• Entre elle et Nénette, quarante-deux ans de complicité !

    Elle seule arrive à faire descendre Nénette de son piédestal (en fait un bidon bleu). Et cela suffit à faire la joie des enfants, ébahis. A la ménagerie du jardin des Plantes (Ve), derrière la vitre de sa cage, l’un des plus célèbres et des plus vieux orangs-outans vivants au monde (47 ans) reconnaît toujours «sa véto ».

    «Nénette avait 3 ans et moi 27 quand on s’est rencontrées. Elle m’a enveloppée. Elle m’a embrassée. C’était l’un des grands moments de ma vie ! »

    Entre elle et Nénette, quarante-deux ans de complicité !

    Photo Le Parisien

    Aujourd’hui, Marie-Claude Bomsel, 69 ans, est officiellement à la retraite. Celle qui fut surnommée la Madame Daktari de la ménagerie parisienne, connue du grand public comme chroniqueuse dans l’émission « C’est au programme » de France 2, vient de signer un récit autobiographique « Mon histoire naturelle »*.

    Une femme haute en couleur

    L’occasion de revenir sur le parcours de cette femme haute en couleur, élevée dans une «famille bourgeoise versaillaise » et qui, diplôme en poche, a choisi d’exercer ce que sa mère qualifiait de «métier salissant ». Une maman qui l’appelait «ma petite guenon » !

    Ce vendredi-là, dans les allées de la ménagerie, la «véto », crinière au vent, baskets noirs aux pieds et petites lunettes cerclées sur le bout du nez, est comme chez elle, dans ce «coin de verdure au charme suranné », au milieu des soigneurs et des animaux avec lesquels elle aura passé 42 ans de sa vie !

    A la tête de la Jane Goodall Institute France, Marie-Claude Bomsel milite désormais pour la défense de la condition animale et la sauvegarde de la planète. La chercheuse-enseignante — elle est professeur honoraire au Muséum — confesse regarder avec «culpabilité » Nénette et ses camarades orangs-outans derrière les vitres de leurs petites cages. «C’est un pis-aller. On a conscience qu’il faut s’agrandir. »

    Dans un mois, cette femme, qui met dans l’ordre des priorités de sa vie «[ses] enfants, Nénette et [ses] maris », s’envolera pour le Costa Rica, pour montrer à sa petite-fille «la jungle, les petits singes et les paresseux ». Ensuite, la primatologue préparera un voyage au Botswana pour aller voir les gorilles avant de se lancer dans l’écriture d’un nouveau livre. On ne se change pas.

    Céline Carez - Le Parisien du samedi 27 février 2016

    Entre elle et Nénette, quarante-deux ans de complicité !

     

    Entre elle et Nénette, quarante-deux ans de complicité !

     

    Entre elle et Nénette, quarante-deux ans de complicité !

    (Nikon-Faune-et-Flore est mon pseudo chez Skyrock - photos protégées)

    Marie-Claude Bomsel - Mon histoire naturelle - Vétérinaire auprès des animaux sauvages. 

    «Mon histoire naturelle », de Marie-Claude Bomsel, aux éditions Arthaud, 275 pages, 21 €.

     Dernières Infos : Indonésie : Des orangs-outans de Bornéo meurent brûlés vifs. À lire ici 

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  • La crue de janvier 1910

    La crue de janvier 1910 est un épisode bien inscrit dans la mémoire collective de la région parisienne. Dans la capitale comme en banlieue, d'innombrables bornes viennent rappeler la hauteur maximale de la Seine au 28 janvier de cette année là : 8,62 m, soit quatre fois son niveau habituel. De quoi tremper jusqu'aux épaules le zouave du pont de l'Alma.

    L'événement a été abondamment photographié, immortalisé par des images d'Épinal.

    Ce sont des barques en plein Paris, comme celles amenant des députés à l'Assemblée nationale, mais aussi sous terre, à l'instar de celles empruntées par des employés du métro pour parcourir leur réseau à moitié inondé. 

    Ce sont aussi ces élégants de la Belle-Époque qui traversent des avenues sur des ponts de fortune faits de planches de bois pour éviter de se mouiller les pieds.

    Mais derrière l'aspect pittoresque des images, la crue fut une véritable catastrophe : 20 000 immeubles les pieds dans l'eau à Paris, Alfortville (Val-de-Marne, à l'époque dans le département de la Seine) entièrement inondé, des dizaines de maisons effondrées à Gennevilliers et Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine)... On estime à 1,4 Md € les dégâts occasionnés par cette brusque montée des eaux, dont la décrue dura 35 jours au total.

