Salon de l'Agriculture 2014 : La Bleue du Nord

La Bleue du Nord est une vache mixte, élevée pour son lait et pour la qualité de sa viande. Elle est très appréciée en Belgique et dans le Nord de la France, où sa facilité d'élevage et sa bonne résistance au froid et à l'humidité sont des atouts appréciés.

Comme toute vache mixte, sa morphologie est robuste, poitrine large et tête carrée. Elle est moins musclée que sa cousine, la Blanc Bleu Belge, mais elles se distinguent toutes les deux par les reflets bleus de leur robe, et leur poil épais.

Initialement exclusivement laitière, elle est originaire de la région de Bruxelles. Aujourd'hui, la race a progressivement été sélectionnée pour sa production de viande, et elle s'est répandue dans toute la Belgique, où elle compte plus de 15.000 têtes.

Elle est également présente dans le Nord de la France, où elle compte 6.000 cornes.

La Bleue du Nord provient de la race bruxelloise Tirlemont, du nom d'une ville du Brabant située au nord de Bruxelles. La deuxième guerre mondiale a réduit de manière drastique le nombre de races locales belges. Ainsi, petit à petit, au cours des dernières années, la Bleue du Nord a reçu du sang de nombreuses autres races de vaches, alternativement à viande ou laitière, au gré des orientations "stratégiques" du moment. Aujourd'hui, depuis cinq à six ans exactement, les éleveurs tendent à privilégier ses qualités laitières.

* Sources : http://www.lavache.com/vamonde/belgique/bleunord.htm

Salon de l'Agriculture 2014 : La Montbéliarde

La Montbéliarde se reconnait à sa robe, aux taches bien délimitées, de couleur "pie-rouge" (une variante de marron-clair) sur fond blanc. Elle doit sa beauté au fait que sa tête et ses membres restent la plupart du temps uniformément blancs.

Elle est grande, environ 1,40 m au garrot, robuste mais assez fine, et son poids se situe généralement entre 600 et 750 kg. La plupart des adorateurs de cette race vous diront que son regard fait partie des plus doux, toujours brillants. Ses cornes, qu'elle porte bien haut, sont claires et coudées vers l'avant.

Elle signe de grands crus fromagers (avec Appellation d'Origine Contrôlée) : le gruyère et le comté, mais aussi le vacherin, délicieux à la petite cuillère. 

Cette vache est également une mère très attentive pour ses veaux, elle est également appréciée pour sa longévité et son adaptabilité.

Vous trouverez des Montbéliardes non seulement en France (en Franche-Comté, Auvergne, Rhône-Alpes, ainsi que dans l'Ouest et le Sud-Ouest de la France), mais aussi en Afrique du Nord et jusqu'au Moyen-Orient et en Amérique, où sa rusticité lui a permis de s'acclimater facilement. 

Tout comme la Normande, elle a faillit disparaître au début des années 1980, supplantée par l'inévitable Holstein. Là encore, c'est la passion des français pour leurs fromages qui est en grande partie responsable du maintien de son rang dans le cheptel français. 

* Sources : http://www.lavache.com/vamonde/france/montbeli.htm

Salon de l'Agriculture 2014 : La Charolaise

La Charolaise est une vache très grande (1,45 m au garrot), musclée, plantée sur des membres courts mais bien solides. Elle pèse en moyenne de 700 à 1.200 kg. Sa rusticité lui permet d'évoluer facilement dans la plupart des élevages, même quand il fait froid.

Sa longévité lui donne une qualité supplémentaire. Son chignon est très large et long, recouvert de poils épais, et sa tête est courte. Ses muqueuses sont roses et ses cornes sont blanches, de taille moyenne, légèrement relevées. Sa robe est blanche uniforme, parfois crème, au poil épais et court.

La Charolaise est une bonne laitière pour son veau, ce qui en fait la première race bovine allaitante française.

Le berceau d'origine de cette vache se trouve en Saône-et-Loire, dans la vallée de l'Arconce, à quelques kilomètres au nord de Lyon.

