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Jardin du Carrousel : Aristide Maillol : Monument à Cézanne
Ce monument à Paul Cézanne, commandé en 1912 par un comité d'artistes d'Aix-en-Provence présidé par Frantz Jourdain , consistera en une simple statue de femme vêtue portant une branche d'olivier.
Pour Maillol, cette composition classique était la meilleure manière d'évoquer le peintre. L'oeuvre, refusée après une violente campagne de presse, ne sera installée au jardin des Tuileries qu'en 1929. Elle sera remplacée par une fonte en plomb en 1943 et attribuée au Musée d'Art moderne.
Monument à Cézanne - Sculptures dans la ville - Aristide Maillol - 1912
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Jardin du Carrousel : Aristide Maillol : La Rivière
La Rivière est une œuvre du sculpteur français Aristide Maillol. Il s'agit d'une sculpture en plomb. Créée en 1938, elle est installée à Paris.
L'œuvre est une sculpture en plomb. Elle représente un nu féminin allongé sur son côté gauche.
La sculpture est installée depuis 1964 dans le jardin du Carrousel aux Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris. Elle fait partie d'un ensemble de statues de Maillol exposées en plein air.
7) La Rivière
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Jardin des Tuileries : Goéland argenté
Le Goéland argenté (Larus argentatus) est une espèce d'oiseau de mer européen de taille moyenne de la famille des Laridae. Blanc à dos gris, il est génétiquement proche des autres goélands à tête blanche du genre Larus. Mâle et femelle sont presque identiques, mais le juvénile possède un plumage très différent et met quatre ans à acquérir son plumage d'adulte.
Les populations de goélands argentés ont connu une forte augmentation tout au long du XXe siècle. Cela a eu pour conséquence des heurts avec l'espèce humaine au niveau local, ou un impact négatif sur l'environnement, suscitant des opérations de régulation à l'échelle locale ou régionale. En dépit d'une stabilisation des effectifs au cours des dernières décennies, voire de déclins dans certaines régions, le goéland argenté reste un oiseau de mer très commun sur les côtes de France et de la plupart des pays d'Europe occidentale.
* Pour en savoir plus sur le goéland argenté : ICI - Cliquez sur les photos pour les voir en grand format.
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Jardin du Carrousel : Aristide Maillol : Vénus et la Baigneuse aux bras levés
Dina Vierny, dernier modèle de Maillol durant une dizaine d'années - qui avait été sauvée de la déportation grâce à l'entremise d'Arno Breker et de Maillol - a depuis la mort de Maillol entrepris de diffuser son œuvre à l'aide de la fondation Dina Vierny - musée Maillol, à Paris.
Dina Vierny5) Vénus
Vénus est une sculpture en bronze. Créée en 1928, elle est installée à Paris.
L'œuvre est une sculpture en bronze. Elle représente un nu féminin debout.
La sculpture est installée depuis 1964 dans le jardin du Carrousel aux Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris. Elle fait partie d'un ensemble de statues de Maillol exposées en plein air.
6) La Baigneuse aux bras levés
L'œuvre est une sculpture en bronze. Elle représente un nu féminin debout, se coiffant.
La sculpture est installée depuis 1964 dans le jardin du Carrousel aux Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris.
Elle fait partie d'un ensemble de statues de Maillol exposées en plein air.
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Jardin du Carrousel : Aristide Maillol : La Nymphe
Le 1er arrondissement est l'un des plus riches arrondissements de Paris en matière d'œuvres d'art public — essentiellement des statues. Ceci est essentiellement dû à la présence des jardins des Tuileries, qui hébergent plusieurs dizaines de sculptures, tant classiques que contemporaines.
4) La Nymphe
La Nymphe (1930), statue d'Aristide Maillol installée dans le jardin du Carrousel à Paris.
"Je travaille comme si rien n’existait, comme si je n’avais rien appris. Je suis le premier homme qui fait de la sculpture." Aristide Maillol
L'oeuvre sculptée d'Aristide Maillol est presque entièrement fondée sur l'étude du corps féminin, le plus souvent des représentations de femmes nues au corps robuste et massif, dans toutes les positions, debout, assises ou allongées. Ses oeuvres, lisses et épurées, représentent les saisons, les jours, les sentiments et les éléments.