    L.M. Le Parisien du Lundi 7 mars 2016

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910

      

    La crue de janvier 1910 

    Merci à tous ces photographes connus ou anonymes ...

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  • Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    La Seine débordera de son lit ...
    Le principal risque naturel susceptible d’affecter l’Ile-de-France est celui d’une crue. Il est assuré qu'un jour la Seine débordera de son lit, comme ce fut le cas en 1910. La gestion de cet événement nécessitera l'engagement de moyens de grande envergure.

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

     

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    Une crue majeure est difficilement prévisible. Devant un phénomène apparemment peu menaçant, tout l'enjeu est de maintenir pouvoirs publics, opérateurs et citoyens en veille, prêts à y faire face.

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    L’exercice EU Sequana 2016, qui vise à se préparer au risque inondation, se tiendra du 7 au 18 mars prochains sous le pilotage du Secrétariat général de la Zone de Défense et de sécurité de la préfecture de police de Paris. Cette simulation grandeur nature sera « une occasion formidable pour rassembler tous les acteurs concernés par ce risque majeur », selon Jean-François Carenco, préfet de la région Île-de-France, préfet de Paris et Michel Cadot, préfet de police. 

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    Les objectifs

    • Rassembler les partenaires et acteurs du territoire francilien autour d’un exercice de gestion de crise à ampleur européenne pour renforcer la coordination de leurs actions.
    • Faire fonctionner le mécanisme européen de protection civile 
    • Focaliser l’attention des populations sur le phénomène de crue

    Le scénario, au plus près des conditions réelles d’une crue

    • du 7 au 13 mars 2016 : la montée des eaux de la Seine (5,50 mètres relevés à Paris-Austerlitz le lundi 7 mars 2016, 7,13 mètres le jeudi 10 mars. Niveau R1 atteint le vendredi 11 mars 2016).
    • le week-end du 12 et 13 mars 2016 : l’exercice de terrain (FSX) au pic de crue, accompagné d’actions de communication à destination du grand public en Île-de-France.
    • du 15 au 18 mars 2016 : la décrue de la Seine. Ces quatre derniers jours permettront de jouer les conditions de l’après crise par l’introduction d’un saut temporel (journée de pause le lundi 14 mars). Il est ainsi proposé aux opérateurs-joueurs d’inscrire leurs actions dans le cadre du retour à la normale. Les opérateurs joueront le matin correspondant à J+5 après le pic de crue et l’après-midi un scénario à J+30 après le pic de crue. Le scénario permet de jouer cette phase de la crise, d’habitude écartée et particulièrement pertinente pour certains opérateurs. Durant cette séquence, les partenaires pourront mettre en avant leurs enjeux prioritaires nécessitant un retour à la normale le plus rapide possible.
    La Préfecture des Hauts-de-Seine et les partenaires du département joueront le vendredi 11 mars, ainsi que le samedi 12 et le dimanche 13 mars :
     
    Vendredi 11 mars : Le Centre Opérationnel Départemental - la cellule de crise du Préfet - sera activée. Une trentaine de partenaires, administrations publiques, entreprises, opérateurs, travailleront en salle de crise ou dans leur structures respectives sur la gestion de la crue. Les thématiques liées aux réseaux (gaz, électricité, eau potable), les relations avec les collectivités territoriales et avec le monde de l'entreprise, l'anticipation des mesures liées au retour à la normale seront les axes principaux de l'exercice.

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    De nombreuses communes du département sont mobilisées et participeront à l'exercice. Plusieurs communes activeront leur Poste de Commandement Communal, cellule de crise du maire. Certaines communes (Clichy, Gennevilliers notamment) joueront même une partie de l'exercice sur le terrain.
     

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    Samedi 12 et dimanche 13 mars : Un exercice terrain de grande ampleur se déroulera sur le Port de Gennevilliers, un des 7 sites d’exercices prévus pour accueillir les opérations en situations réelles. Un sauvetage sur site d’éboulement avec hélitreuillage sera réalisé samedi 12 mars 2016 de 14h à 23h. La récupération à terre et en darse de polluants fictifs se déroulera dimanche 13 mars 2016 de 8h à 14h.

    Exercice de simulation d'une crue majeure en Île-de-France

    Photos prises en février 2013 - cliquez sur les photos pour les voir en grand format.

    Pour en savoir plus :

    - sur le risque inondation dans les Hauts-de-Seine, consultez la page dédiée 

    ICI et ICI 

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  • Jardin du Luxembourg : Marie de Médicis

    La statue de Marie de Médicis fait partie des statues des Reines de France implantées autour du bassin du jardin du Luxembourg. Elle est l’œuvre de Louis-Denis Caillouette (1790-1868) en 1844.