Cette race est issue de bovins jurassiques qui peuplaient l'Est de la France. Elle s'est installée dans le Charolais à partir du XVIIIème siècle.

Pendant très longtemps, les boeufs y ont été élevés pour le trait, les travaux de force d'une manière générale, puis engraissés pour la boucherie. 

Pour en savoir plus : http://www.animal-services.com/race_bovines_charolaise.php3

Salon de l'Agriculture 2014 : Le Cob Normand

"La distinction du Normand, ses allures hautes et actives en faisaient un cheval de qualité dont l'apogée se situe aux environs de 1900 lorsque le carrossier normand était peut-être le meilleur cheval d'attelage du monde." (Quittet et Richard, les races chevalines françaises, 1953).

Le Cob, demi-sang normand, est issu des mêmes sources génétiques que ce carrossier normand. L'apport du Pur Sang anglais et de Norfolk au XIXe siècle a contribué à son modèle harmonieux et bien alluré.

Le plan "Marschall" poussa la concurrence mécanique motorisée, menaçant toutes les races de trait françaises, les condamnant en général à l'alourdissement pour la production de viande. Le cheval de selle n'était pas épargné non plus, car la guerre, par les blindés et les jeeps, avait définitivement fait abandonner de remonte pour l'armée. En outre, après la libération, les autorités gouvernementales ne croyaient guère en l'avenir d'un cheval de loisirs ou de sports. 

Mais un homme apparut, Monsieur de Laurens de Saint-Martin, directeur du Haras de Saint-Lô, en 1944, il sut développer une synergie remarquable entre les hommes de cheval dans la Manche, avec l'essor des Sociétés Hippiques Rurales. Le cheval de Selle Français commença ainsi sa formidable histoire, par l'utilisation des Purs Sangs Anglais fameux que Fra Diavolo, Foudroyant II, Furisio, Ultimate ou Rantzau, notamment sur des juments Cobs.

Attelage de loisir ou de compétition, randonnées montées, utilisation en ville, le Cob Normand, sportif, mais calme et sûr, est bien armé devant ces nouvelles échéances. 

Pour en savoir plus : http://www.cobnormand.com/fr/race-cob-normand/

Salon de l'Agriculture 2014 : Les chevaux de trait Ardenais

Massifs, puissants, dociles, ils en imposent ! Il y a encore 50 ans, victimes de la mécanisation à outrance de nos campagnes, les chevaux de traits étaient en voie de disparition. Pour des considérations autant économiques qu'écologiques, ils bénéficient aujourd'hui d'un petit regain d'intérêt.

En 2012, on recensait 84 4000 chevaux de trait en France, toutes races confondues. Un effectif en légère augmentation représentant tout de même 13,5 % de l'effectif total des équidés.

De A comme Ardennais à T comme Trait du Nord, 10 races de chevaux de trait sont reconnues et élevées en France. Les races sont liées au terroir, surtout dans la moitié Nord de la France, selon les croisements qui ont été choisis localement, pour produire des chevaux correspondant aux besoins locaux.

L'avenir du cheval de trait en France a fait l'objet d'un rapport établi par AGRO SUP' Dijon (l'institut national supérieur des sciences agronomiques, de l'alimentation et de l'environnement) en collaboration avec FRANCE TRAIT (union des associations françaises de chevaux de trait).

* Sources : http://paris-ile-de-france.france3.fr/2014/02/19/les-chevaux-de-trait-au-salon-de-lagriculture-des-traits-dunion-entre-passe-et-futur-413365.html

51ème édition du Salon de l'Agriculture : Les Percherons à l'Honneur !

Le Percheron est sans doute la plus connue des races de chevaux française. Ce beau et fort cheval normand est représenté dignement au Salon de l'Agriculture.

Présentation des Percherons dans la carrière (ou clairière)

Les Percherons rencontrent toujours beaucoup de succès ... 

