!

    9
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 13:53

    Coucou Véro,
    Voilà un bel article bien illustré pour nous rafraîchir la mémoire, et la date anniversaire approche.
    Merci pour tes recherches.
    Bise et bonne journée

    10
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 14:50
    merci pour ce superbe article
    bien illustré
    la prise de la bastille toujours dans la mémoire de notre pays
    bonne journée
    bises Véronique
    11
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 14:52

    Bonjour Véro, merci pour ce rappel, très importante cette date, la prise de la Bastille !!!  bon vendredi gros bisous Rozy

    12
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 15:00

    bonjour Véro,

    Merci pour cet article très documenté et illustré et bravo pour le travail que tu accomplis à chaque fois On  perçoit bien la puissance violence imprévisible de la foule en colère et la Révolution en marche ,porteuse de valeurs mais aussi d'horribles débordements...

     Bises .

    13
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 15:04
    Jackie F

    Un superbe article

    Merci Véronique

    `Bises

    14
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 15:17

    Superbe article sur un moment important de notre histoire

    a bientôt

    lyly

    15
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 16:22

    Joli documentaire et belle recherche. Tes articles sont toujours très intéressants.

    16
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 16:23

    Je viens te souhaite un très bon week-end Véro et un agréable 14 juillet !

    GROS BISOUS.

    17
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 16:26

    yes Bonjour, bonsoir, ma chère, Véronique, me voici, sur ton agréable blog ! où j'admire ton intéressant article ! Je passais te remercier, te souhaiter une bonne fin de semaine, un bon week-end du quatorze juillet, donc, le défilé va se faire certainement sous la pluie, dommage. C'est pas bon, pour la Seine ! Au plaisir, mes très tendres amitiés, de gros bisous, ton amie marseillaise pour ma tite parisienne.

    18
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 17:12

    Un moment historique et on n'hésitait pas à couper les têtes et les porter sur des piques.

    Bises

    19
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 17:48

    un moment d'histoire qui risque un jour de recommencer.. ça sera plus "la prise de l'élysée" aec le président qui sera au pouvoir à ce moment là !!!! LoL

    un bizou ma belle, après avoir eu de la pluie toute la journée, enfin le soleil !!! ça fait du bien..

    on etait en examens à la clinique pour maman sa future opération, tout va bien elle entre le 20 et se fait opérer le 21/7 , beaucoup d'attente, par contre, mais bon c'est fait.. te souhaite un bon vendredi soir, une caresse à tes matous.. et miaou de ma fille aux tiens.. je t'embrasse flO.

    20
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 18:09

    Bonjour Véronique,

    Un petit rappel historique smile

    Bonne soirée

    Bises

    21
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 18:20
    excellent rappel historique pour ce sujet d'actualité; bonne soirée, Véronique; bisous;
    22
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 18:29

    Ton article est superbement illustré !

    Nous possédons une quinzaine de livre sur l'histoire de la Révolution  et plus encore !

    Alain est un passionné de cette époque et il y en 1989 nous avons même organisé une exposition !

    Je vais luis montré ton article !

    Bon week-end à toi

    23
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 18:37

    Merci c'est gentil !

    24
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 18:53

    quand on voit et lit tout ça on note que la violence fait partie de l'homme...pour nous c'est la fête mais à quel prix...parti comme on est à l'heure actuelle la même chose risque d'arriver...quand on y pense c'est triste...je viens d'assister, depuis ma fenêtre,  à une altercation entre une personne âgée et un jeune qui lui a donné un coup de poing...la violence est à fleur de peau d'une certaine jeunesse

    25
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 18:57

    La violence me fait peur arf

    26
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 19:37

    Un épisode de l'histoire que j'ai toujours aimé  entendre évoquer même c'est une certaine période tragique....

