• Blog en pause ... retour le 1er septembre

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  • La Garde Républicaine au Jardin des Tuileries

    La Garde Républicaine n'est pas uniquement une armée d'apparat. En charge de la protection des hautes autorités : présidents, assemblées, ministères...

    La Garde Républicaine au Jardin des Tuileries

    Elle comporte un régiment de cavalerie, que l'on peut voir le 14 juillet et lors des réceptions officielles. Rattachée à la Gendarmerie, on peut la voir patrouiller régulièrement dans Paris, notamment dans les Jardins des Tuileries.

    La Garde Républicaine au Jardin des Tuileries

    La Garde républicaine montée passe le matin et l'après-midi.

    La Garde Républicaine au Jardin des Tuileries

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  • Jardin des Tuileries : Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ...

    Petits Bateaux : les bassins viviers du jardin de Tuileries, accueillent une magnifique flotte de petits bateaux à voile de toutes les couleurs.

     Jardin des Tuileries : Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ...

    Equipés d’un bâton, les enfants peuvent s’amuser librement autour du bassin pour organiser la navigation de leur petit navire à voile.

     Jardin des Tuileries : Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ...

    Pour la modique somme de 2 euros la demi heure, vous permettrez à votre enfant de se prendre pour Jack Sparrow et de s'amuser dans l'un des plus beaux endroits de Paris.

     Jardin des Tuileries : Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ...

    Les petits bateaux des Tuileries font partis du décor, on a l'impression qu'ils ont toujours été là. Avec leurs voiles rapiécées de toutes les couleurs, ils forment dans l'un des quatre bassins des tuileries une flotte aussi colorée que ludique. Et à entendre les cris des enfants on peut être sûr qu'ils auront encore de très beaux jours devant eux.

     Jardin des Tuileries : Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ...

    * sources :  Paris.fr

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  • Le Jardin des Tuileries

    Le jardin des Tuileries est un parc parisien du 1er arrondissement créé au XVIe siècle à l'emplacement d'anciennes tuileries qui lui ont donné son nom.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Il est délimité par le palais du Louvre au sud-est, la rue de Rivoli au nord-est, la place de la Concorde au nord-ouest et la Seine au sud-ouest. Il est le plus important et le plus ancien jardin à la française de la capitale et qui, autrefois était celui du palais des Tuileries, ancienne résidence royale et impériale, aujourd'hui disparu.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Le jardin des Tuileries est classé au titre des Monuments historiques depuis 1914, au sein d'un site inscrit, et inclus dans la protection du patrimoine mondial de l'UNESCO concernant les berges de la Seine.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    La superficie du jardin est de 25,5 hectares, très comparable à celle du jardin du Luxembourg (22,5 hectares).

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Au XIIIe siècle, se trouvaient ici des terrains vagues et des fabriques de tuiles. Au XIVe siècle, le prévôt de Paris Pierre des Essarts y possédait un logis et quarante arpents de terre labourable. Puis au xvie siècle, Neufville de Villeroy, secrétaire aux Finances, y fit bâtir un hôtel que François Ier acheta pour sa mère. Catherine de Médicis s'en portera acquéreur et fera raser le bâtiment.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    À partir de 1564, Catherine de Médicis, reine veuve de Henri II de France et mère des Rois de France François II de France, Charles IX de France et Henri III de France et de la reine Margot, épouse de Henri IV, fit commencer la construction du palais des Tuileries, tout en débutant l'aménagement d'un jardin à l'italienne à l'ouest de celui-ci, constitué de six allées dans le sens de la longueur et huit dans le sens de la largeur, qui délimitaient des compartiments rectangulaires comprenant des plantations différentes (massifs d'arbres, quinconces, pelouses, parterres de fleurs, etc.). Une fontaine, une ménagerie et une grotte décorée par le célèbre céramiste Bernard de Palissy décoraient le jardin. Dans les années 1605-1625 furent ajoutées une orangerie et une magnanerie.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    En 1664, Jean-Baptiste Colbert et Louis XIV ordonnèrent que le jardin soit entièrement redessiné par André Le Nôtre, qui s'était déjà illustré à Vaux-le-Vicomte.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Le petit-fils de Pierre Le Nôtre, architecte de Catherine de Médicis et paysagiste, donna à celui-ci l'aspect qu'il allait conserver, dans ses grandes lignes, jusqu'à nos jours : il perça dans l'axe du palais une allée centrale délimitée à l'est par un bassin rond, à l'ouest par un bassin octogonal ; il construisit la terrasse du Bord de l'eau le long du Quai des Tuileries et la terrasse des Feuillants le long de la future rue de Rivoli ; enfin, il bâtit deux terrasses le long de la future place de la Concorde ainsi que deux rampes en courbe permettant d'y accéder.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Craignant que le public n'abîme le jardin ainsi aménagé, Colbert voulut en réserver l'accès à la famille royale. Mais Claude Perrault le convainquit de la sagesse des Parisiens et de la nécessité que constituait pour eux l'accès à un jardin : on y « parlait d'affaires, de mariages et de toutes choses qui se traitent plus convenablement dans un jardin que dans une église, où il faudra[it] à l'avenir se donner rendez-vous. Je suis persuadé, poursuit-il, que les jardins des rois ne sont si grands et si spacieux qu'afin que tous les enfants puissent s'y promener. »

