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Par Une fleur de Paris dans Les Galeries Lafayette et Le Printemps Haussmann le 29 Novembre 2013 à 04:52
Vitrines de Noël aux Galeries Lafayette Paris Haussmann : Il était une fois Noël : La Forêt des Chats noirs et le jardin magique des animaux bijoux (2 vitrines)
Lilly et Martin arrivent à la Forêt des Chats Noirs. Le chef des Chats Noirs est impressionnant, il fait peur à Martin.
Ses yeux sont deux grosses pendules, c'est bien la première fois que Martin voit un chat comme ça !
Martin n'a rien d'un ours polaire, c'est juste un nounours en peluche brun, et il n'aime pas la neige, il glisse et il tombe, heureusement que Lilly est là !
Les Chats Noirs décorateurs de sapins de Noël, se moquent de lui. Martin n'est pas content, il n'aime pas cet endroit et veut partir.
Lilly et Martin arrivent dans un pays étrange. Il y a des pendules partout, des abeilles qui sont en réalité des bijoux.
Quel vacarme, on ne s'entend plus ! entre les "tic-tac" des pendules et les "Bzzz-Bzzz" des abeilles, Lilly a mal aux oreilles.
Nos deux amis sont pressés de partir. Pour se faire pardonner du bruit, une gentille abeille donne du miel à Martin.
... A suivre.
Merci aux Galeries Lafayette et merci à ma fille Sarah pour son histoire.
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Par Une fleur de Paris dans Les Galeries Lafayette et Le Printemps Haussmann le 28 Novembre 2013 à 04:03
Vitrines de Noël aux Galeries Lafayette Paris Haussmann : Il était une fois Noël : Le départ et l'arrivée dans le Désert des Neiges et ses sabliers géants (2 vitrines)
Lilly et Martin ont décidé de partir de bonne heure, car Monsieur et Madame Loup habitent très loin.
Minnie la petite souris et amie de Lilly attrape des flocons de neige magique, ces flocons magiques aideront Lilly et Martin dans leur voyage.
Lilly est pressée de partir et ne tient plus en place !
Lilly et Martin arrivent au pays du Désert des Neiges, le pays des Sabliers Géants.
Lilly fait la connaissance de gentils petits lapins, mais ils sont morts de froid dans ce Désert des Neiges. Elle prend un des flocons magiques et demande des écharpes bien chaudes pour tous ses amis.
Elle fait la connaissance d'une gentille famille de chouettes à lunettes.
Papa chouette lui indique le chemin jusqu'à la maison de Monsieur et Madame Loup. Que c'est loin encore et les Sabliers Géants sont presques vides déjà, que le temps passe vite. Lilly et Martin disent au revoir à leurs nouveaux amis et reprennent leur chemin.
... à suivre.
Merci aux Galeries Lafayette et à ma fille Sarah pour son histoire.
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Par Une fleur de Paris dans Les Galeries Lafayette et Le Printemps Haussmann le 27 Novembre 2013 à 05:32
Vitrines de Noël aux Galeries Lafayette Paris Haussmann : Il était une fois Noël : L'étrange invitation
Douze vitrines féeriques pour raconter les douze coups avant minuit
La poupée Lilly et l’ours Martin reçoivent une mystérieuse invitation… De vitrine en vitrine, les deux amis intrépides parcourent un chemin semé de découvertes où des rencontres surprenantes les attendent.
Vite, il faut arriver avant les douze coups de minuit à la cabane de Monsieur et Madame Loup dans les bois pour le festin de Noël et l’ouverture des cadeaux au pied du sapin.
Au gré du parcours, Lilly et l’ours Martin rencontrent tout un bestiaire de personnages amusants dans le désert des neiges et ses sabliers géants, la forêt des chats noirs, le jardin magique aux animaux bijoux, les horloges mobiles des singes à haut de forme gardiens du temps, le salon de Monsieur et Madame Loup qui festoient et fument le cigare et leur sapin chatoyant à découvrir quand l’horloge sonne enfin les douze coups de minuit.
Lilly et Martin reçoivent une étrange invitation ...
La poupée Lilly et son ours Martin s'apprêtent à se coucher. Quand soudain Lilly entend frapper à sa fenêtre. Elle ouvre et une jolie fée entre dans la chambre avec un curieux parchemin dans les mains.
Lilly saute dans son lit pour essayer d'attraper le parchemin.
Les petites souris, amies de Lilly, essaient de réveiller Martin, qui dort à poings fermés.
Lilly a réussi à prendre le parchemin des mains de la gentille fée. C'est une invitation pour le Réveillon chez Monsieur et Madame Loup.
Monsieur et Madame Loup habitent bien loin, faut que Lilly choisisse des vêtements bien chauds. Les petites souris décident de choisir les vêtements de leur amie.
