-
Par Une fleur de Paris le 3 Octobre 2015 à 06:00
Les photos du weekend : au Lac Daumesnil
C'était dimanche dernier, par une belle journée d'automne ...
Cliquez sur mes photos pour les voir en plus grand format.
81 commentaires -
-
Par Une fleur de Paris le 5 Juin 2015 à 06:00
Lac Daumesnil, Bois de Vincennes : Pélerins des Nuages et de l'Eau.
Pèlerins des nuages et de l'eau est une œuvre de l'artiste japonais Torao Yazaki. Créée en 1971, il s'agit d'une sculpture de bronze représentant un groupe de pèlerins bouddhistes, située dans le bois de Vincennes à Paris, en France.
L'œuvre est une Sculpture de bronze. Elle représente un groupe de six pèlerins zen. Quatre d'entre eux sont debout, alignés deux par deux. Devant eux, le cinquième est assis en tailleur sur un large pavé de bronze. Le dernier pèlerin est situé à la gauche des cinq autres et est agenouillé, la tête touchant le socle.
La sculpture repose sur un socle rectangulaire du même matériau, lui-même posé un socle plus grand, en pierres.
L'un des côtés porte le nom de l'œuvre,calligraphié en japonais par le calligraphe Hiragushi. L'avant du socle comporte une autre plaque, qui explicite l'origine de l'œuvre, en français et en japonais.
L'œuvre est située dans la partie occidentale du bois de Vincennes, légèrement au sud du lac Daumesnil, immédiatement à l'ouest du centre bouddhiste Kagyu-Dzong et de la pagode de Vincennes.
sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A8lerins_des_nuages_et_de_l%27eau
54 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 4 Juin 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : portraits de corneilles.
Voici encore quelques portraits de deux corneilles. Je sais que cet oiseau n'est pas très aimé, pourtant moi je l'aime bien.
Voici le lien d'une belle histoire, celle de "René la Corneille noire", comme quoi il ne faut pas s'arrêter aux idées toutes faîtes !
http://www.la.corneille.sitew.com/Histoire_de_Rene.B.htm#Histoire_de_Rene.B
53 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 3 Juin 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : La roue du paon bleu
C’est vrai que le paon bleu est quand même plus beau.
Voici la roue du paon bleu ; j'étais bien loin, mais tant pis, je partage avec vous ce magnifique spectacle.
Pour voir d'autres photos de "la roue du paon bleu" :
http://www.laparisienneetsesphotos.com/parc-floral-de-paris-la-roue-du-paon-bleu-a107951396
56 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 2 Juin 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : La roue du paon blanc
Les oiseaux très voyants paradent volontiers pour séduire leur partenaire ou écarter les rivaux.
Le paon mâle fait la roue pour séduire les femelles lors de la parade nuptiale.
Il étale en éventail les longues plumes de sa queue, puis tourne sur lui-même en les agitant pour faire admirer sa parure.
La femelle du paon est appelée « paonne » (prononcer « panne ») et son petit « paonneau » (prononcer « panneau »).
60 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 1 Juin 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : LE PAON BLANC
La beauté du paon, mais aussi le fait qu'il reste sur le lieu où il a élu domicile, font de lui un oiseau idéal pour les parcs publics.
Symbole de beauté, de richesse, mais aussi d'immortalité et de vanité, le paon a toujours occupé une place privilégiée dans le monde animal. En milieu naturel, les paons vivent principalement dans la jungle dense de l'Inde.
En Inde, les paons sont sacrés et très populaires. En effet, ils se nourrissent de jeunes cobras venimeux et contribuent ainsi à ce que ces serpents disparaissent de leurs territoires. Étant eux-mêmes la proie des tigres, ils avertissent de la présence de tigres et de léopards en poussant des cris très aigus et se rendent ainsi utiles.
Le "clic" de mon appareil photo l'intriguait ...
