• Parc Floral de Paris : La légende du paon bleu

    Je vous ai souvent parlé du paon bleu, mais connaissez-vous sa légende ? 

    Parc Floral de Paris : La légende du paon bleu

    La déesse Héra était la déesse du mariage légitime et elle était très jalouse des infidélités de son époux Zeus. Et oui Zeus n'était pas fidèle du tout ! 

    Zeus pour ne pas éveiller les soupçons de son épouse, transforma une de ses maîtresses, la belle Io, en génisse et pour la rencontrer facilement sans que Héra se doute de quelque chose, il se transforma lui même en taureau. 

    Mais bon, comme tout le monde le sait, les femmes sont très intelligentes, et bien sûr Héra se rendit compte du stratagème et demanda à son époux en gage d'amour de lui offrir cette belle génisse blanche, et elle décida de la faire garder et surveiller par Argus.

    On ne pouvait trouver mieux que Argus comme  geôlier : en effet, celui-ci possédait 100 yeux, dont 50 restaient toujours ouverts.

    Zeus furieux envoya alors Hermès pour délivrer Io. Hermès réussit à endormir Argus en lui jouant de la flûte et le tua.

    En apprenant ce crime, Héra entra dans une grande colère, puis, récupérant les yeux d'Argus, elle les sema sur la queue du paon.

    Parc Floral de Paris : La légende du paon bleu

    Cet animal lui fut dès lors consacré et on représente souvent Héra accompagnée d'un paon.

    Parc Floral de Paris : La légende du paon bleu

    * sources : http://benissa.over-blog.com/article-la-legende-du-paon-44626354.html

     

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  • Parc floral de Paris : le goéland argenté

    Le Goéland argenté est considéré comme très commun, même si sa population a connu une régression dans toute l'Europe. Il n'en reste pas moins probablement le plus répandu des goélands dans nos régions.

    Parc floral de Paris : le goéland argenté

    A l'origine oiseau de bord de mer, mais souvent présent dans les campagnes environnantes, surtout en hiver. On le trouve maintenant un peu partout, y comprit en ville où notre habitat lui constitue un ersatz de falaise qui lui convient bien et où il niche volontiers sur les toits.

    Parc floral de Paris : le goéland argenté

    Cet oiseau essentiellement blanc et gris a un corps assez puissant, et relativement court par rapport à la longueur de ses ailes. Tout comme de nombreux genres d'oiseaux de mer, aptes à planer aussi bien au ras de l'eau qu'en altitude, il a une envergure importante et des ailes étroites.

    Parc floral de Paris : le goéland argenté

    Les pattes courtes, le bec comprimé latéralement, avec l'arête de la mandibule supérieure courbe, dénotent un oiseau de la  famille des Laridés. La corpulence, la longueur égale des plumes de la queue (rectrices), le bec fort et légèrement crochu au bout ainsi que le motif des couleurs sur les rémiges primaires sont caractéristiques du genre Larus.

    Parc floral de Paris : le goéland argenté

    La couleur gris moyen du dos, la couleur blanc pur de la tête, du cou, de la gorge et de la face inférieure, l'arête de la mandibule inférieure faisant un angle marqué, ainsi que les marques noires et blanches à l'extrémité de chaque aile, constituent des éléments caractéristiques de l'espèce. Le bec est jaune et présente une tache rouge sur la mandibule inférieure. La couleur des pattes palmées est rose chair. L'iris de l'œil est jaune pâle.

    Parc floral de Paris : le goéland argenté

    Le ton de gris du dos et l'importance des marques blanches et noires à la pointe des ailes, c'est-à-dire à l'extrémité des rémiges primaires sont variables selon les sous-espèces.

    Parc floral de Paris : le goéland argenté

    * sources : pour en savoir plus sur le goéland argenté :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Go%C3%A9land_argent%C3%A9

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  • Parc floral de Paris : Corète du Japon, KERRIA japonica ‘GOLDEN GUINEA’

    La Corète du Japon (Kerria japonica) est un arbuste de la famille des Rosaceae.