C'est la fête chez Lilly et Martin.
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Pluie d'automne ... (Jardin des Tuileries)
«Ce qu'il y a parfois de beau avec l'automne, c'est lorsque le matin se lève après une semaine de pluie, de vent et brouillard et que tout l'espace, brutalement, semble se gorger de soleil.» de Victor-Lévy Beaulieu
Reflets du Louvre
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Un automne au Jardin des Tuileries
Le Jardin des Tuileries tient son nom des fabriques de tuiles qui se tenaient à l’endroit où la reine Catherine de Médicis a fait édifier le palais des Tuileries en 1564, aujourd’hui disparu. Le célèbre jardinier du roi, André Le Nôtre, lui donne à partir de 1664 son aspect actuel de jardin à la française. Le jardin, qui sépare le musée du Louvre de la place de la Concorde, est un lieu de promenade et de culture pour parisiens et touristes où les statues de Maillol côtoient celles de Rodin ou de Giacometti. Les deux bassins sont propices à la détente. Le musée de l’Orangerie dans lequel les visiteurs admirent des œuvres de Monet est installé au sud-ouest des Tuileries.
* sources : http://www.parisinfo.com/musee-monument-paris/71304/Jardin-des-Tuileries
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La Grande Roue de la Concorde à Paris - Photos de nuit -
Voici deux photos prises vers 17 heures seulement.
«On a besoin dans la nuit de croire au soleil.» Jean-Yves Boulic
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La Grande Roue de la Concorde à Paris
La Grande Roue de Paris fête ses 20 ans et revient cette année Place de la Concorde. Désormais incontournable des fêtes de fin d'année, le manège reprend sa place du 15 novembre 2013 au 5 janvier 2014, pour offrir à tous, une vue unique sur Paris et ses lumières.
Au bout du Marché de Noël des Champs-Elysées et à 2 pas de la grande patinoire qui prendra place cette année, à deux pas, la Grande Roue accueillera à nouveau quelques 300 000 passagers à bord de ses 42 nacelles (dont 1 aménagée pour les personnes handicapées).
Après beaucoup de péripéties et de nombreux rebondissements, la fameuse Grande Roue qui symbolise désormais les fêtes de fin d'année dans la capitale a su tenir bon, grâce à la ténacité du père du plus grand manège mobile du monde : Marcel Campion.
Pour célébrer le second millénaire, une roue spéciale a été implantée, toujours par Marcel Campion, du 1er décembre 1999 au 31 décembre 2000 sur la place de la Concorde, côté Tuileries.
Il reçoit le soutien de nombreuses personnalités pour son maintien ! Depuis, la Mairie de Paris accorde 3 mois d’installation.En dehors de cela, c'est une sortie qui ravi les petits, dont l'idée d'un manège géant en quête de sensations fortes est loin de déplaire.
Un spectacle visuel que vous pouvez découvrir dès le 15 novembre 2013 jusqu'au 5 février 2014 !
* Sources : link
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Place de la Concorde : La Fontaine des Fleuves
La Fontaine des Fleuves fera appel à Gechter (Le Rhône et le Rhin), Husson (La Moisson des vendanges), Lanno (La Récolte des fleurs et la Récolte des fruits) et Brion (L'Agriculture, l'Industrie, la Navigation fluviale).
Moine, Elshoecht et Merlieux sculpteront les trois Tritons et les trois Néréides tandis que Hoegler prendra en charge la sculpture ornementale.
La fontaine des Fleuves représente les statues du Rhin, du Rhône et récoltes agricoles. Tout autour, les statues représentent quant à elles, 8 villes françaises : Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Rouen et Strasbourg. Au centre de la place, un obélisque vieux de plus de 3300 ans est offert à la France en 1831.
Les fontaines de Paris ont d'abord eu une fonction de distribution de l'eau avant leur fonction décorative. Aujourd'hui elles sont surtout observées aux quatre coins de la ville, pour leurs qualités architecturales et artistiques.
On les retrouve dans les parcs, les jardins, les squares ou les places de la capitale.
Je trouve quand même que les deux fontaines, la Fontaine des Mers et la Fontaine des Fleuves se ressemblent beaucoup, faut vraiment bien regarder pour voir la différence !
* Sources : link
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Place de la Concorde : La Fontaine des Mers
La place de la Concorde et la promenade dite des Champs-Elysées deviendront propriété de la Ville de Paris le 20 août 1828. La municipalité demandera quatre ans plus tard à l'architecte Jacques-Ignace Hittorff d'établir un plan d'embellissement de la place. Le projet sera accepté en avril 1835. Les deux fontaines seront inaugurées le 1er mai 1840 par le Préfet Rambuteau.