    Bises de Mireille du Sablon

    27
    chevrette 13
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 20:24

    bonsoir Véronique, lorsque je vois ces photos je pense au mémorial de la Marseillaise à Marseille, un musée de grande valeur pédagogique, récent et bien monté. J'avais fait des reportages dessus, hélas il est peu visité, j'y suis allée plusieurs fois déjà !!

    bonne soirée

    28
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 20:40
    Chantal33300

    Un vrai cours d'histoire. Très bien fait . bisous et bon weekend

    29
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 20:55

    UN jour inoubliable

    très belle page d'histoire

    je te souhaite une agréable fin de semaine

    très belle soirée

    gros bisous

    30
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 21:20

    Bonsoir Véronique,

    Merci pour votre commentaire. Eh bien dans ma région c'est ce soir que la pluie s'est mise à tomber énormément, par contre cet après-midi bien que les nuages commençaient à envahir le ciel tout doucement j'ai pu faire une sortie vélo d'une trentaine de kilomètres. J'essaie de m'imposer un peu de rigueur et de faire du vélo tout les deux jours ce qui me permettrait avec cet entraînement de perdre peut-être quatre kilos ce qui me permettrait de revenir au poids de 70 kilos et également de continuer à faire diminuer mon cholestérol car d'après mes analyses j'ai réussi à faire enfin chuter un peu mon cholestérol de façon naturel en mangeant des pommes et en faisant à nouveau du vélo régulièrement, je passe moins d'heures devant mon écran d'ordinateur. Je lis dans votre commentaire que décidément la météo est toujours aussi mauvaise sur Paris, mais j'espère pour vous que vous aurez beau temps le 14 juillet car à Paris vous avez l'immense privilège de voir un superbe feu d'artifice, celui de Paris est certainement le plus beau de France, en ce qui me concerne si je me sens courageux pour pédaler le 14 juillet j'irais peut-être faire quelques photographies du feu d'artifice de la ville de Saumur en emmenant mon trépied photo et tout le matériel, mais bon ce n'est pas facile de réussir des photos de feu d'artifice, je ne suis pas hyper doué pour ce genre de clichés. Je vous souhaite une bonne fin de soirée, et merci pour votre sincère et fidèle amitié.

    31
    Vendredi 11 Juillet 2014 à 22:08
    jeanine et rené

    bravo chère Véronique pour cette superbe description de la prise de la Bastille ! et merci pour les illustrations, tu n'étais pas là pour photographier les événements !! merci pour cette remarquable documentation, bonne soiree et grosses bises, je te souhaite un WE ensoleillé !

    32
    Samedi 12 Juillet 2014 à 06:26

    De bien belles illustrations!

    Biz et bon samedi,

    Daniel.

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    33
    Samedi 12 Juillet 2014 à 06:48

    Un grand moment de notre histoire. Les illustrations sont très belles. merci. Bon week-end. Bises

    34
    Samedi 12 Juillet 2014 à 07:09

    ah ça ira... ça ira... ça ira... bisous bon week

    je t envoie un mp

    35
    Samedi 12 Juillet 2014 à 07:25

    Bonjour ma petite véro
    de bien bonnes explications et des photos superbes pour illustrer ton article
    Toujours un temps gris et maussade mais la météo annonce une amélioration pour lundi ;l’espoir fait vivre
    Je te souhaite de passer une bon week-end  et à mardi
    gros bisous de janine

    36
    Samedi 12 Juillet 2014 à 07:30

    Quelle est jolie bagheera ! toute noire comme sheila !! ah on les aime nos bestioles..

    il va faire moins moche aujourd'hui on dirait , on va au marché ce matin avec maman, et faire quelques courses... on va commencer à stocker, de l'eau , litière chat chez elle pour que j'ai pas à courir quand elle reviendra de la clinique, que je m'en occupe surtout au debut, elle ne pourra pas trop rester debout ni faire certaines choses.. bon samedi à toi ma belle et un gros bibi, je t'embrasse FLO

     

    37
    Samedi 12 Juillet 2014 à 08:07

    Bonjour ma petite Véronique...Toujours du bonheur de venir te souhaiter un bon samedi et te donner de gros bisous...Quelle période troublée que celle là, il ne faisait pas bon être parisien à cette époque là ! Ce n'est pas encore le beau temps ce samedi, ici pour le moment, il fait bien brumeux et je pense que nous allons avoir une journée entre soleil et nuages, c'est ce qu'il ont annoncé  ! Gros bisous mon amie et douces caresses à tes petites félines