53 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 30 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : Iris des marais (Iris pseudacorus)
Iris pseudacorus ou iris des marais, iris faux acore ou iris jaune (ou encore flambe d'eau ou glaies en Saintonge) est une plante herbacée vivace de la famille des Iridacées.
Iris pseudacorus est une plante vivace de 40 cm à 1,20 mètre de haut, inodore, à rhizome épais. Le rhizome, une tige de 1-4 cm de diamètre, légèrement enfoncée dans la boue, porte de nombreuses racines de 10-20 cm de long.
Les longues feuilles linéaires, en forme de glaive (pointues) font de 10 à 30 mm de large. Engainantes et disposées sur deux rangs opposés (elles sont dites distiques), elles partent directement du rhizome. Elles sont parcourues par une forte nervure médiane.
Au printemps, une tige cylindrique, érigée, comportant à son extrémité des fleurs jaunes, porte aussi des feuilles caulinaires (plus courtes que la tige). Les fleurs inodores, sont disposées par 2 ou 3, sous-tendues par une spathe.
La fleur entièrement jaune comporte trois grands tépales extérieurs, rabattus, de 6-8 cm, trois intérieurs de plus petite taille (4-8 cm), étroits, dressés, ainsi que trois stigmates pétaloïdes et trois étamines, opposées aux tépales externes.
La floraison se déroule d'avril à juillet.
Les fruits sont des capsules de 4-8 cm, à trois compartiments (triloculaires), flottants et emportés par les eaux. Cependant, les graines ne peuvent germer qu'à la lumière. Les graines peuvent flotter durant 12 mois sur l'eau tout en gardant leur pouvoir germinatif. Les fruits sont mûrs en juillet-août.
La plante peut également se reproduire par son rhizome. Il peut former des colonies clonales.
L'iris des marais croît en Europe, en Afrique du Nord et au Proche-Orient. Il s'est naturalisé en Nouvelle-Zélande, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud (Argentine, Chili et Uruguay).
Il est commun dans les lieux humides de France : fossés, mares, étangs, marécages, cours d'eau et ceinture de roseaux. Il est parfois associé aux laîches et carex, toujours en eaux peu profondes. Peu exigeant quant à son exposition, l'iris se développe cependant mieux à la chaleur et à la lumière. Il est utilisé dans les systèmes de lagunage pour son pouvoir purifiant.
41 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 29 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : Deux poussins Foulque macroule sont nés ...
Lundi deux petits poussins sont nés, ils sont encore si petits. ils ne ressemblent pas du tout à leurs parents, loin de là.
Le poussin est noir avec des duvets jaunes clairsemés autour de la tête. La calotte est rougeâtre et nue. Le bec et la minuscule plaque frontale sont rouges. Les yeux sont noisette ou gris-brun.
Les poussins sont précoces mais ils sont couvés au nid les 4 premiers jours. Ils sont d'abord nourris bec à bec par les adultes.
Les jeunes sont capables de plonger au bout de 3 à 5 semaines après la naissance, et peuvent se nourrir eux-mêmes à un mois, mais les parents leur fournissent de la nourriture pendant encore deux mois, jusqu’à leur complète indépendance à 6-8 semaines. Ils sont emplumés à deux mois et peuvent voler à l’âge de 8-11 semaines.Et pendant ce temps là, "ma" future maman couve toujours ...
Papa commence à trouver le temps long lui aussi ; il encourage la future maman en poussant des petits cris.
62 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 28 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : Les marguerites
La Marguerite ou Marguerite commune (Leucanthemum vulgare) est une plante herbacée vivace de la famille des Asteraceae.
C'est une plante à fleur en touffe, à tige érigée, ridée, aux feuilles basales pétiolées, et aux caulinaires engainantes dentées.
Les inflorescences sont de grands capitules aux ligules blanches autour du centre jaune, lui-même composé de nombreuses petites fleurs sessiles ou fleurons.