    Parc floral de Paris : Corète du Japon, KERRIA japonica ‘GOLDEN GUINEA’

    C'est un arbuste à la végétation vigoureuse, très foisonnante, aux tiges grêles toujours vertes, aux feuilles caduques et dentées, aux fleurs à 5 pétales pour l'espèce type, d'un jaune profond.

    Parc floral de Paris : Corète du Japon, KERRIA japonica ‘GOLDEN GUINEA’

    C'est un arbuste qui drageonne énormément.

    Plusieurs erreurs d'interprétation ont été faites sur cette espèce avant qu'elle ne soit correctement identifiée. Cette plante n'est pas originaire du Japon, pays où elle a été naturalisée, mais de Chine. Elle avait été classée comme telle par les botanistes européens qui avaient travaillé au XVIIIe siècle sur des descriptions écrites provenant du Japon.

    Parc floral de Paris : Corète du Japon, KERRIA japonica ‘GOLDEN GUINEA’

    Aux premiers échantillons rapportés il manquait les fleurs, ce qui provoqua son classement dans la famille des Tiliaceae. C'est Augustin Pyrame de Candolle qui identifia correctement la plante en créant un genre particulier Kerria dans la famille des Rosaceae.

    Parc floral de Paris : Corète du Japon, KERRIA japonica ‘GOLDEN GUINEA’

    Cet arbuste de culture facile est maintenant très répandu dans les jardins et les parcs sous climat tempéré et offre une abondante floraison jaune au printemps, plus faible en automne. C'est surtout la variété à fleurs doubles (Kerria japonica pleniflora) dont les fleurs forment des sortes de pompons aux pétales fripés qui est multipliée par les horticulteurs.

    Parc floral de Paris : Corète du Japon, KERRIA japonica ‘GOLDEN GUINEA’

    * sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cor%C3%A8te_du_Japon

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  • Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    Prunus serrulata est une espèce de cerisier originaire d'Asie (Japon, Corée, Chine) largement utilisé comme arbre d'ornement pour sa splendide floraison printanière.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    En français, il est appelé Cerisier du Japon, Cerisier des collines, Cerisier à fleurs japonais ou Cerisier oriental.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    C'est un petit arbre (8 à 12 m maximum) à houppier dense. Sa fine écorce est brune.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    Ses feuilles caduques, vertes, simples, lancéolées et dentées sont alternes et à court pétiole. Elles virent au jaune orangé en automne.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    Le cerisier japonais commence à fleurir abondamment dès les premières chaleurs d'avril pour faner vers la mi-mai. Le fruit est une petite drupe noire.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    À la fin de l'automne, les feuilles vertes virent au jaune ou au rouge.

    Au mois d'avril, les Japonais célèbrent la floraison de cet arbre lors de manifestations appelées Hanami (ou Ohanami).

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    En Europe et en Amérique du Nord, on le greffe habituellement sur du Prunus avium.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    Les variétés cultivées ont pour la plupart des fleurs doubles ou pleines suite à la mutation des étamines en pétales supplémentaires. Par conséquent, ces fleurs sont stériles et ne produisent donc pas de fruit.

    Parc Floral de Paris : Le cerisier du japon, Prunus serrulata

    * sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Prunus_serrulata

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  • J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non pour m'assurer de l'existence de l'arbre - dont je ne doute pas - mais de la mienne.  Christian Bobin

    Parc floral de Paris : la pie qui chante

    Légèreté de l'oiseau qui n'a pas besoin pour chanter de posséder la forêt, pas même un seul arbre Christian Bobin

    Parc floral de Paris : la pie qui chante

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  • Parc floral de Paris : pommiers à fleurs : Malus Niedzwetzkyana -> Rosaceae

    Un superbe pommier à fleurs originaire des montagnes Tian-shan en Asie centrale. Adulte, il aura la taille d'un pommier (4/5 m).

    Parc floral de Paris : pommiers à fleurs : Malus Niedzwetzkyana

    Au printemps, il se couvre de milliers de grandes fleurs rose foncé. C'est l'un des pommiers à fleurs les plus florifères. Son jeune feuillage est souvent pourpre.