La fontaine du Nord prend le nom de Fontaine des Fleuves et celle du Sud celui de Fontaine des Mers.
Les bassins, réalisés en pierre de Saint-Nom reçoivent un poli leur donnant l'aspect du marbre. Le fond des bassins est enduit par un ciment romain.
Les vasques, les figures et les ornements sont réalisés en fonte de fer et peints avec un nouveau procédé de peinture couleur de bronze. Les chairs des statues sont de couleur bronze florentin (brun foncé), les vêtements bronze vénitien (vert), les accessoires et les ornements sont dorés. Les éléments en fonte de fer, comme tout le mobilier de la place seront coulés dans les usines de Monsieur Muel, à Fusey dans la Meuse.
La Fontaine des Mers fera appel à Debay (L'Océan et la Méditerranée), Desboeufs (La Pêche des perles, la Pêche des coquillages, la Pêche des poissons, La Pêche des coraux) Feuchères (L'Astronomie, le Commerce et la Navigation maritime). Moine, Elshoecht et Merlieux sculpteront également les trois Tritons et les trois Néréides tandis que Hoegler prendra en charge la sculpture ornementale.
La place de la Concorde, fontaines comprises, sera classée monument historique le 23 août 1937.
Les fontaines subiront des nombreux travaux d'entretien et de réfection. Les peintures des fontaines, déjà altérées en 1844, seront refaites. Les dorures des vasques ne seront pas conservées. La corrosion des fontes obligera la Ville de Paris à démonter les fontaines pour les protéger par un dépôt électrochimique de cuivre en 1861. Un vernis spécial déposé sur le cuivre redonnera un aspect bronze florentin, rehaussé de quelques tons de vert antique, aux fontes cuivrées.
Les fontaines seront très endommagées eu cours de la Commune. Celle des Mers, presque entièrement détruite, sera déposée. Certaines pièces seront coulées en 1871 et 1872, pour remplacer celles qui ont été brisées. Les deux fontaines bénéficieront d'une nouvelle protection à base de dépôts électrolytiques de cuivre.
En raison de l'insuffisance des crédits et l'absence de main d'oeuvre qualifiée, l'entretien annuel de fontaines sera abandonné en 1914. La dégradation des figures sera alors régulièrement camouflée par de la peinture. Les tritons et néréides en fonte des deux fontaines seront remplacés par des statues en bronze en 1932. Les vasques des fontaines seront restaurées entre 1951 et 1955. Il faudra attendre 1998 pour que la ville de Paris approuve le projet présenté par Etienne Poncelet, Architecte en chef des Monuments Historique, et entreprenne la restauration complète des fontaines et vote un crédit de plus de vingt-deux millions de francs, financés pour un tiers par l'Etat. Le chantier de restauration de la Fontaine des Fleuves, commencé au cours de l'été 2000, a pris fin douze mois plus tard.
* Sources : Insécula : link
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Jardin des Tuileries : Tigresse portant un paon à ses petits (1873) Auguste Caïn (1821-1894) Bronze
Auguste Caïn, fils d'un boucher, travaille plusieurs années comme apprenti avec son père. Puis il s'initie à la sculpture dans l'atelier d'Alexandre Guionnet, sculpteur sur bois, puis de François Rude (1784-1855). Il fréquente régulièrement le Jardin des Plantes à Paris pour dessiner sur le vif des attitudes de fauves qui lui serviront plus tard de modèles.
A partir de 1846, Auguste Caïn participe de manière assidue au Salon de Paris. En 1852, il épouse la fille du sculpteur animalier Pierre Jules Mène dont il subira fortement l'influence. Il travaille dans la fonderie de son beau-père qui édite en bronze nombre de ses sculptures.
Spécialisé dans la sculpture animalière de petite taille, Auguste Caïn a une prédilection pour montrer, avec le souci du détail, des animaux dans des situations dramatiques et de combat pour la vie. A partir des années 1860, il reçoit des commandes de l'Etat pour des œuvres monumentales en bronze. Considéré comme un grand sculpteur animalier, il est surnommé en 1879 "le statuaire des lions et des tigres".
* Sources : Nella Buscot : link
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Jardin des Tuileries - Hors les murs, FIAC 2013 : "The Golden Sphère" - Coucher de soleil -
Les sculptures de la FIAC 2013 sont reparties vers d'autres lieux. Mais voici cette Golden Sphere photographiée sous un beau coucher de soleil.
"Les soleils couchants Revêtent les champs, les canaux, la ville entière, d'hyacinthe et d'or." de Charles Baudelaire
«Les soleils couchants ont toujours moins de charme que les soleils levants.» de Franz-Olivier Giesbert
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Jardin des Tuileries - Hors les murs, FIAC 2013 : "Where" and " Here"
JEAN DUPUY-Where, 2013 Acier Corten 308 x 1102 x 14 cm Edition de 3 exemplaires + 1 EA Avec la participation du Centre National des Arts Plastiques Présentées par Loevenbruck, Paris.
Here, 2013 Acier Corten 308 x 800 x 14 cm Edition de 3 exemplaires + 1 EA Oeuvre produite avec le soutien de la Ville de Paris – Département de l’Art dans la Ville.
Jean Dupuy est né en 1925 à Moulins en France. Dans le prolongement de la pratique graphique et anagrammatique de l’artiste, les deux mots HERE et WHERE acquièrent une matérialité et une identité plastique.
La typographie constituée de flèches multidirectionnelles, transposée ici en trois dimensions, se dessine en négatif dans le paysage et constitue pour le promeneur autant un point de repère (« ici ») qu’une perte d’orientation (« où ? »). Ces lettres, découpées au laser, hautes de plus de 3 mètres, contrastent avec le travail d’écriture plus confidentiel de Dupuy.
L’installation permanente Where commandée en 2010 par le Ministère de la Culture géorgien, est visible sur les rives de la ville de Batoumi. A l’occasion de la FIAC 2013, Jean Dupuy crée une deuxième version inédite pour la Ville de Paris.
En savoir plus sur : http://www.fiac.com/hlm2013-jean-dupuy.html#s6vmtr5MwmT9TFuc.99
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Jardin des Tuileries - Hors les murs, FIAC 2013 : "Pont"
SHEN YUAN-Pont, 2004 Céramique, tubes acier 325 x 1100 x 100 cm Présentée par kamel mennour, Paris
Née en 1959 à Xianyou en République Populaire de Chine, Shen Yuan vit et travaille à Paris depuis 1989.
"Pont" favorise la circulation, les échanges culturels mais, lorsqu’on observe son architecture, on se rend compte rapidement qu’il est impossible de l’emprunter.
Cela n’est pas seulement dû à la construction en céramique qui le fragilise, le Pont de Shen Yuan est rendu infranchissable par son propre parapet qui le traverse en diagonale, obstruant le passage.
Cette oeuvre s’inspire de la culture arabe, culture qui a conservé et développé les connaissances héritées des Grecs, et qui, au Moyen-Age, est parvenue en Europe par le Sud de l’Espagne.
Culture qui se retrouve aussi dans l’Ouest de la Chine, et qui permet à Shen Yuan d’évoquer le lien et l’enrichissement mutuel entre les cultures tout en montrant la réelle difficulté qu’il y a dans cette rencontre.
La céramique blanche à glaçure bleue, allusion à la période Chinoise Ming (1368 – 1644), époque d’un prodigieux essor commercial et culturel de la Chine, fait aussi référence aux carrelages traditionnels du monde arabe et donne au Pont de Shen Yuan deux origines différentes mais cependant proches, la Chine et le monde arabe.
En savoir plus sur : http://www.fiac.com/hlm2013-Shen-Yuan.html#BjulwkAfqLLiuPjz.99
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Jardin des Tuileries - Hors les murs, FIAC 2013 : "Sans titre"
FRANCISCO SOBRINO-Sans Titre, 1963-1971 Acier poli miroir 750 x 180 x 180 cm Présentée par la Galerie Jousse Entreprise, Paris
Francisco Sobrino est né en 1932 à Guadalajara, en Espagne. Cette sculpture fut installée initialement en 1971 à Grenoble. Haute d’environ 7,50 m, elle est constituée exclusivement d’un seul et même module minimal, c’est-à-dire une plaque d’acier miroir de forme carrée qui dessine une colonne sans fin une fois qu’elle est répétée plusieurs dizaines de fois selon un emboitement systématique et répétitif.
Si cette réalisation monumentale s’inscrit ainsi dans la lignée de Constantin Brancusi, elle s’avère également contemporaine de Julio Le Parc (aux côtés duquel Sobrino fonde le GRAV en 1960).
Elle préfigure tout autant nombre des sculptures miroitantes de Dan Graham ou encore Jeppe Hein, notamment parce qu’elle combine une géométrie sévère à une apparence des plus inconstantes : soumise à son environnement, en l’occurrence le jardin des Tuileries, elle reflète et convoque, pour aussitôt l’évincer, l’opulence végétale et minérale des éléments alentours. Positionnée dans l’axe historique ouvrant vers la Défense, elle dialoguerait tout autant avec l’Obélisque de la Concorde.
En savoir plus sur : http://www.fiac.com/hlm2013-Francisco-Sobrino.html#DBvAuZDCfdmJhCpd.99
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