Elle se rencontre dans les prés, accotements, bois clairs, sur substrat calcaire à légèrement acide ; c'est une plante très commune dans toute l'Europe jusque dans les régions septentrionales sauf au Spitzberg.
On multiplie la marguerite par semis en mars-avril ou par division de la touffe à la même époque ou en fin de floraison. Elle aime une terre ordinaire, même pauvre et bien drainée. Elle supporte le calcaire. Elle aime le soleil. Cette plante fleurit en juin et juillet lorsqu'elle a au moins 2 ans. La fleur de marguerite est simple, blanche et possède de 20 à 30 pétales. On l'utilise en bouquets.
L'entretien consiste à limiter son extension en terrains riches.
Attention: dans les terrains propices, cette plante devient vite très envahissante !
En cuisine : les feuilles jeunes et fraîches de marguerite se consomment en salade.
En phytothérapie : on utilise les fleurs séchées en infusion. La marguerite possède des propriétés antispasmodiques, calmantes, digestives, astringente tout comme la camomille qui est de la même famille.
La marguerite est également utilisée, comme la pâquerette, dans le jeu d'effeuillage de la marguerite.
* sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_commune
52 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 27 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : Foulque macroule
La Foulque macroule (Fulica atra) est une espèce d'oiseaux de la famille des Rallidae. Les foulques, excellents plongeurs, représentent parmi les membres de cette famille ceux qui semblent les plus adaptés à la vie aquatique.
Ils sont grégaires sur les étendues d'eau en hiver. Migrateurs partiels, au vol d'apparence laborieuse, ils nichent dans les roselières et/ou parmi les plantes palustres.
Comme la poule d'eau, qui occupe la même niche écologique et avec laquelle il cohabite souvent dans les zones humides anthropisées, c'est un oiseau qui - là où il n'est pas chassé - peut devenir très familier de l'homme. On peut alors l'observer se nourrir sans qu'il soit effarouché. Il peut nicher près des habitations, voire dans les ports.
La foulque macroule est aussi appelée blairie en Picardie. Elle était autrefois aussi nommée morelle selon Buffon, en raison de sa couleur noire.
C'est un palmipède au corps arrondi ; la plupart des spécimens arborent un plumage presque entièrement noir.
La foulque - souvent confondue avec la poule d'eau un peu plus petite à l'âge adulte - s'en distingue par ses pattes verdâtres aux longs doigts palmés, un bec blanc surmonté d'une plaque frontale (ou écusson) également blanche, des yeux ronds et rouges et des rémiges secondaires bordées de blanc.
Elle plonge souvent et habilement pour chercher sa nourriture et nage lentement, avec un hochement caractéristique de la tête. Elle défend son territoire et en chasse les intrus.
Chant : plutôt de nuit ou lors de ses vols au printemps ; son répertoire inclut une sorte de bref éternuement.
Alimentation : Son régime est omnivore à forte tendance végétarienne. Il va chercher sa nourriture jusqu'à 2, voire 4 à 5 m de profondeur.
Comme la poule d'eau, la foulque construit généralement un nid de branchages et matières végétales, posé sur une souche ou des végétaux à la surface de l'eau, souvent à faible profondeur et bien visible. Le nid peut être renforcé et surélevé si l'eau ne monte pas trop rapidement.
La femelle pond de 5 à 9 œufs blanc cassé brillant légèrement mouchetés (plus volumineux et plus clairs que ceux de la poule d'eau). L'incubation dure un peu plus de 21 jours et les poussins sortent souvent de l'œuf sur plusieurs jours, fin avril pour les premières portées (d'autres pouvant suivre en cas de perte des petits)- jusqu'en fin juillet.
Les jeunes quittent le nid après quelques jours, encadrés en sous-groupes par les deux parents. La femelle niche avec une moitié de la portée alors que le mâle construit une nouvelle plate-forme pour les poussins qu'il élève. Les jeunes mangent de manière autonome après 4 semaines. Il leur faut encore 4 semaines avant de pouvoir voler. Les jeunes ont une tête et un bec rouge à la naissance.