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Et le jardin resta accessible à tous, quoique les entrées étaient gardées. Les terrasses étaient occupées par des cafés et des restaurant. Des chaises étaient à disposition des promeneurs dans la grande allée contre deux sous.

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Sous la Révolution, le jardin fut le témoin des grands événements dont le palais fut lui-même le théâtre, notamment la Prise des Tuileries le 10 août 1792. Le bassin rond fut utilisé pour la cérémonie de l'Être suprême le 8 juin 1794. On y avait placé des effigies représentant l'Athéisme entouré de l'Ambition, de l'Égoïsme, de la Discorde et de la Fausse-Simplicité. Maximilien de Robespierre y mit le feu, dans une apothéose de cris et d'applaudissements. Le cortège se dirigea ensuite vers le Champ-de-Mars. Le 10 octobre, ce même bassin accueillit le cercueil de Jean-Jacques Rousseau, drapé d'un drap parsemé d'étoiles (exhumé d'Ermenonville pour être porté au Panthéon).

     Le Jardin des Tuileries, 1er arrondissement

    Aux angles occidentaux du jardin, Napoléon III fera construire deux bâtiments identiques abritant respectivement :

    • un jeu de paume au nord-ouest hébergeant de nos jours un musée d'art contemporain, la galerie nationale du Jeu de Paume ;
    • une orangerie au sud-ouest accueillant aujourd'hui un musée d’Art moderne, le musée de l'Orangerie.

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jardin_des_Tuileries

    À suivre ...

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  •  Symbole de la fin du XXe siècle, le pont Charles-de-Gaulle

    Le pont Charles-de-Gaulle est un pont franchissant la Seine à Paris, en France.

    Il relie le 12e arrondissement, au niveau de la rue Van-Gogh, au 13e arrondissement, sur le quai d'Austerlitz. C'est le plus récent pont routier enjambant la Seine à Paris, en effet la passerelle Léopold-Sédar-Senghor (1999) et la passerelle Simone-de-Beauvoir (2006), ne sont que des passerelles piétonnes.

    Symbole de la fin du XXe siècle, le pont Charles-de-Gaulle

    Ce site est desservi par la station de métro Gare d'Austerlitz.

    Symbole de la fin du XXe siècle, le pont Charles-de-Gaulle

    Le pont Charles-de-Gaulle tire son origine du développement récent du Sud-Est de Paris, dans les quartiers de Bercy et de la nouvelle bibliothèque François-Mitterrand. Sa réalisation fut adoptée par le Conseil de Paris en 1986 afin de relier ces quartiers, de décharger le pont d'Austerlitz et de mettre en correspondance directe la gare de Lyon et celle d'Austerlitz.

    Symbole de la fin du XXe siècle, le pont Charles-de-Gaulle

    Le projet lauréat, de Louis Gerald Arretche et Roman Karansinski, composé d'un tablier d'acier blanc ressemblant à une aile d'avion reposant sur des piles discrètes par l'intermédiaire de fins tubes d'acier, cherche à se fondre le plus possible dans le paysage. Commencé en 1993, il fut terminé en 1996.

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_Charles-de-Gaulle

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  • Le Viaduc d'Austerlitz

    Le viaduc d'Austerlitz est un pont ferroviaire qui franchit la Seine à Paris (France) ; il est emprunté par les rames de la ligne 5 du métro de Paris. Il est inscrit monument historique.

    Le Viaduc d'Austerlitz

    Le viaduc d'Austerlitz relie la station Gare d'Austerlitz, située sous la halle de la gare d'Austerlitz, au viaduc du quai de la Rapée, ouvrage d'art en courbe de 75 m de rayon et rampe de 40 pour mille permettant au métro de rejoindre la station Quai de la Rapée.

    Le Viaduc d'Austerlitz

     Ce site est desservi par les stations de métro Gare d'Austerlitz et Quai de la Rapée.

