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Deux corps masculins nus, nerveux, dans une pose dynamique, encadrent la statue très classique de Condorcet qu'ils semblent vouloir atteindre.
L'installation provisoire de sculptures de Daniel Hourdé quai Conti attire le regard par l'association de statues de style académique et d'éclatantes lettres rouges.
Les lettres rouges qui forment le mot ahlala, soutenues d'une main désinvolte par le personnage de bronze, rendent dérisoire la sculpture. Il ne s'agit plus ici de glorifier un homme illustre, comme Condorcet juste à côté, ou de représenter des vertus civiques ou des allégories comme la République plus loin. Le mélange d'art pop et de classicisme, l'utilisation d'une expression triviale, nous font sourire de la pose grandiloquente du modèle et dynamite tout esprit de sérieux.
"ahlala" sculpture de Daniel Hourdé, 1995, quai Conti à Paris
*Source : Internet
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Cette rue commence au quai de Conti (arcade) et finit en impasse, après son intersection avec la rue de Nesle. Sa longueur est de 163 m, dont 14 m pour son tronçon en impasse, au fond duquel se voient les substructions de l'enceinte de Phillippe-Auguste.
Ce n'était encore au XIIIe siècle qu'une ruelle, qui servait de passage aux eaux et immondices de la maison religieuse des Frères Sachets et du jardin du collège Saint-Denis. Dans un acte de 1571, elle est simplement nommée ruelle par laquelle on entre et sort du quai et jardin de l'hôtel Saint-Denis. On la fermait alors à ses deux extrémités, circonstance qui la fît désigner plus tard sous le nom de "rue des deux portes".
Un procès verbal de 1636 lui donne la dénomination de rue de Nevers, parce qu'elle longeait l'hôtel de Nesle, appelé alors de Nevers.
Une décision ministérielle du 2 messidor an VIII, signée L. Bonaparte, a fixé la largeur de cette voie publique à 8 m.
* Souce : Villes et Monuments Dictionnaire.
La rue débute aujourd'hui sous l'immeuble que J. Marrast construisit en 1902 rue Dauphine. Au ciel de la voûte, on peut lire les vers de Claude Le Petit, extrait du Paris ridicule, relatif au pont Neuf.
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Le Messager de Zadkine, au fond le Grand Palais
La sculpture en bois d'après laquelle a été effectué ce tirage en bronze décorait le Pavillon des Bois exotiques à l'exposition internationale de 1937.
Ce Pavillon se situait quai d'Orsay à quelques mètres de l'emplacement actuel de la statue.
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La Flamme de la Liberté
La Flamme de la Liberté est un monument du 8ème arrondissement de Paris, surplombant l'entrée ouest du tunnel du Pont de l'Alma, qui consiste en une reproduction en vraie grandeur de la torche que la Statue de la Liberté à l'entrée du Port de New York.
Le monument mesure 3,5 mètres, se compose d'une sculpture de flamme en cuivre doré, reposant sur un socle en marbre gris et noir.
La Flamme de la Liberté a été offerte à la France par les Etats-Unis en 1989, en remerciement de la restauration accomplie trois ans plus tôt sur la Statue de la Liberté, à l'occasion de son centenaire.
Quatre sites ont alors été proposés par la mairie de Paris pour accueillir la flamme : l'Avenue de New York (devant le musée d'Art Moderne), Avenue du président Kennedy (parvis de la Maison de la Radio), Avenue du président Wilson et la place de l'Alma. C'est ce dernier emplacement qui fut choisi, avec la bénédiction du maire de l'époque Jacques Chirac.
La flamme de la Liberté est aussi, plus généralement, un symbole unissant les deux pays, comme l'était déjà la Statue de la Liberté elle-même, offerte par la France aux Etats-Unis.
Le monument a été inauguré le 10 mai 1989 par Jacques Chirac, alors maire de Paris.
Sur le socle, une plaque commémorative rappelle cette histoire :
" Flamme de la Liberté. Réplique exacte de la flamme de la Statue de la Liberté offerte au peuple français par des donateurs du monde entier en symbole de l'amitié franco-américaine. A l'occasion du centenaire de l'International Herald Tribune. Paris 1887-1987 "
Quelque peu oublié la Flamme de la Liberté a bénéficié d'un regain d'interêt en 1997 lorsque Lady Diana, princesse de Galles, a trouvé la mort suite à un accident de la route dans le tunnel du pont de l'Alma, situé en dessous du monument. Le matin de l'annonce de la mort de Lady Di, le 31 août 1997, le monument à été recouvert de fleurs par des anonymes, et depuis lors, des admirateurs et touristes viennent s'y recueillir, déposer des gerbes, y afficher des messages, des photographies de Diana ou des pages de magazines traitant de l'accident, écrire des graffitis sur le garde-corps tout proche, ou encore prendre des photos souvenirs, détournant la flamme de sa fonction initiale et la transformant en un autel à la mémoire de Diana.
