Cirque Pinder dans Pinder fête ses 160 ans ! Frédéric Edelstein et ses 12 lions blancs !

Cirque Pinder dans Pinder fête ses 160 ans ! Frédéric Edelstein et ses 12 lions blancs !

« Ce numéro de 12 lions blancs est unique au monde ». Frédéric Edelstein, dompteur, est particulièrement fier de présenter cette année un numéro atypique.

Passionné aussi, quand il raconte le contexte dans lequel ces « petits derniers » sont arrivés dans le cirque : « J'ai sauvé ces lions d'une mort certaine, explique le directeur du cirque. En Afrique du Sud, leur chasse est très prisée et provoque des abattages massifs ». Trois autres lions blancs devraient rejoindre les 12 fauves aujourd'hui présents dans les prochains mois.

Espèce endémique à ce pays, le lion blanc a la particularité d'être doté d'une intelligence très développée :

« En six mois, j'ai réussi à faire avec eux ce que je fais avec d'autres espèces en un an », souligne Frédéric Edelstein. Une intelligence qui a aussi son revers : « Leur dangerosité est bien supérieure à celle de leurs congénères ». Ce qui n'empêche ce passionné de fauve de réussir à établir une réelle complicité avec ses fauves, qui se couchent sur lui, l'embrasse... Un numéro exceptionnel.

Fils de Gilbert et Andrée EDELSTEIN, les propriétaires du Cirque PINDER, Frédéric est devenu en quelques années l’un des meilleurs dompteurs de sa génération.

Né le 30 juillet 1969 à Lyon, il se passionne très vite pour les animaux et notamment les fauves. Lorsque son père rachète le Cirque PINDER, Frédéric pense qu’il va pouvoir suivre le Cirque, mais ses parents l’obligent à poursuivre ses études. Profitant des vacances scolaires passées au Cirque, il peut ainsi admirer, soigner et observer les animaux et notamment les tigres.

Puis un jour en cachette de ses parents, il a alors 14 ans, il fait installer par le personnel  la cage et rentre au milieu de quelques fauves, nous sommes en 1983.

Quelques années plus tard il remplace, sans l’accord de ses parents, un dompteur absent et ce n’est que quelques jours après qu’ils apprennent par un ami que leur fils présentait tous les soirs le numéro de fauves.

* Sources : http://cirquepinder.com/content/13-frederic-edelstein