    Le Viaduc d'Austerlitz

    À l'époque de la construction du métro parisien, il est moins onéreux pour franchir la Seine de bâtir un pont plutôt que de passer sous le fleuve.

    En 1903, est lancé un concours pour la construction du pont emporté par la Société de construction de Levallois-Perret.

    Le Viaduc d'Austerlitz

    Le passage du métro entre les deux stations devant s'effectuer par l'extérieur et la navigation sur la Seine interdisant la présence de piliers en plein milieu de celle-ci, le projet retenu pour réaliser le viaduc d'Austerlitz fut constitué par deux arcs paraboliques, reposant de part et d'autre du fleuve sur deux piliers de pierre, permettant au tablier de franchir le fleuve sans appui intermédiaire.

    Le Viaduc d'Austerlitz

    La construction s'effectue entre 1903 et 1904. L'ouvrage possède alors la plus grande portée des ponts parisiens avec 140 m devançant le pont Alexandre-III bâti trois ans plus tôt (devancée depuis par le seul pont Charles-de-Gaulle).

    La structure du viaduc fut renforcée en 1936 pour permettre le passage de métros plus lourds.

    Le Viaduc d'Austerlitz

    Le viaduc est illuminé chaque nuit depuis le 18 janvier 2000 durant les heures de service du métro, dans le cadre des célébrations des 100 ans du métro de Paris. La même année, le viaduc reçoit le prix du « Patrimoine moderne » dans le cadre du concours « Lumières et monuments ».

    Le Viaduc d'Austerlitz

    Durant les mois de juillet et août 2013, des travaux de rénovation et de consolidation de certains éléments du viaduc ont lieu, interrompant ainsi la circulation du métro de la ligne 5 entre les stations Bastille et Place d'Italie.

    Le Viaduc d'Austerlitz

    La décoration du viaduc d'Austerlitz fut confiée à Jean Camille Formigé, également chargé de l'architecture des superstructures du métro de Paris. Il la composa de divers symboles marins (poissons, rames, ancres, tridents). Les armes de Paris sont également présentes en bas des arcs.

    • Type de construction : pont en arc, tablier suspendu
    • Construction : 1903 - 1904
    • Inauguration : décembre 1904
    • Ingénieurs : Fulgence Bienvenüe, Louis Biette, Maurice Koechlin
    • Décorateur : Jean Camille Formigé
    • Matériau : acier doux laminé
    • Portée principale : 140 m
    • Largeur du tablier : 8,60 m

     * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_d%27Austerlitz

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  • Le pont Alexandre III

    Le pont Alexandre-III est un pont franchissant la Seine entre le 7e et le 8e arrondissement de Paris.

    Ce site est desservi par la station de métro Invalides. En outre, il est desservi par la gare des Invalides de la ligne C du RER.

    Le pont Alexandre III

    Inauguré pour l'Exposition universelle de Paris en 19002, le pont était destiné à symboliser l'amitié franco-russe, instaurée par la signature de l'alliance conclue en 1891 entre l’empereur Alexandre III (1845-1894) et le président de la République française Sadi Carnot.

    Le pont Alexandre III

    La première pierre fut posée par le tsar Nicolas II de Russie, l'impératrice Alexandra Fedorovna et le président Félix Faure le 7 octobre 1896.La construction de cet ouvrage d'art fut confiée aux ingénieurs Jean Résal et Amédée Alby, ainsi qu'aux architectes Cassien-Bernard et Gaston Cousin.

    Le pont Alexandre III

    Construit dans l'axe de l'esplanade des Invalides, il conduit de celle-ci aux Petit et Grand Palais également construits pour l'exposition universelle.

    Le pont Alexandre III

    Sur la colonne, rive droite en aval, fut gravée cette inscription : « Le 14 avril 1900, Émile Loubet président de la République Française a ouvert l'exposition universelle et inauguré le pont Alexandre III ».

    En 1824, Navier commença la réalisation d'un pont suspendu à cet emplacement. Des complications techniques obligèrent à le détruire, en 1828, avant son achèvement.

    Le pont Alexandre III

    Lors de la décision d’organiser une Exposition Universelle en 1900, il fut décidé de détruire le Palais de l’Industrie pour le remplacer par deux palais, de part et d'autre d'une voie qui prolongerait la place des Invalides. Aussi, le pont de la Trinité ou pont Troïtsky, (un autre pont très semblable au pont Alexandre-III), a été construit sur la Neva à Saint-Pétersbourg en Russie, pour l'exposition universelle de Paris.