Le monument commémorant officiellement le décès de la princesse, est en fait, le clos des Blancs-Manteaux : un jardin du quartier du Marais, situé au 21 de la rue des Blancs-Manteaux.
Une initiative isolée vise également à faire ériger sur la place de l'Alma un monument en bronze spécialement dédié à Diana, grâce à une souscription privée.
* Source : Wikipédia.
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Le Zouave du pont de l'Alma est une statue de Georges Diebolt, l'une des quatre sculptures représentant les troupes ayant participé à la guerre de Crimée, initialement fixées sur les piles de l'ancien pont de l'Alma à Paris, et la seule qui subsiste aujourd'hui à cet emplacement.
André-Louis Gody (1828-1896), né et mort à Gravelines, est souvent présenté comme le soldat ayant servi de modèle à cette statue ; il aurait été repéré par Napoléon III lui même, lors d'une revue. Cependant, d'autres parlent d'un Breton nommé Nérigot ou Bérizot.
Il est représenté en uniforme de zouave (un fez, une veste courte et ajustée sans boutons, une large ceinture de toile, des culottes bouffantes, des guêtres et des jambières), adossé à des drapeaux et prenant appui sur son fusil de sa main droite. Il est en appui sur sa jambe gauche, en position légèrement hanchée et regarde vers sa droite.
La statue mesure 5,2 mètres de haut et pèse 8 tonnes.
Le Zouave est au pied du pont de l'Alma, côté amont de la pile (côté rive droite). Avant la reconstruction du pont entre 1970 et 1974, il était de l'autre côté du tablier.
* Selon la tradition parisienne, lorsque "le Zouave a les pieds dans l'eau", la Seine est en crue. Lors de la crue historique de 1910, l'eau atteignit les épaules du zouave. Depuis 1974, cependant, le zouave étant placé plus haut qu'il ne l'était originellement, les crues qu'il signale sont plus graves. L'administration fluviale mesure désormais le niveau des crues au pont de la Tournelle.
* Le zouave a eu de nouveau les pieds dans l'eau fin décembre 2010.
* Source : Wikipédia
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GILL André ( 1840-1885 )
95ème division (1ère ligne, K, 29)
Caricaturiste et chansonnier
Louis Alexandre GOSSET de GUINES, plus connu sous le nom d'André Gill, est né à Paris le 17 octobre 1840. Il est le fils naturel du comte de GUINES et de Sylvie Adeline GOSSET.
Sous le pseudonyme d'André GILL, il traverse le second empire en illustrant ses contemporains dans le journal satyrique " La lune " (1865-1868), qui sera interdit.
Il reparaît sous le titre de " L'éclipse " (1868-1876). C'est un journal hautement combatif avec un chiffre de tirage très élevé pour l'époque : 40 000 exemplaires.
On lui doit les caricatures de tout ce qui compte à cette époque, de Richard Wagner, Jules Vallès, Léon Gambetta, Jean Raspail en passant par Victor Hugo, Alexandre Dumas, Gustave Courbet, Félix Nadar, Georges Bizet, Charles Dickens, Emile Zola, Victor Schoecher, Jules Verne, Adolphe Thiers, etc ...
Il est également chansonnier à Montmartre, il fréquente le " Cabaret des Assassins ", qui deviendra célèbre sous le nom du " Lapin Agile ", dont l'enseigne représente un lapin sautant hors d'une marmite ( Lapin à Gill ou La peint A. Gill )
André GILL entre à l'hôpital psychiatrique et n'en sortira que pour sa tombe. Celui qui avait écrit " On ne songe qu'à créer des maisons de fous, quand ouvrira-t-on des maisons pour imbéciles ? " Meurt le 1er mai 1885 dans une cellule de Charenton.
Sa tombe est une concession gratuite par arrêté préfectoral en date du 30 juillet 1887.
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* Monument remarquable et insolite
ARBELOT Fernand ( 1880-1942 )
11ème division, 1ère ligne
De la vie de Fernand ARBELOT nous ne connaissons pratiquement rien, sinon ces deux dates : 1880-1942.
Il aurait exercé la profession d'architecte ...
Il repose avec son épouse sous un curieux et émouvant monument, oeuvre de Wansart, qui représente un gisant tenant dans ses mains le visage de sa compagne.
Cette sépulture rencontre toujours beaucoup d'interrogations et de curiosité de la part des visiteurs du Père Lachaise.