    Jardin du Luxembourg : statue de Marie de Médicis

    Marie de Médicis (en italien Maria de' Medici), née le 26 avril 1575 à Florence et morte le 3 juillet 1642 à Cologne, est une reine de France et de Navarre de 1600 à 1610 par son mariage avec Henri IV. Veuve en 1610, elle assure la Régence au nom de son fils, Louis XIII, jusqu'en 1614. Elle devient alors chef du Conseil du Roi à la suite du lit de justice du 2 octobre 1614, et ce jusqu'en 1617, date de la prise de pouvoir de son fils. Marie est le sixième enfant de François Ier de Médicis (1541–1587), grand-duc de Toscane, et de Jeanne d'Autriche (1548–1578), archiduchesse d'Autriche, fille de Ferdinand Ier du Saint-Empire et d’Anne Jagellon.

    Jardin du Luxembourg : statue de Marie de Médicis

    Elle passe une enfance triste et solitaire, au palais Pitti car elle est orpheline de mère à 5 ans et de père à 12 ans. Son oncle Ferdinand Ier de Médicis monte sur le trône de Toscane et épouse Christine de Lorraine, petite-fille de la reine de France Catherine de Médicis. Nonobstant son désir de donner un héritier à sa dynastie, il fait donner à ses neveux et nièces orphelins une bonne éducation. Marie apprécie particulièrement les disciplines scientifiques et notamment les sciences naturelles, et se passionnera pour les bijoux, les pierres précieuses. Proche des artistes de sa Florence natale, elle est formée au dessin par Jacopo Ligozzi, où elle se montre très douée ; elle joue aussi de la musique (chant et pratique de la guitare et du luth), apprécie le théâtre et la danse.

    * sources : http://www.paristoric.com/index.php/paris-d-hier/statues/statues-du-luxembourg/2870-les-statues-du-luxembourg-la-statue-de-marie-de-medicis

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  • Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    La fontaine Médicis est l’un des éléments décoratifs les plus importants du Jardin du Luxembourg. Peu de gens savent que c’est à la veuve d’Henri IV, Marie de Médicis, que l’on doit ce beau morceau d’architecture dénommé alors "grotte du Luxembourg".

    Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    Au cours des siècles, la grotte connaîtra plusieurs transformations, la principale consistant, au XIXe siècle, en son déplacement pur et simple.

    Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    Marie de Médicis avait envisagé pour la décoration du jardin du palais qu’elle venait de faire construire à Paris, dans le faubourg Saint-Germain-des-Prés, nombre de grottes, fontaines, bassins et terrasses avec jeux d’eau. Aujourd’hui, seule la fontaine Médicis est le témoignage des réalisations souhaitées par la reine.

    Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    La reine voulait retrouver l’atmosphère des nymphées et fontaines des jardins italiens de son enfance, en particulier celle de la grotte de Buontalenti dans les jardins de Boboli à Florence.

    Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    Elle en confia la réalisation à l’ingénieur florentin Thomas Francine, qu’elle avait par ailleurs chargé de conduire les eaux de Rungis jusqu'à Paris.

    Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    C’est probablement lui qui, vers 1630, dessina les plans de la grotte et non Salomon de Brosse, l’architecte chargé de la construction du Palais du Luxembourg. 

    Jardin du Luxembourg : La Fontaine Médicis

    * sources : http://www.senat.fr/visite/fontaine/

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  • Jardin du Luxembourg : Le Marchand de Masques

    Le Marchand de Masques de Zacharie Astruc (1835-1907) faite en 1883 présente à la base des effigies de 10 personnalités : Victor Hugo, Léon Gambetta, Corot, Dumas fils, Hector Berlioz, Jean-Batiste Carpeaux, Gabriel Fauré, Eugène Delacroix, Honoré de Balzac et Jules Barbey d'Aurevilly.

    Zacharie Astruc, est  né à Angers le 8 février 1835, il est mort à  Paris le 24 mai 1907. Critique d’art, poète, peintre et sculpteur, c’est en 1883 qu’il  réalise le marchand de Masques. 

    Jardin du Luxembourg : Le Marchand de Masques

    Acquise par l’Etat,  l’oeuvre est attribuée au jardin du Luxembourg en novembre 1886.

    Jardin du Luxembourg : Le Marchand de Masques

    Le socle de la  statue est entouré de huit masques représentant des hommes célèbres, contemporains de Zacharie Astruc.