    Parc floral de Paris : pommiers à fleurs : Malus Niedzwetzkyana

    Un beau petit arbre. Plants de 80 cm environ.

    Parc floral de Paris : pommiers à fleurs : Malus Niedzwetzkyana

    Les Rosaceae sont une famille botanique qui réunit environ 3 370 espèces réparties en plus d'une centaine de genres. Cette famille cosmopolite comprend aussi bien des plantes herbacées vivaces que des arbustes ou des arbres.

    Parc floral de Paris : pommiers à fleurs : Malus Niedzwetzkyana

    * sources : http://www.pepinieredesavettes.com/pepiniere/malus-niedzwetzkyana,497

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  • Parc Montsouris : L'accident de carrière d'Henri Bouchard

     Parc Montsouris : L'accident de carrière d'Henri Bouchard

    La sculpture d'Henri Bouchard placée dans le parc Montsouris depuis 1910 met en scène trois ouvriers d'une mine ou d'une carrière, deux d'entre eux portant sur leurs épaules le corps de leur camarade mort au travail.

     Parc Montsouris : L'accident de carrière d'Henri Bouchard

     

     Parc Montsouris : L'accident de carrière d'Henri Bouchard

    Cette sculpture en marbre date de 1906, également appelée " la carrière ", s'inscrit dans la ligne des sujets de prédilection de Bouchard, les hommes au travail (Bouchard a également signé le Vendangeur, le Forgeron, le Moissonneur, le Faucheur).

     Parc Montsouris : L'accident de carrière d'Henri Bouchard

     

     Parc Montsouris : L'accident de carrière d'Henri Bouchard

    * sources : https://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=75114_8

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  • Les statues du parc Montsouris : Thomas Paine, Citoyen du Monde

    L’intellectuel, pamphlétaire et révolutionnaire Thomas Paine, Citoyen du Monde (1737 – 1809). Anglais de naissance, Français par décret et Américain par adoption.

    Les statues du parc Montsouris : Thomas Paine,  Citoyen du Monde

    Réalisée par le sculpteur Borglum en 1938, cette belle statue dorée resta cachée durant toute la Seconde Guerre Mondiale. Elle ne fut érigée que le 29 janvier 1948 sur le trottoir du boulevard Jourdan, côté parc Montsouris, face au pavillon américain de la Cité Universitaire.

    Les statues du parc Montsouris : Thomas Paine,  Citoyen du Monde

    Après avoir été enlevée de son emplacement d’origine suite aux travaux de rénovation des grilles de Montsouris à la fin des années 90, elle fut réinstallée à l’intérieur du jardin au début de l’année 2009.

    Les statues du parc Montsouris : Thomas Paine,  Citoyen du Monde

    Thomas Paine, né le 29 janvier 1737 à Thetford  en Grande-Bretagne et mort le 8 juin 1809 à New York aux États-Unis, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire britannique, américain et français. Il est connu pour son engagement durant la Révolution américaine en faveur de l'indépendance des treize colonies britanniques en  Amérique du Nord. Il a exposé ses positions dans un célèbre pamphlet intitulé Le Sens commun, publié quelques mois avant la signature de la Déclaration d'indépendance des États-Unis en 1776.

    Les statues du parc Montsouris : Thomas Paine,  Citoyen du Monde

    Ses écrits, parmi lesquels figure Rights of Man (1791), ont également exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. 

    Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre Le Siècle de la raison (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme  et milite en faveur du déisme. Dans Agrarian Justice (1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. 

    Les statues du parc Montsouris : Thomas Paine,  Citoyen du Monde

    Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt en 1809 à 72 ans.

    * sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Paine

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  • Parc Montsouris : " Pureté " par Costa Valsenis (1955)

    Parc Montsouris : " Pureté " par Costa Valsenis (1955)

    La pureté (1955) Costas Valsensis. Une sculpture offerte par la communauté grecque de France à la ville de Paris.

    Parc Montsouris : " Pureté " par Costa Valsenis (1955)

    Une sculpture qui ressemble un peu aux sculptures de Maillol vous ne trouvez-pas ?

