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Cette toile monumentale du général de Gaulle, de 13 m sur 16 m, composée de 1 016 portraits de compagnons de la Libération (sur les 1 038 femmes et hommes que compte cet ordre) avait été fixée sur la façade de l’Hôtel de Ville. C’est le symbole choisi par la ville de Paris pour marquer la commémoration du 70e anniversaire de l’Appel du 18 juin.
Cette mosaïque de visages en photos noir et blanc était restée exposée jusqu’au 26 ou 27 juin dernier. Un dispositif d’éclairage bleu-blanc-rouge mettait l’œuvre en valeur. La lumière blanche, notamment, éclairait le portrait du général, le bleu et le rouge l’encadraient.
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" Traverse tranquillement le bruit et la fureur et n'oublie pas la paix que peut t'apporter le silence " ( Helen Fielding )
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Arènes de Lutèce : entrée 49 rue Monge , rue des Arènes et la place Capitan . Metro Monge . Ouvert tous les jours du lever au coucher du soleil.
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Cette plaque date de 1951
Erigées au premier siècle de notre ère, les Arènes de Lutéce sont aujourd'hui une oasis d'histoire gallo-romaine au milieu des immeubles haussmanniens qui l'entourent. Typique de l'architecture antique, l'amphithéâtre accueillait près de 15.000 spectateurs, accourus pour assister aux combats de gladiateurs et de fauves. Le chaland peut d'ailleurs apercevoir des cages qui retenaient les bêtes sur le côté de l'amphithéâtre. Comme tous les autres bâtiments de la ville, les arènes furent détruites lors des invasions barbares. Enfouies pendant des siècles dans le sous-sol parisien, elles furent redécouvertes lors du percement de la rue Monge au cours de grands travaux des années 1860.
Les Arènes de Lutèce
Les arènes de Lutèce sont situées dans la rue Monge, dans le Ve arrondissement de Paris.
Les arènes de Lutèce sont « le plus vieux monument de Paris » dans son site d'origine. Elles sont en deuxième position seulement, derrière l'obélisque de la Concorde, si l'on prend en compte les monuments transplantés.
Ces arènes étaient autrefois le lieu de combats à mort, et environ 17 000 personnes pouvaient assister aux combats entre hommes et animaux, ainsi qu'à des représentations de comédies et de drames. Construites à la fin du Ier siècle après J.-C., les arènes restèrent en activité jusqu'à la première destruction de Lutèce, à la fin du IIIe siècle.
La ferveur catholique naissante rendit suspect cet art empreint du paganisme antique, et alors que les grandes invasions, obligeaient la ville à se fortifier, les édifices publics voués au spectacle, furent transformés en carrières, pour la construction des fondations des enceintes. L'amphithéâtre devint tout d'abord un lieu de sépulture, et enfin fut remblayé.
L'édifice recouvert sombra dans l'oubli jusqu'à son acquisition, en 1869, par la Compagnie générale des omnibus, qui le redécouvrit lors de travaux de terrassements. Retrouvés lors du percement de la rue Monge, ses vestiges sont aujourd'hui, totalement intégrés à l'architecture urbaine, on peut même y retrouver les cages qui ont servi à enfermer les lions du cirque.
Le 27 juillet 1883, Victor Hugo adresse une lettre au conseil municipal de Paris pour défendre les Arènes de Lutèce, menacées de destruction. Quelques jours après, le conseil se porta acquéreur des vestiges qui furent classés monuments historiques. La disparition du dépôt d'omnibus en 1916 permit de mettre à jour une autre partie des arènesLes cages aux lions ...
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