    Le pont Alexandre III

    Le cahier des charges prévoyait qu'il soit suffisamment plat pour qu'on puisse voir entièrement les Invalides depuis les Champs-Élysées. Il ne devait pas entraver la navigation et avoir un tirant d'air au moins égal à celui des ponts les plus modernes. Sa largeur devait être proportionnée à celle de l’avenue qu’il prolongeait : d'abord envisagée à 50 m, elle fut arrêtée à 40 m pour ne pas trop perturber la navigation. Il devait être symétrique et décoratif (d'où une largeur imposée des quais de 22,50 m).

    Le pont Alexandre III

    Le pont fut réalisé en acier moulé. Afin de résister à l'énorme poussée horizontale, il fut doté de culées très massives.

    Les fondations furent creusées sous caisson pressurisé grâce au procédé Triger. Il y eut 29 accidents de décompression plus ou moins sérieux, mais aucun mortel. Un seul ouvrier périt dans les caissons à la suite d'un accident.

    Le pont Alexandre III

    Les amours soutenant les quatre lampadaires, d'Henri Désiré Gauquié

    Il est classé au titre des monuments historiques depuis le 29 avril 1975 ; il est également labellisé « Patrimoine du XXe siècle » et situé dans le périmètre du secteur sauvegardé du 7e arrondissement de Paris, ainsi que dans le site naturel inscrit « Ensemble urbain à Paris », inscrit par arrêté en 1975.

    C'est un pont métallique de 40 mètres de large composé d'une seule arche de 107 mètres comprenant trois points d'articulation, permettant de franchir la Seine sans point d'appui intermédiaire. Deux tunnels en pierre se situent à ses extrémités.

    Le pont Alexandre III

    Les amours soutenant les quatre lampadaires, d'Henri Désiré Gauquié

    Le pont a plusieurs fois changé de couleurs ; il est passé du gris au vert-brun puis au gris perle. Il a repris ses couleurs d'origine lors de son unique restauration en 1998.

    Ses contreforts côté rive droite abritent depuis septembre 2006 une boîte de nuit appelée le Showcase, aménagée dans un hangar à bateau désaffecté. Ce lieu, ouvert au grand public à la mi-décembre 2006, peut être utilisé comme salle de concert ; des émissions de télévision y sont depuis enregistrées.

    Le pont Alexandre III

    • Type de construction : Pont en arc à trois articulations, multiples travées
    • Construction : 1897 - 1900
    • Inauguration : 14 avril 1900
    • Architectes : Cassien-Bernard et Gaston Cousin
    • Ingénieurs : Jean Résal et Amédée Alby
    • Décoration : Georges Récipon, Emmanuel Frémiet, Jules Félix Coutan, Henri Désiré Gauquié, Grandzlin, Pierre Granet, Alfred Lenoir, Laurent Honoré Marqueste,André Paul Arthur Massoulle, Gustave Michel, Léopold Morice, Abel Poulin, Clément Steine
    • Matériau : acier
    • Longueur totale : 160 mètres
    • Longueur de la travée principale : 107,50 mètres
    • Largeur de la poutre : 40 mètres
    • Flèche : 1/17 (rapport hauteur/portée)
    • Entreprises : Groupe Fives-Lille parmi d'autres
    • Classement aux Monuments historiques : 1975

    Du fait de sa grande portée pour une faible hauteur, le pont Alexandre III exerce une importante poussée latérale. Afin d'éviter l'écartement des ancrages, les berges ont été considérablement renforcées au moyen d'immenses massifs de béton, sans doute les plus importantes fondations jamais réalisées. Les colonnes monumentales semblent des allumettes en comparaison : leurs fondations étant indépendantes de celles du pont, leur rôle est d'ailleurs uniquement esthétique.

    Le pont Alexandre III

    Les amours soutenant les quatre lampadaires, d'Henri Désiré Gauquié

    Les architectes, Joseph Cassien Bernard et Gaston Cousin, ont été désignés à la fin de 1896 et entrèrent en fonction en mars 1897, après l'adjudication des travaux de la partie métallique. Sur cet ouvrage, les architectes n'ont été chargés que de la partie décorative, la structure ayant été décidée bien avant, en 1895, au moment où les ingénieurs Résal et Alby ont été mis à la disposition des services de l'Exposition.