Une épithaphe attire l'oeil :
" Ils furent émerveillés du beau voyage
Qui les mena jusqu'au bout de la vie "
* Source : http://www.appl-lachaise.net/appl/article.php3?id_article=1183
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Le Père-Lachaise est situé sur l'une des sept collines de Paris, celle de Champ-l'Evêque. Cette dernière, qui couvrait au Moyen-Age l'essentiel de la commune de Charonne, appartenait à l'évêque de Paris. On y cultivait des légumes, des céréales et du raisin vendus sur les marchés de Paris.
Champ-l'Evêque, devenu le "Mont-aux-Vignes" sera racheté par Régnault de Wandonne vers 1430. Ce riche commerçant en épices y construira une luxeuse maison de campagne. Le domaine prendra le nom de "Folie-Régnault".
Il sera acquis par Marie L'Huillier le 11 août 1626, pour le compte des jésuites de la maison professe de Saint-Louis de la rue Saint-Antoine qui y construiront une maison de repos et de convalescence. Louis XIV âgé de 14 ans, accompagné du cardinal de Mazarin, assistera le 2 juillet 1652 aux combats entre les troupes royales de Condé et les frondeurs commandés par Turenne dans le Faubourg Saint-Antoine, du sommet de la colline des Jésuites. Le domaine portera alors le nom de "Mont-Louis".
La maison de Régnault, reconstruite et surélevée de deux étages, accueillera le Père de La Chaise, confesseur du roi de 1675 jusqu'à sa mort en 1709. La compagnie de Jésus sera expulsée en 1762, lors de sa mise en vente pour solder une dette du Père de Jacy. La propriété, acquise par un peintre nommé Jean-Baptiste Gratin, sera revendue à la famille Baron en décembre 1771. Jacques Baron, ruiné, cédera les 17 hectares de Mont-Louis au Préfet Nicolas Frochot le 9 ventôse an XII- pour la somme de 180 000 francs.
Celui-ci décidera d'y créer le troisième cimetière extra-muros de Paris, dit cimetière de l'Est, après le cimetière du Nord (l'actuel cimetière Montmartre) et le cimetière du Sud (cimetière du Montparnasse). A cette date les cimetières intra-muros parisiens étaient saturés, la ville ne ne savait plus quoi faire de ses morts et le risque d'épidémie était permanent. Le 21 mai 1765, déjà, une ordonnance du Parlement de Paris avait statué : " Le sol ne pouvant plus consommer de cadavres, les cimetières doivent être supprimés".
Napoléon instituera les fondements des droits et devoirs de la Nation envers ses morts. Réglant le cas des mécréants, athées, suicidés et autres comédiens, trop souvent encore exclus de l'Eglise, il ordonne que "chaque citoyen a le droit d'être enterré quelle que soit sa race ou sa religion". Les sépultures des protestants, juifs, musulmans et orthodoxes côtoieront celle des catholiques. Le cimetière Père-Lachaise ira plus loin dans la tolérance. Outre les tombes faisant allégeance à l'une des religions monothéistes, on remarquera bientôt l'apparition de tombes liées à des sectes ésotériques, à des cultes antiques grecs et égyptiens : ce sont les tombes pyramidales ou en forme d'obélisque, marquées par les emblèmes d'Horus ou d'Osiris, dieux de la mort et de la résurrection. Les tombes des francs-maçons seront bien sûr aussi présentes, avec leur double équerre.
Napoléon imposera des normes de police et d'hygiène renforcées. Son code des communes, qui remet aux municipalités la direction des cimetières, fixera les règles de l'inhumation : suaire, cercueil, pose des corps côte à côte et non l'un sur l'autre, dimensions minimales des cimetières, ventilation, ensoleillement et distance par rapport à l'agglomération urbaine. Le Père-Lachaise sera ainsi le premier cimetière français véritablement laïc et moderne.
Alexandre-Théodore Brongniart se verra confié l'aménagement des lieux en cimetière. Devenu célèbre avant la Révolution pour quelques beaux hôtels particuliers construits dans les quartiers des Invalides et de la Chaussée d'Antin, Brongniart avait aménagé en 1870 - à la demande du marquis de Montesquiou, franc-maçon comme lui - un parc à Maupertuis, près de Coulommiers. Il deviendra l'architecte du palais de la Bourse en 1808.
Le Cimetière de l'Est, d'une superficie de 17 hectares à l'origine, était destiné aux sépultures des Parisiens décédés dans l'un des quatre arrondissements de la rive droite, soit en fosse commune, soit en concession perpétuelle. Brongniart concevra un lieu inédit en France, une sorte d'immense jardin dont les arbres majestueux, d'essences variées, côtoieraient les sépultures sculptées, et dans lequel on pourrait se promener agréablement, le long des allées accidentées, sans être angoissé par la présence de la mort. La mort serait "apprivoisée" dans ce parc où règnent avant tout le charme et la poésie. Les héros stendhaliens Octave et Armance viendront errer dans ce que Stendhal considère à juste titre comme un "jardin anglais, le seul vraiment beau dans sa position qui existe à Paris". L'irrégularité du parc choquera les architectes français du XIXème siècle, fascinés par l'ordre et la symétrie. L'architecte Léonce Reynaud s'offusquera ainsi en 1870 : "Que trouve-t-on au Père-Lachaise ? Une absence complète d'ordre, de caractère, de dignité..."