Les personnages de Maillol peuvent être des nymphes ou tout simplement des femmes occupées à des gestes du quotidien.
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* sources : http://www.moreeuw.com/histoire-art/biographie-aristide-maillol.htm
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Jardin des Tuileries : un printemps bien timide ...
Le printemps arrive, le printemps est là ... En ce dimanche 13 mars je suis allée me promener dans le jardin de mon enfance. Il y avait un beau ciel bleu, un beau soleil mais aussi beaucoup de vent.
Voici quelques clichés ...
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Jardin du Carrousel : Aristide Maillol : Les 3 Nymphes ou les 3 GrâcesLe palais des Tuileries, incendié par les émeutiers de la Commune de 1871, sera rasé en 1883 et remplacé par le jardin du Carrousel, qui porte le nom d'une parade hippique. Deux parterres encadrant des buissons d'ifs rayonnant à partir de l'arc de Triomphe du Carrousel, commémorent les victoires napoléoniennes de 1805 et 1806. Le jardin sur dalle suspendu, redessiné par Jacques Wirtz au cours de la construction des galeries du Carrousel du Louvre, abrite à son extrémité la célèbre pyramide inversée de Pei. Elle éclaire les nouveaux magasins de la galerie marchande construite à l'occasion des travaux du Grand Louvre.
3) Les 3 Nymphes ou les 3 Grâces
Les Nymphes (ou les Trois Nymphes) Il s'agit d'une sculpture en bronze. Créée en 1930, elle est installée à Paris.
La sculpture est installée depuis 1964 dans le jardin du Carrousel aux Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris. Elle fait partie d'un ensemble de statues de Maillol exposées en plein air.
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* sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Nymphes
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jardin du Carrousel : Aristide Maillol : La Méditerranée
Plusieurs années après la mort du sculpteur Aristide Maillol (1861 – 1944), sa muse et modèle Dina Vierny fit don à la France des œuvres de l’artiste pour le faire connaitre du grand public.C’est André Malraux, alors ministre de la Culture, qui décida en 1964 d’en installer une vingtaine dans les jardins du Domaine National du Louvre et des Tuileries, superbe espace vert construit comme un labyrinthe entre le jardin des Tuileries et le Carrousel du Louvre.
Se rendre dans ce jardin, c’est avant tout flâner entre les sculptures de Maillol, entouré par le décor luxuriant du Musée du Louvre.
Un lieu culturel chargé d’histoire, qui contribue à donner aux formes féminines de Maillol un caractère majestueux supplémentaire. L’artiste n’aurait d’ailleurs pu rêver meilleur emplacement que ce jardin, tant ses œuvres s’accordent avec le décor.
Contrairement à l’esthétique qui révolutionnera la sculpture après Rodin, Maillol s’attachera principalement au style, c’est-à-dire aux formes pures et lisses. Et c’est une promenade à la découverte de la source d’inspiration favorite de Maillol, les corps féminins, que ce jardin vous propose. Remarquez la sensualité des corps, l’élégance de la gestuelle, exaltées par les formes rondes et généreuses.
Des œuvres qui s’offrent entièrement au public et révèle l’art unique de Maillol, comme le souhaitait Dina Vierny…
2) La Méditerranée
La Méditerranée est une sculpture en bronze. Créée en 1905, elle est installée à Paris.
L'œuvre est une sculpture en bronze. Elle représente une femme nue assisse, le genou gauche levé, le coude gauche reposant sur ce genou et la tête posée sur la main gauche. La personne s'appuie sur son bras droit et sa jambe droite est étendue afin de passer sous sa jambe gauche.
La sculpture est installée depuis 1964 dans le jardin du Carrousel aux Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris. Elle fait partie d'un ensemble de statues de Maillol exposées en plein air.
Une copie est exposée dans le patio de l'Hôtel de ville de Perpignan.
Aristide Maillol est mort le 27 septembre 1944 à Banyuls-sur-Mer, où il aura passé presque toute sa vie. Dans le jardin du musée qui lui est consacré, une statue de femme représentant la Méditerranée orne sa tombe.