    Le caractère urbain de l'ouvrage servant de référence à l'Exposition universelle a conduit à traiter soigneusement sa décoration. Les deux architectes ont donné un décor abondant qui permet de vérifier ce jugement de Jean Résal : «On a le droit, et en certains cas le devoir, d'orner et de décorer des ouvrages, à condition de ne pas les dénaturer : il faut s'interdire de façon absolue le camouflage et le maquillage ... Toute mesure qui facilite la claire intelligence d'un ouvrage est bonne ; toute mesure prise à l'encontre de ce but est mauvaise

    Le pont Alexandre III

    Le pont est illuminé par 32 candélabres en bronze qui ont été réalisés par les Établissement Lacarrière, également connus pour la réalisation du lustre monumental de l'opéra Garnier.

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_Alexandre-III

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  •  Pont de la Concorde

    Dès le début du XVIIIéme siècle, le besoin s’était fait sentir de construire un pont destiné à relier le faubourg Saint Honoré sur la rive droite, au quartier Saint-Germain situé sur la rive gauche, et remplacer le bac qui assurait la traversée de la Seine.

    Pont de la Concorde

    En 1772, à l’achèvement de la Place Louis XV ( qui deviendra Place de la Concorde ) un projet de pont en pierres est accepté par Louis XVI . C’est l’ingénieur Jean-Rodolphe Perronet, premier directeur de l’Institution Nationale des Ponts et Chaussées crée par Trudaine en 1747, qui conduit les travaux : ce sera le Pont Louis XVI !

    Pont de la Concorde

    Mais les fonds manquent, et ce n’est que le 11 août 1788, après la pose des culées et des piles qu’eut lieu la pose de la première pierre.

    Pont de la Concorde

    Les travaux vont s’accélérer grâce à une aide inattendue : la prise de la Bastille ! En effet après le 14 juillet 1789, une partie des pierres de la forteresse de la Bastille démolie par les soins « du patriote Palloy », a été utilisée à la construction de ce pont : « afin que les patriotes foulassent aux pieds chaque jour les débris de l’exécrable forteresse ! »

    Pont de la Concorde

     

    En 1791, le pont est achevé mais en 1792 il devient le pont de la Révolution, et en 1795 pont de la Concorde. A la Restauration il reprendra son nom d’origine ( pont Louis XVI ) mais en 1830, Louis-Philippe soucieux d’apaiser le peuple républicain lui redonnera le nom de Pont de la Concorde, nom qu’il porte désormais. Ce pont de pierre alors large de 14 m est composé de cinq arches en arc de cercle, de portée inégale : 25m, 28m, 31m, 28m, 25m.

    Si sa naissance fut chaotique, sa décoration le fut tout autant : en 1810 Napoléon 1er fit installer huit statues de généraux morts au champ d’honneur, puis Louis XVIII les remplaça en 1828 par 12 statues monumentales de marbre blanc, représentant 4 grands ministres ( Colbert, Richelieu, Sully, Suger ) 4 grands militaires ( Bayard, Condé, Du Guesclin, Turenne ) 4 grands marins ( Duguay-Trouin, Duquesne, Suffren, Tourville ). Ces statues alourdirent à un tel point le pont, que l’équilibre de l’édifice était menacé : il fallut les enlever et Louis-Philippe les installa à Versailles dans la Galerie Historique, en compagnie de quelques unes des statues de l’Empire.

    Pont de la Concorde

    Elargi au double de sa taille initiale en 1930 par les ingénieurs Deval et Malet, le Pont de la Concorde mesure maintenant 153 mètres de long et 35 mètres de large, il a gardé sa structure néoclassique voulue par Perronet.

     En 1931, le Conseil de Paris décide de laisser les socles sans statues. Les parapets sont formés de balustres identiques à celles de la Place de la Concorde, mais les réverbères décoratifs initialement prévus ne furent jamais installés.

    * sources : http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article65

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  • Passerelle Léopold Sédar Senghor

    La passerelle Léopold-Sédar-Senghor, anciennement passerelle Solférino, est un pont piéton situé à Paris dans le 7e arrondissement et traversant la Seine à partir du port de Solférino vers le port des Tuileries.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Ce site est desservi par la station de métro Solférino.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Pendant un siècle, c'est le pont en fonte inauguré par Napoléon III en 1861 qui permettait le passage de véhicules entre le quai Anatole-France et le quai des Tuileries. Construit par les ingénieurs du pont des Invalides Paul-Martin Gallocher de Lagalisserie et Jules Savarin, c'est la victoire en juin 1859 de labataille de Solférino qui donne son nom à l'ouvrage, le pont de Solférino ainsi qu'à une rue dans son prolongement.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Fragilisé (notamment par des chocs avec les péniches), il est détruit et remplacé en 1961 par une passerelle piétonne en acier reposant sur deux piles de béton construite une trentaine de mètres en amont et démolie à son tour en 1992.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    La nouvelle passerelle de Solférino reliant le quai Anatole-France au jardin des Tuileries a été construite entre 1997 et 1999 sous la direction de l'ingénieur architecte Marc Mimram à l'emplacement de l'ancien pont. Elle a été inaugurée le 14 décembre 1999.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Franchissant la Seine d'une seule arche sans appui dans le fleuve, cette passerelle métallique est couverte de bois exotique (l’ipé, bois brésilien également choisi pour recouvrir la dalle supérieure et les marches de la Bibliothèque nationale de France).

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Construite sur deux niveaux qui se rejoignent dans la partie centrale, la passerelle dessert, sur chaque rive, les berges de la Seine et les quais proprement dits. À chacune de ses extrémités, les fondations sous forme de piliers en béton s’enfoncent de quinze mètres sous terre et sa structure est un assemblage de six éléments de 150 tonnes fabriqués par les établissements Eiffel. L’architecture de l’ouvrage a valu à Marc Mimram de recevoir le prix de l’Équerre d’argent pour l’année 1999.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Elle propose des bancs aux promeneurs, qui peuvent rejoindre le jardin des Tuileries par le souterrain de la rive droite.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    Elle a été rebaptisée du nom de Léopold Sédar Senghor le 9 octobre 2006 à l’occasion du centième anniversaire de la naissance du poète, écrivain et homme d'État sénégalais.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    C'est en regardant la Seine et le ciel couvert depuis le pont de Solférino, un soir, que le compositeur français Claude Debussy (1862-1918) eut l'idée d'écrire un de ses Nocturnes pour orchestre, prénommé Nuages.

    Passerelle Léopold Sédar Senghor

    En 2011, le collectif Gainsbourg 20 ans fait de la passerelle le cadre du tournage du clip hommage à Serge Gainsbourg "Requiem pour un con". En 2014, l'artiste Christina Goh y tourne intégralement la vidéo du titre jazz "L'instant".

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Passerelle_L%C3%A9opold-S%C3%A9dar-Senghor

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  • Le Pont Royal : Le quartier Palais Royal 

    Le pont Royal est un pont français situé à Paris et traversant la Seine. C'est le troisième plus ancien pont de la ville, après le pont Neuf et le pont Marie. Ce monument fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 1er mai 1939.

     Le Pont Royal

    Il relie la rive droite au niveau du pavillon de Flore à la rive gauche entre la rue du Bac et la rue de Beaune. Il a pour voisins, en amont, le pont du Carrousel, et en aval, la passerelle Léopold-Sédar-Senghor.

     Le Pont Royal

    Ce site est desservi par la station de métro Tuileries.

    Après avoir assisté à un accident du bac qui traversait la Seine dans le prolongement de la rue du Bac au cours d'une promenade, Louis XIII décida la construction d'un pont à cet emplacement.

     Le Pont Royal

    En 1632, l'entrepreneur Pierre Pidou réalise pour le financier Barbier un pont en bois à péage sur cet emplacement, qui sera appelé pont Sainte-Anne (en référence à Anne d'Autriche) ou pont Rouge (en raison de sa couleur).

     Le Pont Royal

    Sur le pont Royal en direction du palais du Louvre.

    Il remplace l'ancien bac des Tuileries auquel la rue du Bac doit son nom, qui proposait la traversée depuis 1550.

    Fragile, ce pont de quinze arches sera réparé une première fois en 1649, entièrement refait deux ans plus tard, incendié en 1654, emporté par les eaux en 1656, à nouveau reconstruit en 1660, consolidé en 1673 et enfin emporté par une crue en 1684. Madame de Sévigné rapporte cette dernière inondation où du 28 au 29 février le pont perd huit de ses arches.

     Le Pont Royal

    Il sera finalement remplacé entre le 25 octobre 1685 et le 13 juin 1689 par un pont en pierre entièrement financé par le roi Louis XIV, ce qui lui vaut son nom de pont Royal. Le surintendant des Bâtiments du Roi Louvois charge Jacques Gabriel, Jules Hardouin-Mansart et François Romain de réaliser cet ouvrage.

    Au XVIIIe  siècle, c'est un lieu de prédilection pour toutes sortes de fêtes et réjouissances parisiennes.

    Après la Révolution française, entre 1792 à 1804, le pont est bien sûr renommé pont National, puis pont des Tuileries jusqu'en 1814.

     Le Pont Royal

    C'est là que Napoléon Bonaparte fit disposer des canons pour défendre le palais des Tuileries, où siégeaient la Convention nationale et le Comité de salut public dirigé par Maximilien de Robespierre.