    Parc Montsouris : " Pureté " par Costa Valsenis (1955) * sources : http://www.paris.fr/

    Parc Montsouris : " Pureté " par Costa Valsenis (1955)

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  • Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    Il y a beaucoup d'oies dans le Parc Montsouris. 

    Bernache nonnette (Bechstein, 1803) – Branta leucopsis

    Semblable à une petite oie, la bernache nonnette se distingue aisément de ses cousines à son cou et à sa poitrine noire, ainsi qu’à sa calotte noire qui enserre sa petite tête blanche comme le voile d’une religieuse dont elle tire son nom. Elle ressemble un peu à la bernache du Canada (que je ne vous présente plus), mais cette dernière a le cou plus allongé.

    Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    La partie dorsale et alaire supérieure sont grises et rayées de blanc. La partie ventrale et le dessous de la queue sont blancs. Le bec petit et noir se prolonge en masque des deux côtés de la tête jusqu’aux yeux. Les pattes palmées sont sombres également.

    Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    La bernache nonnette est grégaire et se déplace en groupes compacts. Les oisons n’étant pas nourris par les parents, ils sont obligés de se débrouiller par eux-mêmes. Lorsqu’ils quittent le nid installé sur un espace pentu, les jeunes se laissent tomber en contrebas en espérant atteindre l’eau ou un espace herbeux (mais de nombreux poussins se fracassent sur les rochers).

    Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    La bernache nonnette est végétarienne et consomme principalement de l’herbe. Elle se nourrit également d’algues en hiver, d’insectes aquatiques, de mollusques et de crustacés. Elle a une préférence pour les végétaux de la zone côtière régulièrement submergée par la mer. Il lui arrive de se rabattre sur les pousses des prairies plus éloignées du littoral.

    * sources : http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/zoologie-bernache-nonnette-13257/

    Oie à tête barrée (Latham 1790) – Anser indicus

    L’oie à tête barrée se distingue par son plumage généralement d’un gris plus clair que les autres espèces d’oies, sa tête blanche et la barre blanche qui marque le cou sur toute sa longueur. Sa tête est rayée de deux bandes noires : celle située sur la partie supérieure est plus large que celle qui barre la nuque, et rejoint chaque oeil. La partie arrière du cou est sombre. Son bec est jaune ponctué d’un point noir à son extrémité, et ses pattes palmées sont jaunes.

    Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    L’oie à tête barrée se nourrit de plantes aquatiques qu’elle trouve dans les lacs qu’elle fréquente, d’herbes telles que la laîche, des carex, des tubercules, des graines, voire des algues.

    Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    L’oie à tête barrée est une grande migratrice. C’est l’espèce qui vole le plus haut : elle a été aperçue à 10.000 m d’altitude. Cette puissance est nécessaire pour franchir les hauts sommets de la chaîne himalayenne. À 8.500 m d’altitude, l’air est rare et la température atteint -40 °C. Son métabolisme est capable de compenser les déperditions thermiques, et son hémoglobine possède la capacité de stocker davantage d’oxygène que les autres espèces. Cet apport supplémentaire d’oxygène lui permet de  supporter le froid glacial de la troposphère et le manque d’air. L’oie à tête barrée est grégaire même pendant la période de nidification. Elle se mêle à d’autres espèces sur ses lieux d’hivernage.

    Parc Montsouris : la Bernache nonnette et L’oie à tête barrée

    * sources : http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/zoologie-oie-tete-barree-13236/

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  • La photo du weekend : Parc Montsouris : cache-cache

    Héron cendré, Parc Montsouris

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  • Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

    Je vous présente "JULIA" et "JULIEN" un couple de cygnes noirs d'Australie. Ils sont très unis et également très bavards. Alors d'après les habitués du parc Montsouris, "Julia" a une bague orange à la patte et "Julien" une bague noire.

    Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

    Les deux grands oiseaux se déplacent avec grâce sur le lac, ils sortent également de l'eau à la recherche de nourriture sur la pelouse.

    Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

    Le bec est rouge brillant avec une bande blanche. L'oeil est rouge-orangé, les pattes et les pieds sont noirs.
    Le cygne noir se caractérise aussi par de longues plumes (rémiges) froissées sur le bord du corps.

    Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

     Julien reconnaissable à sa bague noire

    Les cygnes noirs vivent en groupe. Ainsi des "rassemblements atteignant plusieurs dizaines de milliers d'oiseaux sur certains lacs d'Australie" ont pu être observés.
    La population est abondante.

    Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

    "Julien"

    "La dernière estimation de la population australienne se situe entre 300 000 et 500 000 individus".

    Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

    "Julien"

    Cette espèce est "protégée par la loi et l'opinion publique en Australie".

    Un couple de Cygnes noirs au parc Montsouris

    "Julia"

    L'année dernière, le 21 avril 2014, deux cygneaux sont nés, cette année, aucune naissance en vue, c'est bien dommage.

    * sources : http://www.lesoiseauxdeparis.com/cygne-noir.php et informations sur place

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  • Des tortues de Floride au Parc Montsouris

    Sur la petite île au milieu du lac du Parc Montsouris, on peut voir d'étranges animaux ; étranges par le fait qu'on a pas l'habitude de les rencontrer en temps ordinaire dans les parcs parisiens.

     Des tortues de Floride au Parc Montsouris

    Ces tortues de Floride vivent tranquillement au milieu des canards, des cygnes, des poules d'eau du parc.

     Des tortues de Floride au Parc Montsouris

    Les tortues de Floride sont carnassières, elles ont été apportées il y a quelques années par la SPA, après avoir été abandonnées par des acheteurs peu scrupuleux ! 

     Des tortues de Floride au Parc Montsouris

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  • Parc Montsouris : Drame au désert de Georges Gardet

    Avec cette statue Georges Gardet remporte son premier succès en 1887 . Georges Gardet est considéré comme l'un des plus grands artistes de l'école française des sculpteurs animaliers.

    Georges Gardet, né le 11 octobre 1863 à Paris 6ème, et mort dans la même ville en 1939.

    Il est remarqué au Salon de Paris en 1891 avec son oeuvre "Drame au désert". Il participe à l'Exposition Universelle de 1900, année au cours de laquelle il reçoit la légion d'honneur. Il participe à l'Académie des Beaux-Arts et à la Société des artistes français.

     Parc Montsouris : Drame au désert de Georges Gardet

    Cette lionne sait que son combat est perdu d'avance ; son petit est mort et sa motivation est de l'ordre de la colère et de la vengeance et sûrement de chagrin aussi.

     Parc Montsouris : Drame au désert de Georges Gardet

    Aucun animal ne domine l’autre, ils se menacent comme dans ces luttes où l’on redoute le premier coup.

     Parc Montsouris : Drame au désert de Georges Gardet

    Cette lionne sait qu'il y aura qu'un seul "gagnant", le serpent ou elle, elle combattra jusqu'à la fin !

     Parc Montsouris : Drame au désert de Georges Gardet

    * sources sur Georges Gardet wikipédia

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  • Les statues du parc Montsouris : Colonne de la Paix Armée de Jules Coutant

    Je passe devant souvent, et je ne sais pourquoi, je n'avais jamais pensé à la prendre en photo, voilà c'est chose faîte ; je vous présente la Colonne de la Paix Armée.

    Les statues du parc Montsouris : Colonne de la Paix Armée de Jules Coutant

    Haute de huit mètres cinquante, la colonne de la Paix Armée fut réalisée d’après un dessin de l’architecte Paul Sédille.

    Les statues du parc Montsouris : Colonne de la Paix Armée de Jules Coutant

    Elle est coiffée par un bronze de Jules Coutant, mesurant trois mètres cinquante, pesant 28 tonnes, réalisée en 1888.

    Les statues du parc Montsouris : Colonne de la Paix Armée de Jules Coutant

    Elle s’élevait jadis, square d’Anvers dans le IXe arrondissement, mais suite à la construction d’un parking souterrain, elle fut transférée dans la perspective de l’avenue René Coty en 1984.