Les bourgeois refuseront de se faire enterrer dans le cimetière, inauguré le premier prairial de l'an XII (21 mai 1804), situé dans un quartier pauvre et populaire. Le Père-Lachaise ne comptera que 13 tombes en 1804, 44 en 1805, 49 en 1806, 62 en 1807, et 833 en 1812. Le transfert des cendres d'Héloïse et Abélard, de Molière et de La Fontaine, en 1817, balaiera la mauvaise image du cimetière. Ce dernier comptera 33 000 tombes en 1830. Il sera agrandi à cinq reprises entre 1824 et 1850 et loti en 97 divisions délimitées par les allées de l'ancien parc. Il couvre aujourd'hui une superficie de 44 hectares.
Le Père-Lachaise sera le théâtre de violents affrontements entre le 21 et le 28 mai 1871, lors de la Commune. Les Fédérés, ayant installés leur artillerie en plein cimetière afin de repousser les assauts des Versaillais, seront encerclés le 27 mai par les troupes de Thiers, d'un coté, et les Allemands, de l'autre. Les 147 survivants seront fusillés devant le "Mur des Fédérés". On estime à 35000 le nombre de Fédérés enterrés ici.
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Parc Floral de Paris
Pas de nom pour cette fleur, je l'appelle donc "Grande marguerite jaune"
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Parc Floral de Paris : Le lotus
Dans le bouddhisme la fleur de lotus est emblématique de Bouddha. Dans tout le monde indien on compte de très nombreuses peintures, sculptures et représentations de la fleur de lotus. Ceci est dû à la particularité unique du lotus qui est la seule plante aquatique dont la fleur est au-dessus de l'eau contrairement aux nénuphars et autres cousins dont la fleur flotte sur l'eau.
Cette image, connotant la légèreté, de la fleur s'élevant au-dessus de la surface de l'eau rejoint celle de Bouddha si léger qu'il repose comme un chat au-dessus du sol.
Toujours présent dans les autels domestiques et dans les temples, le lotus est à la fois ornement et offrande religieuse.
Le lotus sacré est une plante aquatique, vivace grâce à sa tige en rhizome spongieux, épais, ramifié, portant des tubercules fixés dans le fond de l'étang.
Le fruit composé est constitué par le réceptacle floral charnu ; il ressemble à une pomme d'arrosoir comptant de 15 à 20 alvéoles renfermant chacune un akène de la taille d'une petite noisette.
Les graines du lotus sacré détiennent le record de longévité. En effet, une équipe de chercheurs de UCLA a réussi à faire germer une graine datant d'environ 1 300 ans provenant du lit asséché d'un ancien lac à Pulantien, dans la province chinoise de Liaoning. On attribue cette longévité au péricarpe très dur et très étanche qui recouvre le fruit et qui le protège de l'humidité et des agents externes.
* Source : Wikipédia
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Parc Floral de Paris : Le chardon
Chardon est un terme générique qui désigne de nombreuses espèces de plantes épineuses appartenant principalement à la famille des Asteracees, notamment les genres carduus (les chardons proprement dits), Cynara (les artichauts), et Circium (les cirses)
Originaire du bassin méditérranéen, l'espèce C. cardunculus aurait été amenée en Egypte il y a 2 000 ou 2 500 ans, pour se diffuser ensuite vers l'Ouest. On a longtemps consommé les feuilles et les fleurs de chardon.
Les Grecs et les Romains attribuaient aux chardons de nombreuses propriétés médicinales et les tenaient en très haute estime, n'hésitant pas à payer de fortes sommes pour se les procurer.
Ils étaient aussi réputés pour réduire à néant les mauvais présages et chasser les démons. Les femmes enceintes en ingéraient, pensant s'assurer d'avoir un garçon.
Le chardon aux ânes, est l'emblème de la Lorraine, en réfèrence duquel la devise des ducs de Lorraine était " Qui s'y frotte, s'y pique"
Austérité, utilité, agressivité.
"Oursin de Provence" Source : Wikipédia
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Parc Floral de Paris : Le pavillon aux papillons : Le Silène
Le Silène est un grand papillon qui se rencontre surtout dans la moitié sud de la France, dans les prairies et les friches sèches.
Le mâle et la femelle sont identiques.
Les ailes sont noir-noirâtre, avec une bande blanche qui est continue sur les ailes arrières mais plus discontinue sur les ailes avant.
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