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Par Une fleur de Paris le 26 Août 2015 à 06:00
La Garde Républicaine au Jardin des Tuileries
La Garde Républicaine n'est pas uniquement une armée d'apparat. En charge de la protection des hautes autorités : présidents, assemblées, ministères...
Elle comporte un régiment de cavalerie, que l'on peut voir le 14 juillet et lors des réceptions officielles. Rattachée à la Gendarmerie, on peut la voir patrouiller régulièrement dans Paris, notamment dans les Jardins des Tuileries.
La Garde républicaine montée passe le matin et l'après-midi.
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Par Une fleur de Paris le 25 Août 2015 à 06:00
Jardin des Tuileries : Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ...
Petits Bateaux : les bassins viviers du jardin de Tuileries, accueillent une magnifique flotte de petits bateaux à voile de toutes les couleurs.
Equipés d’un bâton, les enfants peuvent s’amuser librement autour du bassin pour organiser la navigation de leur petit navire à voile.
Pour la modique somme de 2 euros la demi heure, vous permettrez à votre enfant de se prendre pour Jack Sparrow et de s'amuser dans l'un des plus beaux endroits de Paris.
Les petits bateaux des Tuileries font partis du décor, on a l'impression qu'ils ont toujours été là. Avec leurs voiles rapiécées de toutes les couleurs, ils forment dans l'un des quatre bassins des tuileries une flotte aussi colorée que ludique. Et à entendre les cris des enfants on peut être sûr qu'ils auront encore de très beaux jours devant eux.
* sources : Paris.fr
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Par Une fleur de Paris le 24 Août 2015 à 06:00
Le Jardin des Tuileries
Le jardin des Tuileries est un parc parisien du 1er arrondissement créé au XVIe siècle à l'emplacement d'anciennes tuileries qui lui ont donné son nom.
Il est délimité par le palais du Louvre au sud-est, la rue de Rivoli au nord-est, la place de la Concorde au nord-ouest et la Seine au sud-ouest. Il est le plus important et le plus ancien jardin à la française de la capitale et qui, autrefois était celui du palais des Tuileries, ancienne résidence royale et impériale, aujourd'hui disparu.
Le jardin des Tuileries est classé au titre des Monuments historiques depuis 1914, au sein d'un site inscrit, et inclus dans la protection du patrimoine mondial de l'UNESCO concernant les berges de la Seine.
La superficie du jardin est de 25,5 hectares, très comparable à celle du jardin du Luxembourg (22,5 hectares).
Au XIIIe siècle, se trouvaient ici des terrains vagues et des fabriques de tuiles. Au XIVe siècle, le prévôt de Paris Pierre des Essarts y possédait un logis et quarante arpents de terre labourable. Puis au xvie siècle, Neufville de Villeroy, secrétaire aux Finances, y fit bâtir un hôtel que François Ier acheta pour sa mère. Catherine de Médicis s'en portera acquéreur et fera raser le bâtiment.
À partir de 1564, Catherine de Médicis, reine veuve de Henri II de France et mère des Rois de France François II de France, Charles IX de France et Henri III de France et de la reine Margot, épouse de Henri IV, fit commencer la construction du palais des Tuileries, tout en débutant l'aménagement d'un jardin à l'italienne à l'ouest de celui-ci, constitué de six allées dans le sens de la longueur et huit dans le sens de la largeur, qui délimitaient des compartiments rectangulaires comprenant des plantations différentes (massifs d'arbres, quinconces, pelouses, parterres de fleurs, etc.). Une fontaine, une ménagerie et une grotte décorée par le célèbre céramiste Bernard de Palissy décoraient le jardin. Dans les années 1605-1625 furent ajoutées une orangerie et une magnanerie.
En 1664, Jean-Baptiste Colbert et Louis XIV ordonnèrent que le jardin soit entièrement redessiné par André Le Nôtre, qui s'était déjà illustré à Vaux-le-Vicomte.
Le petit-fils de Pierre Le Nôtre, architecte de Catherine de Médicis et paysagiste, donna à celui-ci l'aspect qu'il allait conserver, dans ses grandes lignes, jusqu'à nos jours : il perça dans l'axe du palais une allée centrale délimitée à l'est par un bassin rond, à l'ouest par un bassin octogonal ; il construisit la terrasse du Bord de l'eau le long du Quai des Tuileries et la terrasse des Feuillants le long de la future rue de Rivoli ; enfin, il bâtit deux terrasses le long de la future place de la Concorde ainsi que deux rampes en courbe permettant d'y accéder.