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* sources : http://www.unjourdeplusaparis.com/paris-vert/maillol-au-jardin-des-tuileries
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Aristide Maillol le sculpteur préféré des jardins du Carrousel
Les sculptures d'Aristide Maillol sont celles qui sont les plus photographiées du Jardin des Tuileries. Placées dans les jardins du Carrousel, elles attirent chaque jour beaucoup de monde.
Aristide Maillol était un sculpteur catalan né à Banyuls-sur-Mer. Il fût d'abord tapissier avant de passer à la céramique puis à la sculpture sur bois, pierre et bronze.
Aristide Maillol et Dina Vierny (son principal modèle)
Il s'est surtout fait connaître pour ses représentations de femmes qu'il a modelées dans son atelier de Marly-le-Roi.
C'est grâce à l'initiative d'André Malraux, que plusieurs de ses déesses, baigneuses et autres nymphes ont trouvé domicile au jardin des Tuileries.Aristide Maillol est décédé à l'âge de 83 ans le 27 septembre 1944. Il restera toujours un des plus grands sculpteurs de notre époque.
1) La Nuit
La Nuit est une œuvre du sculpteur français Aristide Maillol. Il s'agit d'une sculpture en bronze. Créée en 1909, elle est installée à Paris.
L'œuvre est une sculpture en bronze. Elle représente un nu féminin assis, les jambes pliées, les bras posés sur les genoux et la tête sur l'espoir.
La sculpture est installée depuis 1964 dans le jardin du Carrousel aux Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris. Elle fait partie d'un ensemble de statues de Maillol exposées en plein air.
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* sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nuit_(Maillol)
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La statue équestre d'Henri IV (Pont Neuf)
M. THIERY, guide des amateurs et des étrangers voyageurs à Paris, tome II, Paris, Hardouin et Gattey, 1787, p. 10-11 :
"Cette statue, dit M, de Sainte-Foix, est la première et le premier monument général et public de cette espèce qu'on ait élevé dans Paris à la gloire de nos rois. Elle est posée sur le môle ou bastion de la pointe de l'Île du Palais, qui forme place, et partage le Pont-Neuf en deux parties, vis-à-vis l'ouverture de la Place Dauphine.
Aux quatre coins du piédestal, qui est en marbre blanc, sont attachés sur des trophées d'armes antiques, des esclaves en bronze de grandeur naturelle, soutenus sur un soubassement de marbre bleu turquin. La figure du roi parfaitement belle, est d'un nommé Dupré, sculpteur.
Le cheval, que les connaisseurs trouvent trop gros, est de Jean de Bologne, élève de Michel Ange. François Marie de Miniers, premier du nom, Grand-duc de Toscane, en fît présent à Marie de Médicis sa fille, pour lors régente du Royaume. Les esclaves et autres ornements sont de Francaville, sculpteur, natif de Cambrai. La première pierre du piédestal fut posée par Louis XIII, le 2 juin 1614, et la statue fut élevée le 23 août suivant.
On mit dans le ventre du cheval une inscription en français, écrite sur un parchemin renfermé dans un tuyau de plomb, où sont marqués les noms des principaux officiers qui assistèrent à la cérémonie. Le tout ne fut achevé qu'en 1635, sous le ministère du Cardinal de Richelieu qui en ordonna les inscriptions. Elles expliquent les principales actions de ce grand roi".
La statue représentant Henri IV à cheval, érigée quatre ans après sa mort (en 1614) sur le terre-plein où se rejoignent les deux parties du Pont-Neuf, fut la première statue royale équestre, détachée de tout monument, réalisée en France. Elle était l'oeuvre du fondeur Pierre Tasca, d'après un modèle de François Franqueville, élève de Jean Bologne. Elle fut longtemps désignée comme "le cheval de bronze" et devint une attraction pour les parisiens. C'est pourquoi elle apparaît souvent comme un repère dans la série de Jean-François Parot.
Comme toutes les statues royales, elle fut fondue pendant la Révolution. Elle fut cependant reproduite à l'identique sur le Pont-Neuf en 1818, selon la volonté de Louis XVIII. Le fondeur, François Lernot, utilisa le bronze d'une statue de Desaix, place des Victoires. Bonapartiste, il aurait dissimulé dans la statue une petite effigie de Napoléon et LA HENRIADE de Voltaire, auteur détesté par la monarchie en raison de son anticléricalisme.