    38
    Samedi 12 Juillet 2014 à 08:08

    veronique

     de tout temps hélas les guerres marquent dans un pays et la france a bien ses lots de ces méchante spériodes la , de tout temps aussi que de morts jeunes pour se défendre , il ne faut pas trop approfondir car ça nous démoralise et nous faient peur aussi

    je ne suis pas tres assidue au blog pendant les vacances car j aie les petits enfants la plupart du temps et en plus l ordi est dans leur chambre et des qu ils sont réveillés faut les occuper , hier soir j aie ramener la petite d e4 ans chez elle , sa soeur ne reviendra que vers mercredi je pense

     demain nous allons essayer de faire notre pique nique mais le temps sera t il de la partie avec un peu de soleil et ça c est moins sur

     bon week end et je t embrasse

    39
    Samedi 12 Juillet 2014 à 08:21

    Que de violence, mais le peuple était à bout !

    40
    Samedi 12 Juillet 2014 à 09:02

    Bonjour

    Que de sang versé pour un piètre résultat....  Car les privilèges sont toujours là dans notre pays, ils ont seulement changé de noms et de titres...

    Amitiés

    Jean

    41
    Samedi 12 Juillet 2014 à 09:19

    Des moments tragiques.

    Beaucoup oublie la signification des dates fêtées, il est bon de rappeler

     Bon WE

    42
    Samedi 12 Juillet 2014 à 11:56
    très belle journée, Véronique; bisous;
    43
    Samedi 12 Juillet 2014 à 15:28

    Coucou Véronique , merci pour ta rétrospective à l' occasion du 14 Juillet !

    Bonne détente pour ce long week end , bisous 

    Christiane

    44
    Samedi 12 Juillet 2014 à 20:33
    **chatbada**

    Quand j'y pense ... J'en ai des frissons ...

    45
    Samedi 12 Juillet 2014 à 20:37

    C'est vrai c'est horrible !

    46
    Samedi 12 Juillet 2014 à 21:11

    Merci Véronique. Avec toi j'ai pu en savoir plus sur cette histoire épouvantable. Et dire qu'on dit que les années 2000 sont violentes !

    Très bon reportage.

    47
    Dimanche 13 Juillet 2014 à 20:21

    Des temps plus que troublés... L'histoire humaine ne s'est jamais faite dans la douceur, la diplomatie et la compromission, hélas... C'est ainsi et c'est pour ça que lorsque je vois des gens tenter d'édulcorer l'histoire cela m'horripile. La connaissance est ce qui permet de combattre et d'avancer. Bravo pour cette très belle évocation. Je te souhaite un beau week-end, avec de gros bisous. Cendrine

    Semaine très rude pour moi, avec des douleurs pas possible et le traitement pour détruire le muguet dans ma bouche... Je commence à aller mieux mais il faut au moins six mois de traitement avec un régime alimentaire très particulier, bref, une partie de plaisir... J'espère que les choses vont bien pour toi.

    48
    Dimanche 13 Juillet 2014 à 21:04

    Quand on pense à tous ces gens ! tout ce sang ! 

    J'ai bien aimé tes illustrations et la façon dont tu nous as commenté cette fête. 

    Ce soir, Mr est donc devant le match, et sans doute vers 23 h (s'il ne pleut pas) nous descendrons au feu d'artifice, ..... aurai je le courage ????? je me demande hihihi

    Par contre, cette semaine je vais mettre une nouvelle note en ligne ! je suis entrain de la faire et  j'ai pensé à toi *Fleur de Paris en la faisant !!!!!

    bonne et douce fin de journée 

    Christiane

     

    49
    Lundi 14 Juillet 2014 à 12:50

    Bonjour Véronique, 

    toujours de magnifiques articles sur ton blog ! 

    Je te souhaite une bonne fête nationale et je t'embrasse très fort, 

    Nadine

    50
    JP Dudul
    Lundi 14 Juillet 2014 à 14:10

    Bonjour Véro

    J'espère que tu as passé un bon week-end malgré le mauvais temps ?

    Nous sommes allés voir une exposition de peinture, bof bof, sans intérêt pour moi .

    Ensuite une petite visite familiale et fin de l'après-midi pluvieux.

    Je te souhaite une bonne fin de journée : bisous de Jean-Pierre.

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