    Le personnage central le bras gauche levé, brandit dans sa main gauche le masque de Victor Hugo.

    Jardin du Luxembourg : Le Marchand de Masques

    Léon Daudet dans « Paris vécu » prétend perfidement que Astruc a choisit ses modèles en fonction de leur générosité à son égard.

    ** La statue à perdu 3 masques qui étaient suspendus à son poignet droit : celui de l’homme politique Gambetta, du musicien  Gounod et du poète Théodore de Banville.

    * sources : http://www.paris-a-nu.fr/le-marchand-de-masques-au-jardin-du-luxembourg/

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  • La Liberté quitte les Jardins du Luxembourg pour le Musée d'Orsay

    Désormais la statue de la Liberté éclaire aussi le musée d'Orsay : le Sénat a accepté de lui restituer la sculpture fondue en 1889 par le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi et qui était en dépôt depuis plus d'un siècle dans les jardins du Sénat. 

    La Liberté quitte les Jardins du Luxembourg pour le Musée d'Orsay

    Dès sa création en 1986, le musée d’Orsay, dédié aux arts du XIXe siècle et « héritier » des collections du musée du Luxembourg, a tenté de récupérer cette statue, inscrite à son inventaire. Anne Pingeot, qui était chargée à l’époque des sculptures au musée, s’est notamment démenée pour que cette oeuvre importante soit présentée à Orsay.

    La Liberté quitte les Jardins du Luxembourg pour le Musée d'Orsay

    Pendant plus de vingt-cinq ans le Sénat, majoritairement à droite, a fait la sourde oreille. Peu avant les élections sénatoriales de septembre 2011 – qui ont fait basculer à gauche la Haute Assemblée -, le précédent président du Sénat avait encore rejeté une demande de restitution formulée par le musée, indique M. Badetz.

    « Mais quelques jours plus tard, le musée a été informé que le flambeau de la statue venait d’être volé », dit Yves Badetz.

    L’élection du socialiste Jean-Pierre Bel à la présidence de la Haute Assemblée le 1er octobre 2011 a changé la donne.

    « M. Bel a accepté rapidement la demande du musée lorsque celui-ci l’a représentée », indique-t-on dans l’entourage du président du Sénat. « Il a pensé qu’Orsay était une place idéale pour cette sculpture et par ailleurs des actes de vandalisme sur la statue s’étaient produits ces derniers temps », ajoute cette source.

    La statue, après avoir subi un siècle d’intempéries, a été repolie, ce qui lui redonne de la superbe. Son flambeau a été refait.

    La Liberté quitte les Jardins du Luxembourg pour le Musée d'Orsay

    Le Sénat a fait fondre, à ses frais, une copie qui prendra la place de l’original. (celle de mes photos)

    * sources :  http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/bienvenue/actualites/la-liberte-a-orsay.html

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  • Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

    L'Île du Belvédère est une île située sur le lac du Parc des Buttes Chaumont dans le 19e arrondissement de Paris.

    Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

     

    Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

    D'une superficie d'environ 6 700 m², elle est reliée à la berge par deux ponts : à l'Ouest le pont des Suicidés, en pierre, et au Sud par une passerelle suspendue, en bois.

    Le centre du lac est occupé par une île. Correspondant à une ancienne carrière à ciel ouvert, elle prend la forme d'une falaise de 30 m de hauteur, grossièrement triangulaire. À la ponte sud, l'île n'est distante d'un bord du lac que de quelques mètres.

    Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

    L'île est surmontée d'un kiosque, dit "temple de la Sibylle", construit en 1869 par Gabriel Davioud en s'inspirant du temple de Vesta à Tivoli, en Italie (une construction similaire, également construite par Davioud, se retrouve dans le bois de Vincennes sur l'île de Reuilly).

    Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

    L'île peut être atteinte par deux ponts : à l'ouest, une passerelle suspendue d'une portée de 65 m au sud et par le pont des Suicidés  :

    Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

    La passerelle suspendue

    Le pont des Suicidés est une passerelle en maçonnerie de 12 m de portée et de 22 m de hauteur. Par ailleurs, un escalier de 173 marches pratiqué à l'intérieur du rocher permet de descendre jusqu'au lac.

    Parc des Buttes Chaumont : L'Île du Belvédère et le Temple de la Sibylle

    Le pont des Suicidés

    Pont dit « des Suicidés » à cause de nombreuses personnes, qui n'hésitaient pas à se jeter dans le vide en haut de ce pont. 

    Cliquez sur mes photos pour les voir en grand format.

    * sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_des_Buttes-Chaumont

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