Cliquez sur mes photos pour les voir en grand format (les deux plus petites photos ont été prises avec mon premier appareil un petit Nikon-coolpix)
* Sources : http://www.nicolaslefloch.fr/Lieux/StatueHenriIV.htm
La Poule au Pot
La Poule au pot est l'un des plats traditionnels les plus représentatifs de la gastronomie française. Le roi Henri IV l'a rendue célèbre en déclarant que chaque paysan devrait pouvoir mettre la poule au pot le dimanche.
La recette de la poule au pot d'Henri IV est très simple : il suffit de faire cuire dans un grand pot (faitout, marmite ou cocotte minute pour accélérer la cuisson) rempli d'eau une poule entière accompagnée de légumes : carottes, navets, poireaux, un ou deux oignons piqués d'un clou de girofle, éventuellement un ou deux autres légumes racines comme le panais, le rutabaga ou le topinambour. Assaisonner simplement de sel, de poivre et d'un bouquet garni. Servir avec du riz cuit dans le bouillon de la poule.
La mystérieuse affaire du bandeau rouge
Plusieurs statues de Paris (ainsi qu'à Marseille) ont sur les yeux un morceau de tissu écarlate, une drôle d’histoire qui fait réagir habitants et touristes.
Pourquoi, comment et surtout qui ? Ces questions sont sur toutes les lèvres.
Un message politique ?
Performance de street art ? Message politique ? Aucune info n’émerge pour l’instant sur le ou la (ou les) mystérieuse(s) personne(s) responsables de l’ajout, ni sur leurs motivations.
Plusieurs symboliques peuvent faire écho à cette manifestation. Thémis, déesse de la justice, est représentée les yeux bandés en signe d’impartialité. Par détournement, le bandage des yeux peut aussi être le signe d’un aveuglement volontaire.
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Au pont des Arts, les panneaux vitrés sont posés
L’ultime étape du plan anti-cadenas de la ville de Paris…
Cette fois-ci, il n’y a plus de retour en arrière possible. Les cadenas sur le pont des Arts, c’est définitivement fini.
Après les panneaux aux oeuvres d'art au début de l'été 2015 voici les panneaux vitrés.
Des verres antireflets
Cette fois , tous les panneaux en bois, ont été poncé et les garde-corps ont été repeint, afin d’installer des panneaux de verre. Il y en a 56 en tout, d’une centaine et de 2,75 m de long chacun. Il ne s’agit pas de n’importe quel verre, « mais des visions lite, précise Pierre Mainguenaud, de l’entreprise Saint-Gobain qui les fabrique. Il s’agit d’un verre feuilleté et antireflet. Avec ces verres, on descend à 1 % de réflexion contre 10 % pour un verre classique. Vous aurez l’impression qu’il n’y aura pas de verre. »
C’est cette promesse qui a séduit la mairie de Paris, soucieuse d’améliorer la vision panoramique qu’offre l’endroit sur la capitale.
« Les travaux ont été réalisés en plusieurs étapes, raconte Ambroise Dupayet, ingénieur au sein de la direction de la voirie et des déplacements de la ville de Paris. Nous avons commencé par la partie aval du pont, une phase qui nous a amené jusqu’à fin novembre. Puis nous avons fait l’autre côté du pont et les garde-corps aux deux extrémités du pont. Cette deuxième étape s’est achevée début janvier. »
Après le pont des Arts, celui de l’Archevêché
L’opération a un coût de 500.000 euros TTC. Maintenant que le pont des Arts est terminé, celui de l’Archevêché, qui lui aussi fut recouvert de cadenas à deux pas de là, bénéficiera du même traitement.
* sources : http://www.20minutes.fr/paris/1705827-20151009-paris-pont-arts-panneaux-vitres-passe-etre-poses
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Un mammouth à Paris !
Les mammouths n’ont pas disparu de la surface de la terre, c’est n’est qu'un mensonge en voici la preuve en images !