Craignant que le public n'abîme le jardin ainsi aménagé, Colbert voulut en réserver l'accès à la famille royale. Mais Claude Perrault le convainquit de la sagesse des Parisiens et de la nécessité que constituait pour eux l'accès à un jardin : on y « parlait d'affaires, de mariages et de toutes choses qui se traitent plus convenablement dans un jardin que dans une église, où il faudra[it] à l'avenir se donner rendez-vous. Je suis persuadé, poursuit-il, que les jardins des rois ne sont si grands et si spacieux qu'afin que tous les enfants puissent s'y promener. »
Et le jardin resta accessible à tous, quoique les entrées étaient gardées. Les terrasses étaient occupées par des cafés et des restaurant. Des chaises étaient à disposition des promeneurs dans la grande allée contre deux sous.
Sous la Révolution, le jardin fut le témoin des grands événements dont le palais fut lui-même le théâtre, notamment la Prise des Tuileries le 10 août 1792. Le bassin rond fut utilisé pour la cérémonie de l'Être suprême le 8 juin 1794. On y avait placé des effigies représentant l'Athéisme entouré de l'Ambition, de l'Égoïsme, de la Discorde et de la Fausse-Simplicité. Maximilien de Robespierre y mit le feu, dans une apothéose de cris et d'applaudissements. Le cortège se dirigea ensuite vers le Champ-de-Mars. Le 10 octobre, ce même bassin accueillit le cercueil de Jean-Jacques Rousseau, drapé d'un drap parsemé d'étoiles (exhumé d'Ermenonville pour être porté au Panthéon).
Aux angles occidentaux du jardin, Napoléon III fera construire deux bâtiments identiques abritant respectivement :
- un jeu de paume au nord-ouest hébergeant de nos jours un musée d'art contemporain, la galerie nationale du Jeu de Paume ;
- une orangerie au sud-ouest accueillant aujourd'hui un musée d’Art moderne, le musée de l'Orangerie.
* sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jardin_des_Tuileries
À suivre ...
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Par Une fleur de Paris le 7 Novembre 2014 à 08:42
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : "Beautiful Tube" de Lang et Baumann
Beautiful Tube #3, 2014 Bois peint
Dimensions variables-Présentée par la Galerie Loevenbruck, Paris | FIAC
Sabina Lang est née en 1972 à Berne en Suisse et Daniel Baumann est né en 1967 à San Francisco, aux États-Unis.
Ils vivent en Suisse et travaillent ensemble depuis 1990. Au travers d’une analyse initiale scrupuleuse du contexte de leurs interventions, Lang/ Baumann initie un dialogue avec l’existant, souvent en excitant de manière ludique notre curiosité et en mettant en question nos modes de perception habituels. Leurs propositions manifestes visent à établir une ambivalence ténue entre des catégories à priori clairement établies comme espace public et espace privé, familier et étrange, art et fonctionnalité. Pour le Jardin des Tuileries, le duo installe Beautiful Tube #3, un "white cube" rectangulaire suspendu aux branches d’un arbre.
Cette pièce suggère un point de vue imaginaire et inaccessible, contrastant au sein de l’environnement de l’arbre, tout en oscillant en harmonie avec lui. La pièce évoque également l’artificialité des aménagements humains de la nature, en mobilisant une construction prenant place au cœur d’un cadre naturel.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/fr/hlm2014-lang-baumann.html#i8H994QjSfsIkCAq.99
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Par Une fleur de Paris le 6 Novembre 2014 à 08:57
Couleurs d'automne au Jardin des Tuileries
Avant de continuer la FIAC 2014, quelques photos d'automne au Jardin des Tuileries.
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Par Une fleur de Paris le 5 Novembre 2014 à 10:07
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : New Age Demanded de Jon Rafman
New Age Demanded (Angel Racer Marble), 2014 Marbre
Présentée par Balice Hertling, Paris | FIACJon Rafman est né en 1981 au Canada, il vit et travaille à Montréal.
Il explore dans son travail les paradoxes de la modernité, les sources de la solitude et de l’aliénation de l’individu contemporain. En usant d’humour, d’ironie et de mélancolie, son travail se déploie par l’usage des médias digitaux et par le riche potentiel offert par les nouvelles technologies.
Il s’inscrit pourtant dans un héritage classique de la fonction de l’artiste, devant représenter l’impossible. Il poursuit cette quête en utilisant des logiciels de création 3D qui lui permettent de réaliser ces sculptures de marbres taillées au laser.
Si l’artiste a déjà créé, grâce à ce processus, plusieurs bustes, il présente pour la première fois une production monumentale de deux sculptures. C’est avec grâce et poésie que Rafman poursuit l’utopie de l’artiste démiurge produisant des formes impossibles et parfaites.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/fr/hlm2014-jon-rafman.html#zWD5K9cDjIYP1cfu.99
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Par Une fleur de Paris le 4 Novembre 2014 à 08:45
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : Pailles de plastique de Michael Beutler
Michael Beutler Ballenernte, 2014 Pailles de plastique
Dimensions variables Présentée par la Galerie Nagel Draxler,
Berlin, Cologne et la Galerie Bärbel Grässlin, Francfort | FIAC
Michael Beutler est un artiste allemand né en 1976 à Oldenbourg.
Il vit et travaille actuellement à Berlin. Ses impressionnantes créations – des installations et des objets gigantesques et voraces – sont le résultat d’un processus méthodique singulier. En fixant son attention sur les formes structurelles, l’artiste construit des machines à l’aide de différents matériaux. Par son travail, Michael Beutler offre une réflexion sur les structures sociales et architecturales de l’exposition, qui sont à la fois le lieu de production et l’espace de leur présentation.
Son projet le plus récent, «Ballenernte» (récolte de bottes) est actuellement exposé à la «Kunstareal» de Munich. Chaque année, après la récolte, les agriculteurs ramassent le foin resté dans leurs champs. Suivant des lignes droites, la presse à balles passe sur la paille fraîchement coupée, qui est collectée à l’intérieur de la machine par des fourches rotatives.
Le foin est ensuite retourné et pressé en bottes, et celles-ci sont finalement rejetées dans les champs. Une fois éjectées hors de la machine, elles roulent dans les champs jusqu’à ce qu’elles s’immobilisent. Ce processus est répété jusqu’à ce que le champ soit entièrement dégagé. Toutefois, les balles de Michael Beutler ne sont pas en foin. L’artiste a préféré utiliser de longues pailles en plastique. En choisissant ce matériau, il fait se rejoindre la vie moderne et les méthodes de récolte rurales. Différents motifs apparaissent selon la couleur des pailles et leur combinaison.
Grâce à cette technique, chaque botte constitue une œuvre d’art unique. Michael Beutler a créé un grand nombre de bottes pour la ville de Munich, qui sont exposées autour de la Alte et de la Neue Pinakothek jusqu’au mois d’octobre prochain. Pour l’artiste, il est parfaitement logique de transférer son travail dans le jardin des Tuileries, un espace vert situé au beau milieu d’une métropole.
* Sources : http://jourstranquilles.canalblog.com/tag/Jardin%20des%20Tuileries
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Par Une fleur de Paris le 3 Novembre 2014 à 03:24
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : Magna Mater Les Frères Chapuisat
Magna Mater, 2014 Bois épicéa
Présentée par la Galerie Mitterrand, Paris-Œuvre réalisée avec le soutien des Charpentiers de Paris
Les Frères Chapuisat développent une œuvre qui relève autant de la sculpture monumentale que de la micro-architecture.
Leurs installations confrontent les visiteurs à une double expérience : d’abord frontale, les œuvres agissent comme des sculptures aux dimensions souvent spectaculaires, puis intérieure, elles invitent à entrer dans les constructions pour éprouver des sensations ambigües.
Ses structures évoquent des rêves, des peurs ou des expériences de l’enfance, et affirment une convergence entre l’art et la vie. Magna Mater fait ici référence à la divinité Cybèle d’origine phrygienne, qui personnifie la nature sauvage.
A la fois contrepoint massif de la pyramide du Louvre et aire de jeux en bois s’intégrant au cadre du jardin, cette installation associe architecture sacrée et instinct ludique.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/fr/hlm2014-freres-chapuisat.html#TDpEoWTcFbwxAylQ.99
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Par Une fleur de Paris le 31 Octobre 2014 à 06:48
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : "Louise Fuller" de Georg Baselitz
Hommage à la danseuse américaine Loïe Fuller (1862-1928) , célèbre pour ses danses de voiles qu’elle faisait tournoyer dans ses chorégraphies.
Louise Fuller, 2013-Bronze, patiné
Présentée par la Galerie Thaddaeus Ropac, Paris, Salzbourg | FIAC
Georg Baselitz, né Hans-Georg Kern en 1938 en Saxe allemande, vit et travaille dans son atelier sur le lac Ammersee, près de Münich.
Son travail s’est construit autour de la rupture liée aux traumatismes sociaux, politiques et humains de l’histoire allemande du XXème siècle. D’abord peintre, qualifié de néo-expressionniste dans les années 80, il est fortement influencé par l’art brut, par les écrits et dessins d’Antonin Artaud et par la sculpture africaine. Baselitz, sculpteur, travaille exclusivement le bois à la hache ou à la tronçonneuse.
Le caractère direct de cette technique lui permet d’exprimer autrement le radicalisme de son coup de pinceau. Mais depuis dix ans, Baselitz travaille étroitement avec la fonderie Noack, qui réalise des tirages de bronze à partir de ses bois.