La légende raconte que ce magnifique cheval est issu d'étalons arabes amenés dans le comté du Perche au VIIIe siècle. 

Présentation de Astérix de Vanoise, appartenant à Lionel Blanchet (72)

Astérix de Vanoise

51ème édition du Salon de l'Agriculture : Les Percherons

Cette année 10 chevaux percherons ont été retenus pour participer au Salon de l'Agriculture. En voici 3, que j'ai trouvé magnifiques.

Pouliche diligencière de 2 ans : Baghera de la Meule appartenant à Claude Léon (53) Père : Seigneur des Hâtes - Mère : Riviera de la Meule par Lutin de Cannière

Baghera de la Meule

Baghera de la Meule

Baghera de la Meule

Pouliche trait de 3 ans, grande taille : Albane Saint-Avit appartenant à Christian Mottin (53) Père : Ozias du Bourguerin - Mère : Mascotte du Plessis par Favori

Albane Saint-Avit

Albane Saint-Avit

J'ai demandé pourquoi les chevaux étaient toujours dans ce sens dans leur boxe, nous présentant leur croupe plutôt que leur tête. Alors c'est tout simple, c'est à cause du stress ! Il y a tellement de monde au Salon, que les chevaux sont installés de sorte de ne pas voir le public passer et repasser. C'est vrai que pour les photos, c'est pas pratique ... 

Alisé des Longchamps appartenant à Jean-Claude Riblier (61) Père : Safir du Caroi - Mère : Sélie des Longchamps par Storey Creek Knight Cruiser

Alisé des Longchamps

Pour les concours et les présentations, les propriétaires tressent la crinière et la queue de ruban rouge. Rouge étant la couleur des Percherons.

* Sources : Sur place, au Salon de l'Agriculture

51ème édition du Salon de l'Agriculture, Porte de Versailles, Paris

Le Salon de l'agriculture est de retour du 22 février au 2 mars 2014 au Parc des Expositions de Paris, Porte de Versailles. Une nouvelle édition qui ravira les agriculteurs comme les urbains que nous sommes, chaque année à venir plus nombreux au Salon.

Les vaches, taureaux, veaux et chevaux ne sont pas les seuls représentants de la ferme. Ils ne sauraient faire oublier les autres "à poils et à plumes".

Cette année je commence par les lapins. Je les adore.

Les lapins nains, les enfants en veulent tous un !

Les lapins nains sont des lapins issus de la sélection au sein d'élevages des lapins de petites tailles de race "hermine". Les races naines ont été créées pour l'agrément comme animal de compagnie ou de concours.

D'autres lapins aussi beaux et mignons m'ont fait craquer, je ne connais pas leur nom hélas ... 

Peut-être un "Rex-Dalmatien"

Un "Rex-blanc" (?)

Cliquez sur les photos pour les voir en grand format.

Salon de l'agriculture 2013 : La Bretonne (pie noir)

La Pie noir en voie de disparition

Elle appartient au rameau celtique. Elle est arrivée en Bretagne depuis la plus haute Antiquité, au point qu'elle a longtemps été considérée comme autochtone. Les sources les plus anciennes signalent des bovins noirs ou pie noirs dans le sud de la péninsule bretonne : Auray et Quimper, lui donnant le nom local de « morbihannaise » ou de « bretonne pie de la lande ». Elle serait à l'origine des races bretonnes, les autres ayant été croisées d'abord avec le bétail des Vikings, puis plus récemment avec la shotthorn britannique.

 Au XIXe siècle, des éleveurs ont voulu garder leur race pure d'infusion de sang exogène. Ils ont ouvert un livre généalogique en 1919. L'effectif de 1 400 000 têtes au milieu duxix^e siècle a ensuite fondu sous l'influence croissante de races plus productives : d'abord la normande, puis d'animaux de race hollandaise, dont la Prim'Holstein.  Depuis les années 1960, des apports de sang hollandais ou frison ont été faits à hauteur de 5 %.