Si vous voyez un mammouth en sortant de la gare d’Austerlitz de Paris, surtout, pas de panique. Ces animaux ne sont pas méchants, par contre, ils sont très susceptibles et ils seront gentils avec vous, à condition que vous soyez gentils aussi avec eux.
Les mammouths ne vivaient pas dans la neige, mais dans la steppe, de grandes étendues herbeuses qui n’ont plus d’équivalent chez nous. L’animal passait la plupart de sont temps à boire et à manger pour absorber jusqu’à 100 litres d’eau et 180 kg d’herbe, dont il avait besoin chaque jour pour survivre.
Le mammouth possédait une toison épaisse et une trompe. Sa peau affichait ses deux centimètres d’épaisseur au-dessus d’une couche de graisse de 8-10 cm.
Le mammouth attrapait la nourriture avec sa trompe, résultat de la fusion du nez, de la lèvre supérieure et des muscles de la face.
Curieusement, les mammouths ne sont pas les ancêtres de l’éléphant ! Le mammouth et l’éléphant partagent un ancêtre commun qui vivait il y a sept millions d’années environ. Les mammouths et les éléphants ont évolué de manière parallèle depuis plus de cinq millions d’années.
La disparition du mammouth est sans doute due au changement climatique. Contrairement aux rennes ou aux caribous, le mammouth, devenu hyperspécialisé avec ses dents élaborées comme des meules pour manger l’herbe, s’est trouvé fort dépourvu quand la pluie et le réchauffement sont venus, il y a 10 000 ans.
La steppe s’est appauvrie, des arbres sont apparus. Les mammouths n’ont pas su s’adapter et ont disparu. On croit que sur l’île de Wrangel, au nord-est de la Sibérie, les derniers mammouths ont vécu il y a 4 000 ans. Aujourd’hui, une possible récréation des mammouths est un grand fantasme de scientifiques, qui prélèvent des tissus sur les mammouths congelés que l’on découvre régulièrement. Ils espèrent en trouvant de l’ADN en bon état pouvoir ressusciter ce gros animal, mais la probabilité de retrouver une cellule vivante est quasi-impossible !
"Article déjà publié sur mon blog "TititeParisienne" hébergé chez Overblog et qui a disparu lors de mon transfert chez Eklablog."
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Maya, le panda roux de la Ménagerie
Dans l'ancienne fosse aux ours de la Ménagerie du jardin des Plantes, voici, Maya, le panda roux. Depuis août 2015 et après un bon mois de travaux, cette femelle de 12 ans, née à Madrid et arrivée à Paris en 2006, profite d'un nouvel enclos.
Maya, arboricole de l'Himalaya, peut désormais se présenter au public en s'accrochant à l'un des 30 bambous de 6 à 8 m de haut et de 10 à 15 cm de diamètres qui ont été installés pour elle. Après trois bons jours d'acclimatation, tout semble aujourd'hui à son goût.
Les pandas roux sont arboricoles, ils ne descendent à terre que pour changer d’arbre ! De mœurs nocturnes, ils mènent une vie solitaire, et bien que les territoires des mâles et des femelles peuvent se chevaucher, les couples ne se rencontrent et ne se forment que le temps de l’accouplement.
La femelle met au monde ses petits, généralement 2, à l’abri dans un trou d’arbre ou dans une tanière. A la naissance ils ne mesurent pas plus de 6 centimètres et pèsent une centaine de grammes. Ils ouvriront leurs yeux au bout de 18 jours et feront leurs premiers pas à l’extérieur vers 3 mois. Ils resteront auprès de leur mère pendant une année.
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* pour en savoir plus : http://www.zoodujardindesplantes.fr/fr/animaux/mammiferes/panda-roux
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Théodora n'aime pas les paparazzi !!
Théodora, est née le 5 mai 1988. Elle est arrivée le 28 novembre 2007 du zoo de Twycross (Angleterre).
Théodora est la plus drôle, elle aime faire des grimaces aux enfants et les imiter !
Mais faut pas que ça dure trop longtemps quand même, dans ce cas la, elle sait se faire comprendre, sacrée Théodora !
Trop de monde sûrement, elle attrape son drap qu'elle met sur ses épaules et me regarde ...
Bon allez, ça suffit les photos !
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Entre elle et Nénette, quarante-deux ans de complicité !