    Le pont subit une dernière restauration légère en 1850.

    En 1939, il est classé monument historique au même titre que le pont Neuf et le pont Marie.

    En 2005, il fut illuminé à l'occasion de la candidature de Paris pour accueillir les Jeux olympiques d'été de 2012.

     Le Pont Royal

    L'ouvrage est composé de cinq arches en plein cintre. Après celle du Pont de la Tournelle, une échelle hydrographique qui indique le niveau des plus grandes crues parisiennes est visible sur la dernière pile de chaque rive.

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_Royal_(Paris)

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  • Parc des Buttes-Chaumont : Enfin la pluie !

    Jeudi dans la soirée, quelques gouttes sont tombées alors que j'étais au Parc des Buttes-Chaumont. 

     Parc des Buttes-Chaumont : Enfin la pluie !

     “La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.” A Ramaiya 

     Parc des Buttes-Chaumont : Enfin la pluie !

    Focale : F/5,3 - 1/160 secondes - Vitesse ISO : ISO-400

     Parc des Buttes-Chaumont : Enfin la pluie ! 

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  • La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne (dont je ne sais pas le nom.)

    Je vous présente la compagne de Karu. Pour le moment je ne connais pas grand chose d'elle, sauf qu'elle est bien jolie. 

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

     

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

     

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

    Elle n'est pas du tout intimidée par les visiteurs ... 

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

     Pas marrant d'avoir le museau qui démange ...

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

     

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

     Bon alors il se décide, il monte ou pas ...

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

    Karu n'a pas vraiment l'air emballé ... 

    La Ménagerie du Jardin des Plantes : Karu et sa nouvelle compagne

    CONSERVATION

    De nombreuses mesures ont été prises pour la sauvegarde de ce félin. Dès 1952, la panthère des neiges devient une espèce protégée en Inde et en Asie centrale. Mais cette mesure de protection n'est guère prise en compte et le braconnage reste en vigueur. En 1975, elle entre dans l'Annexe I de la CITES, en commençant par le Népal.

    Seul le Kyrgyzstan et le Tajikistan n'ont pas ratifié ce statut. Au début des années 1980, est crée la Fondation Internationale de l'Once (International Snow Leopard Trust), dont les études au Népal ont permis de mieux connaître l'animal et de déterminer les dangers le menaçant d'extinction.

    À partir de 1985, l'once entre dans l'Appendice I de la convention sur la migration des espèces sauvages, ratifiée par cinq des douze pays où elle est présente.

    * sources : http://www.manimalworld.net/pages/felins/panthere-des-neiges.htm  

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  • Ménagerie du Jardin des plantes : Le Caracal

    Le caracal (Caracal caracal), ou lynx du désert ou lynx de Perse, est un félin du genre Caracal largement répandu en Afrique et en Asie depuis le Moyen-Orient jusqu'au Sous-continent indien. En 2008, le caracal était classé en catégorie préoccupation mineure sur la liste rouge de l'UICN en raison de sa présence relativement commune notamment en Afrique australe et Afrique de l'Est.

    Ménagerie du Jardin des plantes : Le Caracal

    Le caracal est néanmoins considéré comme menacé en Afrique du Nord et rare en Asie centrale et en Inde.

    Le caracal possède de longs pinceaux de poils noirs caractéristiques à l'extrémité des oreilles. Il est également connu pour les bonds pouvant atteindre 3 mètres qu'il est capable d'effectuer pour attraper des oiseaux en vol.

    Ménagerie du Jardin des plantes : Le Caracal

    Le nom binominal Caracal caracal (Schreber, 1776) est attribué au zoologiste allemand Johann Christian Daniel von Schreber qui a décrit Felis caracal en 1776 à partir d'un spécimen prélevé dans la région de la Montagne de la Table, en Afrique du Sud, qui est considérée comme la localité type de l'espèce. Le genre Caracal a été utilisé pour la première fois par le naturaliste britannique John Edward Gray en 1843 sur la base de l'étude d'un spécimen prélevé dans la région du cap de Bonne-Espérance.

    Ménagerie du Jardin des plantes : Le Caracal

    Dans l'histoire de la nomenclature binominale, le caracal a été alternativement classé dans les genres Lynx et Felis, mais des travaux récents en biologie moléculaire tendent à montrer qu'il s'agit d'un genre à part entière apparenté au serval et au chat doré africain.