Photos prises les dimanches 17 mai et 24 mai 2015
51 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 26 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : "Le combat des chefs"
Et que font les "hommes" pendant ce temps là ? ils ne sont pas très différents des humains, croyez moi ! les hommes aiment se battre, et même chez les cygnes, en voici la preuve !
Ce qui m'a étonné, c'est madame cygne et ses petits, qui assistaient à la scène, tranquilles !
C'était très violent, les promeneurs dans leur barque en sont restés sans voix !
Pourquoi cet affrontement ? aucune idée, mais ces deux cygnes mâles ne rigolaient pas, oh non !!
Se sont de jeunes promeneurs en barque, qui, en prenant des risques, les ont séparé !
Toujours très en colère, mais chacun est reparti de son côté ...
54 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 25 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : des nouvelles de ma petite famille cygne
Je suis retournée voir "ma petite famille". Pas de très bonnes nouvelles, hélas.
Sur les quatre petits cygneaux déjà nés dimanche dernier, trois sont morts ; des deux oeufs pas encore éclos, deux magnifiques poussins ont vu le jour, eux se portent bien.
Les deux derniers nés sont cachés dans les ailes de maman, alors que le plus "vieux" fait sa toilette.
Nous leur souhaitons une longue vie ...
53 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 23 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : Le cygne tuberculé juvénile
Voici des photos de deux cygnes juvéniles.
Ils sont âgés de plus d'1 an, se sont les petits de l'année dernière. Ils ont vécu toute l'année avec leurs parents, et en période de reproduction, ils quittent définitivement le cocon familial et vivent en solitaire ou en bande de 2, 4 individus.
Ils atteindront leur maturité sexuelle à l'âge de 3 ans.
Le bec n'est pas encore tout à fait orange, il est "gris-jaune" et les pattes sont encore grises.
* sources : http://www.conservation-nature.fr/Cygnus_olor.html
79 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 22 Mai 2015 à 06:00
Lac Daumesnil : des petits cygnes voient le jour
Chaque année à Vincennes, au lac Daumesnil, des petits cygnes voient le jour.
Sur ces grandes étendues d'eaux, les couples de cygnes se reproduisent plus facilement.
Le nid est construit dans un endroit calme.
J'ai découvert avec surprise des cygneaux tout juste nouveaux-nés (de quelques heures ou jours, dont deux oeufs encore clos).
Un attroupement s'était formé autour d'eux.
De nombreux photographes étaient là, qui guettaient les faits et gestes des petits cygneaux, pas très adroits encore sur leurs pattes.
La maman cygne méfiante nous surveillait et décida de mettre ses petits "au lit", la visite était terminée...
... et papa cygne, pas loin nous regardait du coin de l'oeil.
62 commentaires -
Par Une fleur de Paris le 4 Avril 2015 à 06:44
« Es-tu narcisse ou jonquille ?
Es-tu garçon, es-tu fille ?
Je suis lui et je suis elle,
Je suis narcisse et jonquille,
Je suis fleur et je suis belle
Fille. »Robert Desnos a trouvé une classification très poétique. je souhaite vous faire partager mon enchantement pour la jonquille sauvage qui pare, à l’approche du printemps, sous-bois et prairies, de lumineux soleils.
Appartenant à la famille des Amaryllidacées, on lui donne également le nom de narcisse des prés et narcisse des bois parce qu’elle colonise ces terrains. Selon les régions, elle porte le nom dit vulgaire et pourtant fleurant savoureusement le terroir, de jeannette et marteau en Lorraine, porillon, aiault. campenotte en Franche-Comté, fieuquette en Haute-Marne, rousinette au pays nantais.
* source : http://encreviolette.unblog.fr/2008/03/12/danse-avec-la-jonquille/
78 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique