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Eduardo Carmona est né en 1950 en Colombie. Il a suivi des études d'ingénieur en mécanique et d'administration des entreprises avant de passer à l'études des Arts Plastiques. Sa technique de sculpture repose sur l'assemblage de pièces de métal pour aboutir à des oeuvres figuratives monumentales ou de tailles humaines.
Malgré les matériaux utilisés, les formes stylisées et le réalisme de certains détails, ses sculptures expriment une impression de fluidité et de mouvement et, à l'image, il s'en dégage une grande poésie.
@ Source : Petit Patrimoine.
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Hervé GHESQUIERE et Stéphane TAPONIER libérés !!
Ils étaient privés de liberté depuis 547 jours.
Photos de la façade de "France Télévisions" dimanche 26 juin 2011
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Carmona, sculptures au fil de l'eau, du Port de Javel au Port de Suffren à Paris, du 12 mai au 30 septembre 2011.
Jeune femme à l'ombrelle emportée par le vent
Des pieds de la Tour Eiffel au parc André Citroën, les bords de Seine accueillent 26 sculptures monumentales de l'artiste colombien Edgardo Carmona. Une promenade de port en port qui permet de découvrir une oeuvre pleine d'humanité et d'humour, mais aussi des quais parisiens en dehors des sentiers battus.
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Survoler Paris en ballon, c'est possible depuis 2002 sur la pelouse du parc André Citroën. Ce grand ballon gonflé à l'hélium, haut de 32 mètres, visible depuis le sud de Paris, est accessible au public pour le plus grand plaisir des petits et l'émerveillement des grands. Relié au sol par un câble de 150 mètres, il fonctionne comme un ascenseur silencieux, propulsé par la légèreté de l'hélium.
L'altitude de 150 mètres offre une vue incomparable sur Paris, notamment sur la Tour Eiffel, c'est l'occasion de découvrir les principaux monuments de la capitale.
Le prix est un peu élevé. Weekend et jours fériés 12 € par adulte, 10 € pour les enfants de 12 à 17 ans, 6 € pour les enfants de 6 à 12 ans.
Semaine : 10 € par adulte, 9 € pour les 12 à 17 ans et 5 € pour les 3 à 11 ans.
Ouvert tous les jours de 9 h à 18 h 30 (en fonction des conditions météo) Métro ligne 10, station Javel-André Citroën, ligne 8, station Balard.
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Bateaux sur le Canal de l'Ourcq, Pantin (93)On aperçoit au fond, les anciens Moulins de Pantin
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Lys d'un jour, hémérocalle
Vivaces d'été par excellence, les hémérocalles ou lys d'un jour sont appelées ainsi car leurs fleurs ressemblent à celles du lys et ne dure qu'un jour, mais elles se renouvellent pendant un bon mois en été. Certaines sont remontantes, ce qui permet d'obtenir une floraison de juillet jusqu'aux gelées. Elles sont solides et de culture facile.
" White Temptation " et une syrphe
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Lac Daumesnil : Oisillons Bernache
Ils sont moins jaune et commencent à ressembler à de petites oies ...
Quand vint le temps de choisir un nid, la femelle revient à l'endroit où elle a vu le jour. Mis à part quelques exeptions, elle retournera chaque année au même endroit.
Les Bernache du Canada se nourrissent surtout sur la terre. Au printemps et en été, elles s'alimentent surtout de feuilles de graminées, mais elles mangent également une grande variété de feuilles, de fleurs, de tiges, de racines de graines et de baies.
Les liens familiaux sont fort chez les Bernache du Canada, les oisons demeurent avec leurs parents une année entière.
A mesure que les oisons grandissent, des plumes couvrent petit à petit le duvet, et lorsque les jeunes Bernache sont prêtes à voler à la fin de l'été, il est difficile de les différencier de leurs parents.
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Ciel gris sur Vincennes
Le mauvais temps semble toujours pire lorsqu'on le regarde à travers une fenêtre. (John Kieran)
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Lac des Minimes - Vincennes : Famille de cygnes
Papa cygne, toujours aussi aimable ...
Maman cygne
Ils sont toujours aussi mignons ...
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Lac Daumesnil - Vincennes
Voici encore quelques fleurs prises en photo le week-end dernier autour du Lac Daumesnil à Vincennes
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Montmartre : Le Moulin Rouge
Le Moulin Rouge est inauguré le 6 Octobre 1889 par Joseph Oller, inventeur du PMU et fondateur de l’Olympia, et Charles Zidler. Le cabaret attire les foules dès son inauguration, séduisant les Parisiens à la recherche de l’extravagant, de l’éblouissant.
L’atmosphère inimitable d’exaltation qui règne dans le cabaret lui doit un franc succès, et il est surnommé le "Premier Palais des Femmes". Des soirées extravagantes appelées Grandes Revues sont organisées, qui mêlent le cirque, la danse, le théâtre ; c’est la naissance du Music-Hall.Le Moulin Rouge croît en popularité grâce au French Cancan crée par Nini Pattes-enl’Air. Celui-ci s’inspire du Quadrille, une danse inventée en 1850; huit minutes de danse à un rythme endiablé sur une musique d’Offenbach. Dans le French Cancan, les jeunes femmes lèvent la jambe en soulevant leurs jupons pour montrer leurs dessous, évoquant les danses des blanchisseuses de Montmartre.
Très appréciée du public et donnant au Moulin Rouge un caractère unique, cette danse est parfois ressentie comme indécente.Des danseurs et danseuses deviennent célèbres, la Goulue, Miss Jenny, Grille d’égout, Serpolette, Nini Pattes-en-l’air qui ouvrira une école de Cancan, La Môme Fromage, Valentin le Désossé, Jane Avril dite Jeanne la Folle...
Des artistes y trouvent leur inspiration, en particulier Henri de Toulouse Lautrec, qui immortalisera ces scènes colorées et ces danseuses, en particulier La Goulue.
La Goulue, de son vrai nom Louise Weber, voit le jour à Clichy-la-garenne le 13 juillet 1866, dans une famille juive d’Alsace. Sa mère tenait une blanchisserie à Clichy.
La petite histoire dit qu’elle empruntait les vêtements des clientes pour ses sorties. Dansant dans de petits bals de banlieue, Louise Weber devint rapidement grâce à son mentor, Charles Desteuque, une personnalité populaire, aimée à la fois pour ses dons de danseuse et pour sa charmante attitude pleine d’audace.
Despres, les frères Oller et Charles Zidler la lancèrent dans le cancan. Lorsqu’elle dansait le quadrille naturaliste, elle taquinait l’audience masculine par le tourbillon de ses jupes à volants relevés qui laissaient entrevoir sa culotte, et de la pointe du pied, elle faisait voler le chapeau d’un homme. Son premier mentor et son habitude de vider les verres des clients, tandis qu’elle passait à leurs tables, lui valut le surnom de « La Goulue ».
En 1893, elle fut la première vedette à inaugurer la scène de l’Olympia, fondé par Joseph Oller. Elle est en quelque sorte la marraine de spectacle de toutes les stars qui mettront par la suite leurs pas dans les siens.
Au Jardin de Paris, elle apostropha le Prince de Galles, futur Edouard VII : « Hé, Galles ! Tu paies l’champagne ! C’est toi qui régales, ou c’est ta mère qui invite ? » Lorsqu’elle loua un somptueux hôtel particulier, avenue des Champs-Élysées, elle était la star la mieux payée de son époque.
La Goulue arrivant au Moulin Rouge Riche et célèbre, en 1895 elle décida de quitter le Moulin Rouge et À Montmartre, elle rencontra Pierre-Auguste Renoir, qui l’introduisit dans un groupe de modèles qui gagnaient un supplément d’argent en posant pour des artistes et des photographes. Achille Delmaet, compagnon de Marie-Juliette Louvet, qui devint célèbre plus tard, fit de nombreux nus-photos de la Goulue.
Le 6 avril, elle passa commande à son ami Lautrec de panneaux décoratifs pour orner sa baraque de danseuse orientale. En décembre 1895, elle accoucha d’un fils, Simon Victor, de père inconnu (« un prince », disait-elle...). Un modeste forain l’adopta et lui donna son nom. En 1898 elle se produit chez Adrien Pezon qui lui apprend à dresser les lions.
En 1900, à la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, la Goulue épousa le magicien Joseph-Nicolas Droxler (né à Paris le 24 mars 1872, domicilié rue de Belfort à Paris). Il devint dompteur. Le couple habitait 112, boulevard Rochechouart (XVIIIe arrondissement).
Bonne fourchette et alerte buveuse, souffrant de rétention d’eau, La Goulue est décédée à l’hôpital Lariboisière le 29 janvier 1929. Quand elle mourut, elle était domiciliée à Saint-Ouen, dans sa roulotte située 59, rue des Entrepôts. Elle fut enterrée presque sans témoin, mais en présence de Pierre Lazareff, alors âgé de seize ans, et attaché à la direction artistique du Moulin-Rouge, au cimetière de Pantin. Grâce à son arrière-petit-fils Michel Souvais, elle fut exhumée en 1992, et le maire de Paris, Jacques Chirac, ordonna le transfert de ses cendres au cimetière de Montmartre. L’inauguration de son nouveau tombeau fut faite en grandes pompes, avec tous les honneurs des associations montmartroises, de la République de Montmartre, Paris-Montmartre et du Moulin Rouge. Le garde champêtre Anatole et sa compagne, Mick la cantinière, étaient présents, ainsi que Michel Souvais qui prononça l’oraison funèbre. Les fameux petits « poulbots », la chanteuse-danseuse LaToya Jackson, alors à l’affiche du fameux Moulin-Rouge, dirigé par Jacki Clérico, les télévisions et la presse internationale, ainsi que d’eminentes personnalites et deux mille personnes, assistaient à cette cérémonie.
« C’est la Goulue qui inspira Lautrec ! » disait l’actrice Arletty, dont Michel Souvais était le secrétaire bénévole.
La Goulue est décédée le 29 janvier 1929. Ici la tombe de Louise Weber-la Goulue, au cimetière de Montmartre. Sa tombe est toujours fleurie.
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