    Ménagerie du Jardin des plantes : Le Caracal

    Le nom caracal a été donné à cet animal par Georges-Louis Leclerc, Comte de Buffon, dans l'Histoire naturelle, générale et particulière, parue en 1761, en référence à son nom en langue Turque «karrah-kulak» ou «kara-coulac» qu'il pensait signifier "chat aux oreilles noires" ("kara kulak" se traduit en fait "oreille noire" et "karakulak" signifie "caracal"). Il est appelé en Persan «siyah-gush» ("siyāh-gosh" (سیاه‌گوش)) et dénommé dans le nord de l'Inde "syahgosh" ou "shyahgosh" (स्याहगोश) termes qui signifient également "oreille noire".

    Ménagerie du Jardin des plantes : Le Caracal

    En dialecte Toubou, il est appelé "ngam ouidenanga" qui signifie "chat gazelle" en raison de sa réputation de chasseur de gazelles dorkas. En Afrikaans, il est dénommé "rooikat" qui signifie "chat rouge". Il est nommé "nghawa" en Xhosa, "hwang" ou "twana" en Shona, "thwani" en Venda, "thwane" en Tswana, "twani" en Lozi. En Ndébélé il est appelé "intwane" et en Siswati "indabushe". En langue Zoulou il se nomme "ndabushe".

    Bien qu'il soit également appelé lynx du désert ou lynx de Perse, il n'est pas apparenté au genre Lynx mais bien au genre Caracal.

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caracal 

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  • La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

    La Panthère de Chine (Panthera pardus orientalis), également appelée "Panthère de l'Amour" du nom du fleuve en Chine, est une sous-espèces de panthère (Panthera pardus) en voie d'extinction.

    La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

     

    La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

    Elle peut atteindre 1,40 m de long pour un poids maximum de 50 kg.

    La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

    Dans les régions désertiques, elle est capable de survivre à la sécheresse en buvant seulement tous les deux ou trois jours.

    La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

    Elle se nourrit généralement de cerfs et de sangliers.

    Elle ne survit plus aujourd'hui que dans un mince territoire le long de la frontière entre la Chine et la Russie. Elle vit dans les forêts et dans les zones rocheuses de l'Amour et de l'Oussouri.

    La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

    La médecine chinoise attribue à sa dépouille des vertus médicinales, et de ce fait, elle est chassée à outrance. Elle a perdu 90% de son domaine vital à cause de la déforestation.

    La ménagerie du Jardin des Plantes : Tao, Panthère de Chine

    Selon les scientifiques, il ne resterait qu'une vingtaine d'individus vivant à l'état sauvage. Environ 200 de ces animaux sont recensés dans des parcs zoologiques.

    * sources : http://www.chine-informations.com/guide/panthere-de-chine_2039.html 

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  • Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    Originaire des hauts plateaux Andins, ce petit camélidé domestique élégant, fin et racé pèse une soixantaine de kg pour une taille d’environ 90 cm. 

    Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    Il peut vivre une vingtaine d’années.  S’acclimatant facilement, adaptable, rustique et sobre, il a l’instinct grégaire développé et a besoin de la compagnie de congénères. 

    Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    Il se nourrit principalement d’herbe et de foin. La femelle, après une gestation de prés d’un an, met bas un seul petit appelé « cria ».

    Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    Son élevage se développe rapidement en France et en Europe et progresse d’environ 15 % par an. 

    Les éleveurs produisent des animaux d’élevage, mais aussi des animaux de compagnie et d’agrément. Les alpagas, eux, produisent de deux à six kilos de laine par an.

    Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    La sélection améliore considérablement la quantité et les qualités de la laine, qui devient beaucoup plus fine, résistante, lustrée,  douce et élastique (« crimp »). Elle est naturellement anallergique et résistante au feu.  

    Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    Cet animal familier sortant de l’ordinaire est doux, sociable, intelligent et réservé. Vous pourrez établir avec lui une relation paisible et harmonieuse. Il s’éduque facilement.

    Une nouveauté à la Ménagerie du Jardin des plantes : l'Alpaga

    L’alpaga est respectueux de l’environnement et n’abime pas le sol avec ses pieds. Grâce à ses 22 couleurs naturelles, il n’est pas nécessaire de teindre sa laine.

    * Pour lire l'article complet sur cet animal : http://www.alpaga-developpement.org/Alpaga/Lalpaga.html

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  • "Un simple regard posé sur une fleur et voilà une journée remplie de bonheur." Céline Blondeau

     Jardin des Plantes : Petites fleurs du weekend

    "Les fleurs ne nous laissent jamais tomber. Elles nous accompagnent dans le bonheur et nous soutiennent dans le malheur." Céline Blondeau 

     Jardin des Plantes : Petites fleurs du weekend

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