    Les statues du parc Montsouris : Colonne de la Paix Armée de Jules Coutant

    * sources : le site du parc Montsouris 

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  • Parc Montsouris

    2 rue Gazan 75014 Paris Boulevard Jourdan, avenue Reille, rue Gazan, rue de la Cité-Universitaire, rue Nansouty, rue Emile-Deutsch-de-la-Meurthe

    Le nom de Montsouris, serait issu de " Moque Souris ". Il évoque des temps anciens, où les moulins de la Bièvre périclitaient et où les lieux n'étaient plus habités que par des rongeurs.

    Parc Montsouris

     

    Parc Montsouris

    Avant d'être un parc, la plaine Montsouris était occupée par les carrières de Montrouge. Une partie de celles-ci a été utilisée pour recevoir les ossements des nombreux cimetières réformés par les grands travaux parisiens. Une nécropole, les « catacombes » rassemble de ce fait près de 6 millions d'âmes. Ce passé avait laissé des traces, et les concepteurs durent faire face à un sous-sol labyrinthique et à la présence de deux voies ferrées.

    Parc Montsouris

    La guerre de 1870 avec la Prusse compliqua la situation. Le parc fut achevé malgré tout en 1878.

    Parc Montsouris

     

    Parc Montsouris

    Créé sous l'impulsion de Napoléon III, le projet fut confié au baron Haussmann. L'empereur voulait alors doter d'un espace vert chacun des points cardinaux de Paris, ce qu'il réalisa, mais après la chute du second Empire.

    Parc Montsouris

    C'est à l'ingénieur Alphand que fut confié ce vaste projet qui donna naissance à un jardin à l'anglaise de 15 hectares et de 1,5 km de circonférence. Le parc garde encore aujourd'hui les marques de son passé par ses forts dénivelés.

    Parc Montsouris

    En créant le parc Montsouris, Napoléon III voulait s'inspirer des parcs londoniens. Les espaces verts y jouaient un rôle d'importance; ils étaient considérés comme des lieux de rencontre où se mêlaient toutes les classes sociales, une vision très moderne qui prévaut encore et plus que jamais aujourd'hui.

    Le second Empire connut ainsi une vague de création de grands parcs, dont le parc Montsouris, mais aussi le parc des Buttes-Chaumont et le Jardin des Serres d'Auteuil, qui en sont les exemples les plus réussis.

    Parc Montsouris

    Monument de la mission Flatters

    Massacre de la mission Flatters

    Avec 39 personnes, Paul Flatters part de Ouargla, le 5 mars 1880. Il descend alors vers le Sud, mais un manque de vivres et les menaces des populations le contraignent à rebrousser chemin. Il rentre à  Ouargla le 17 mai sans avoir totalement rempli sa mission, mais rapportant des informations précieuses. Malgré les menaces proférées par l'amenokal touareg Ahitarel ag Mohamed Biska qui refuse catégoriquement le passage d'une troupe armée sur son domaine, Flatters décide de repartir.

    Le 4 décembre, il reprend la route du Sahara pour une seconde expédition de 93 hommes dont sept membres scientifiques et militaires : MM. Béringer, Roche, Santin, le médecin aide-major Guiard, le capitaine Masson, le lieutenant de Dianous de la Perrotine, deux sous-officiers MM. Dennery et Pobéguin, deux ordonnances Brame et Marjolet, quarante-sept tirailleurs indigènes et trente-et-un arabes des tribus, sept guides Chaamba et Iforas, le mokadem de l'ordre des Tidjani. Ils partent avec près de 280 animaux (chameaux, chevaux, ânes) et une importante somme d'or. Pendant deux mois, la colonne progresse sans difficulté majeure vers le Hoggar. Leur chemin s'arrête à Bir el-Garama, où la mission subit l'attaque des Touaregs Hoggar et Ajjers. Tous les français trouvent la mort. Seuls une vingtaine d'indigènes arrivent à regagner Ouargla.

    Parc Montsouris

    Un monument rappelant cet événement a été érigé dans le parc Montsouris.

    * sources : http://equipement.paris.fr/parc-montsouris-1810

     

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