En 1976, les derniers éleveurs s'alarment du danger de disparition à l'aube des années 1980. L'effectif de départ de 500 têtes dépasse en 2004  les 1000 animaux, dont 800 femelles et 30 mâles disponibles à l' insémination artificielle. 85 % des vaches sont élevées en race pure. Un nouveau plan de gestion de la consanguinité a été mis en place en 2000. Il vise à mieux gérer cet impondérable dans une population limitée.

La photo du weekend : Au Salon de l'agriculture

" Ce matin, je suis allé chez le toubib : j'avais envie de tirer la langue à quelqu'un. " de Régis Hauser ... (Vache Bleue du Nord)

Salon de l'agriculture : Vache Limousine

La Limousine est une vache à viande rustique, habituée aux conditions difficiles en hiver. Sa renommée actuelle repose sur ses qualités maternelles, sa longévité et sa facilité d'élevage (même si son caractère est parfois un peu trop ... « rustique »).

Comme la plupart des vaches bouchères, elle est grande et costaud : jusqu'à 1,55 mètres au garrot, poitrine profonde et culotte épaisse, pour un poids variant de 700 à 950 kg. Sa robe est acajou uniforme (ou "froment vif" pour les puristes), son mufle et ses yeux sont cernés d'auréoles plus claires, tout comme le bout de sa queue. Son poil est très épais et compact, pareil à une grosse couverture. Son buste est long. Sa conformation générale n'est pas très éloignée de celle de la Blonde d'Aquitaine. 
Ses cornes  sont de taille moyenne, claires, tournées vers l'avant, plantées de chaque coté d'un chignon touffu. Ses muqueuses sont claires, et elle a des auréoles plus claires autour des yeux (elle fait donc partie des vaches "à lunettes").

Jadis, c'est à elle que revenait de nombreux travaux de force de la ferme : sa puissance et sa rapidité étaient alors particulièrement appréciées pour le labourage et la traction en général.
Elle peut élever 6 à 7 veaux jusqu'à l'age de neuf ans.

Salon de l'agriculture 2013 : Chabal, un champion de 1 790 kilos

Ce taureau de cinq ans a remporté le concours général lors du Salon de l'Agriculture qui a fermé ses portes dimanche soir.

Il a l'oeil doux et le poil roux bouclé, placide bien qu'à l'étroit dans son box.

Avec 1 790 kg à la pesée, Chabal, un taureau Rouge-des-Près de cinq ans, est la véritable star du 50e Salon de l'agriculture qui s'est terminé ce dimanche à Paris. Elevé à Morannes, dans le Maine-et-Loire, ce spécimen exeptionnel a remporté le concours général haut la main vendredi 1er mars.

Record du monde : 1 922 kg

Et Chabal a de la marge, prévient son éleveur, puisqu’à ce jour le record du monde est détenu par un taureau de 1 922 kilos, qui avait 10 ans lors de la pesée. Rançon de la gloire : Chabal ne goûte plus à la bagatelle en raison de son poids. "D’habitude en rentrant du Salon je lui faisais perdre 300 à 400 kg pour la monte des vaches. Mais cette année, j’ai encore 250 paillettes en stock", confie son éleveur qui anticipe une forte demande. Son champion a déjà 51 veaux à son actif, dont deux lui tiennent compagnie au pré.

Les autres Rouge-des-Près dans le box paraissent bien petits à côté ! 

Salon de l'agriculture : La Jersiaise

La jersiaise est une race bovine anglo-normande. Son nom anglais et international est jersey cattle. Elle est inscrite au catalogue des races françaises sous le nom de jersiaise.

Elle porte une robe fauve plus ou moins foncée, généralement unie ou pie. La tête est toujours plus foncée avec des muqueuses sombres. Le tour du mufle est blanc. Les cornes, en croissant serré, sont dirigées vers l'avant et le bas.
C'est une vache de petit format : 123-125 cm au garrot pour 400 kg chez la vache et 130 cm pour 650 kg chez le taureau.

 La Jersey vient de... Jersey, une île britannique située dans la Manche, au large des côtes françaises, où l'on en a retrouvé des traces datant de plus de mille ans. Elle est une des vaches les plus répandues à travers le monde, avec plus de 15 millions de représentantes. Aux États-Unis, où l'association des éleveurs date de 1868, son troupeau approcherait le million de têtes. En France, la Jersey se fait appeler la Jersiaise et compte quelque 7.000 têtes. Elle y est réputée pour être une très bonne « beurrière » grâce à son lait très riche en matières grasses. Les Français lui ont donné le surnom de « vache aux yeux de biche ».

Salon de l'agriculture : la Normande

S ’il est bien un animal qui se confond avec sa région c’est la Normande au point d’en être devenu emblématique. A l’image des vallons, du bocage et du climat qui l’abrite, la Normande est douce, sa silhouette élégante avec sa robe qui s’accorde parfaitement aux prairies. Contrairement aux dessinateurs qui la caricature abondamment, la Normande n’est pas noire et blanche mais panachée de blond, de marron-fauve et de blanc.

 Selon l’animal, sa robe est parcourue de fines rayures qui donnent l’aspect « bringé » lorsque leur densité augmente. S’il s’agit de tâches plus ou moins dispersées, on évoquera l’effet « caille », « truié » ou « moisi », selon leur intensité. C’est dans cette diversité que séduit la Normande.

Dernière coquetterie la vache Normande porte des lunettes ; enfin, ses yeux sont entourés de tâches de couleur qui lui donnent un air… coquin !

Le Salon de l'Agriculture, qui s'est tenu du 23 février au 3 mars à Paris, Porte de Versailles, vient de célébrer ses 50 ans.

Pour cette édition historique, les organisateurs avaient misé sur 700.000 visiteurs, contre quelque 681.000 en 2012, avait avancé Juana Moreno, directrice du salon, lors d’une conférence de presse. 

Un millier d’exposants, originaires de 22 pays, et 3.500 animaux étaient attendus.
Un "grand dîner à la ferme" — celle du parc des expositions de la Porte de Versailles —  à été organisé le 1er mars : tout le monde était convié et les chapeaux de paille façon canotier étaient les bienvenus, avaient annoncé les organisateurs. 
Un timbre commémoratif avec une vache, portant sur son dos veau, vache, cochon avec Paris en toile de fond sera imprimé par La Poste. 
Deux fermes, une pédagogique, l’autre consacrée au végétal, seront par ailleurs reconstituées grandeur nature. 
Enfin, une boîte à meuh "moderne" a été créée en application smartphone. Elle est déjà téléchargeable.

Le Salon de l'agriculture est « un concentré de la France tout entière, avec des couleurs, des odeurs, des saveurs » et « les accents des territoires », a commenté le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll. 

Source AFP

ARONDE, 7 ANS, VACHE DE RACE NORMANDE

Qui est Aronde ?

Avec ses yeux en forme de lunettes et sa robe caille à tâches blondes, Aronde représentait l’édition 2013 du Salon International de l’Agriculture, les vaches de race Normande. A côté d’elle, se trouvait les 6 autres animaux représentant chacun une espèce présente au Concours Général Agricole des Animaux : les ovins, les caprins, les canins, les porcins, les équins et les asins. Les Normandes sont réputées pour leur lait particulièrement riche en matière grasse et matière protéique. C’est grâce à lui que l’on fabrique les fromages et crèmes normands.  

  Aronde a 7 ans et qui pèse près de 850 Kilos, est une vache bien née ! Depuis son plus jeune âge, elle accumule récompenses et distinctions dans le milieu des concours agricoles : grande Championne du Comice Agricole en 2010, elle réitère son exploit en 2012 en remportant les Championnat adulte de ce même concours. 

Quand elle n’est pas au Salon International de l’Agriculture, elle habite Croix Maré en Seine Maritime, au sein de l’élevage de Mathieu Fercoq.

Voici une petite pause tendresse avec ces deux petits veaux Charolais, trop mignons !