Elle seule arrive à faire descendre Nénette de son piédestal (en fait un bidon bleu). Et cela suffit à faire la joie des enfants, ébahis. A la ménagerie du jardin des Plantes (Ve), derrière la vitre de sa cage, l’un des plus célèbres et des plus vieux orangs-outans vivants au monde (47 ans) reconnaît toujours «sa véto ».
«Nénette avait 3 ans et moi 27 quand on s’est rencontrées. Elle m’a enveloppée. Elle m’a embrassée. C’était l’un des grands moments de ma vie ! »
Photo Le Parisien
Aujourd’hui, Marie-Claude Bomsel, 69 ans, est officiellement à la retraite. Celle qui fut surnommée la Madame Daktari de la ménagerie parisienne, connue du grand public comme chroniqueuse dans l’émission « C’est au programme » de France 2, vient de signer un récit autobiographique « Mon histoire naturelle »*.
Une femme haute en couleur
L’occasion de revenir sur le parcours de cette femme haute en couleur, élevée dans une «famille bourgeoise versaillaise » et qui, diplôme en poche, a choisi d’exercer ce que sa mère qualifiait de «métier salissant ». Une maman qui l’appelait «ma petite guenon » !
Ce vendredi-là, dans les allées de la ménagerie, la «véto », crinière au vent, baskets noirs aux pieds et petites lunettes cerclées sur le bout du nez, est comme chez elle, dans ce «coin de verdure au charme suranné », au milieu des soigneurs et des animaux avec lesquels elle aura passé 42 ans de sa vie !
A la tête de la Jane Goodall Institute France, Marie-Claude Bomsel milite désormais pour la défense de la condition animale et la sauvegarde de la planète. La chercheuse-enseignante — elle est professeur honoraire au Muséum — confesse regarder avec «culpabilité » Nénette et ses camarades orangs-outans derrière les vitres de leurs petites cages. «C’est un pis-aller. On a conscience qu’il faut s’agrandir. »
Dans un mois, cette femme, qui met dans l’ordre des priorités de sa vie «[ses] enfants, Nénette et [ses] maris », s’envolera pour le Costa Rica, pour montrer à sa petite-fille «la jungle, les petits singes et les paresseux ». Ensuite, la primatologue préparera un voyage au Botswana pour aller voir les gorilles avant de se lancer dans l’écriture d’un nouveau livre. On ne se change pas.
Céline Carez - Le Parisien du samedi 27 février 2016
(Nikon-Faune-et-Flore est mon pseudo chez Skyrock - photos protégées)
«Mon histoire naturelle », de Marie-Claude Bomsel, aux éditions Arthaud, 275 pages, 21 €.
Dernières Infos : Indonésie : Des orangs-outans de Bornéo meurent brûlés vifs. À lire ici
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La crue de janvier 1910
La crue de janvier 1910 est un épisode bien inscrit dans la mémoire collective de la région parisienne. Dans la capitale comme en banlieue, d'innombrables bornes viennent rappeler la hauteur maximale de la Seine au 28 janvier de cette année là : 8,62 m, soit quatre fois son niveau habituel. De quoi tremper jusqu'aux épaules le zouave du pont de l'Alma.
L'événement a été abondamment photographié, immortalisé par des images d'Épinal.
Ce sont des barques en plein Paris, comme celles amenant des députés à l'Assemblée nationale, mais aussi sous terre, à l'instar de celles empruntées par des employés du métro pour parcourir leur réseau à moitié inondé.
Ce sont aussi ces élégants de la Belle-Époque qui traversent des avenues sur des ponts de fortune faits de planches de bois pour éviter de se mouiller les pieds.
Mais derrière l'aspect pittoresque des images, la crue fut une véritable catastrophe : 20 000 immeubles les pieds dans l'eau à Paris, Alfortville (Val-de-Marne, à l'époque dans le département de la Seine) entièrement inondé, des dizaines de maisons effondrées à Gennevilliers et Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine)... On estime à 1,4 Md € les dégâts occasionnés par cette brusque montée des eaux, dont la décrue dura 35 jours au total.
L.M. Le Parisien du Lundi 7 mars 2016
Merci à tous ces photographes connus ou anonymes ...
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