Ce bronze monumental est ici une douce parodie de la danseuse américaine Loïe Fuller, célèbre pour ses danses de voiles qu’elle faisait tournoyer dans ses chorégraphies.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/en/hlm2014-georg-baselitz.html#KoZh7sDxQSW4p5lJ.99
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Par Une fleur de Paris le 30 Octobre 2014 à 05:08
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : "Giant Figure" (Cyclops) de Thomas Houseago
Giant Figure (Cyclops), 2010-Bronze, patine noire
Présentée par Xavier Hufkens, Bruxelles | FIACImpressionnant non ? 4,5 m de hauteur ! Il nous regarde fixement, sauvagement. Et s'il se réveillait ?
Né en 1972 à Leeds en Angleterre, Thomas Houseago vit et travaille à Los Angeles.
Il crée des sculptures monumentales, souvent figuratives qui ont une capacité remarquable de transmettre de manière simultanée des états de puissance et de vulnérabilité.
Un air de "Robocop" !
L’utilisation de matériaux associés à la sculpture classique et moderne (comme le bois sculpté, l’argile, le plâtre et le bronze), ainsi que des matériaux moins traditionnels tels que des tiges d’acier, de béton et de toile de jute, lui permettent de créer des sculptures qui révèlent avec force tout le processus de fabrication.
Alors que l’œuvre de Houseago peut être considérée comme le prolongement d’une tradition sculpturale historique, les combinaisons particulières de matériaux, l’inclusion de références tirées de la culture populaire et l’interaction inhabituelle entre deux éléments tridimensionnels, remettent en cause la hiérarchie inhérente à des formes visuelles ainsi que les matériaux et les valeurs qui leur sont associés.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/fr/hlm2014-thomas-houseago.html#hz6iRySZ0bV6mW9V.99
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Par Une fleur de Paris le 29 Octobre 2014 à 03:28
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : "Fontaine aux Nanas" de Niki de Saint Phalle
Article hommage à Niki de Saint Phalle qui aurait eu 84 ans aujourd'hui
Fontaine aux Nanas, 1974-1991-Polyester peint, système électrique
Présentée par la Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois, Paris | FIACNiki de Saint Phalle est née le 29 octobre 1930 à Neuilly- sur-Seine et décédée en 2002 à San Diego.
Grâce à sa rencontre avec Jean Tinguely, elle se rapproche du groupe des Nouveaux Réalistes en 1961 et se fait connaître internationalement avec ses « Tirs », des reliefs en plâtre dans lesquels sont dissimulés des sachets de peinture et sur lesquels le public est invité à tirer à la carabine.
C’est en 1964 qu’elle produit ses premières « Nanas » en papier mâché ou en résine aux allures plantureuses et aux couleurs violentes, figures qu’elle présente comme des femmes libérées et joyeuses, à la fois combattantes et sexy.
Elle les intègre régulièrement dans ses projets monumentaux et conçus pour les espaces publics, tels le Paradis Fantastique ou la Fontaine Stravinsky. La Fontaine aux Nanas est l’une des premières créées par l’artiste ; on en retrouve un exemplaire ornant le Jardin des Tarots en Italie.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/en/hors-les-murs/home-jardin-des-tuileries/tuileries2014_copy/hlm2014-nikide-saintphalle?lg=fr#ljwwqM3dpoLXvw3l.99
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Par Une fleur de Paris le 28 Octobre 2014 à 03:35
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : "La Traversée" de Jean Denant
La Traversée, 2014-Découpe numérique d’inox poli-miroir, jardin, ciel
Présentée par la Galerie Anne de Villepoix, Paris | FIACNé en 1979, Jean Denant vit et travaille à Sète.
Son travail se positionne entre chantier de construction et cabinet d’architecte. Ses oeuvres sont à la fois des projections mentales de conceptions architecturales et des espaces physiques de construction. Il installe dans le Jardin des Tuileries un reflet au sol aux contours de la Méditerranée, telle une mare de mercure à la surface argentée, embrassant le paysage environnant.
La carte muette de cette mer au milieu du monde figure un pays sans cesse traversé par les habitants de ses rivages.
Voyages, migrations, exils ou routes mirifiques sillonnent ce pays calme et pourtant dangereux. Quant au miroir, psyché probablement imaginé dans les luisantes obsidiennes des rives volcaniques de l’Anatolie, il inspire toujours d’immémoriales légendes et accompagne nos voyages intérieurs.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/fr/hlm2014-jean-denant.html#ulgSFAJLDOEm5mJo.99
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Par Une fleur de Paris le 27 Octobre 2014 à 06:27
FIAC 2014 Jardin des Tuileries : "Fanny Fanny" de César
Introduction :
Pour la neuvième année consécutive, la FIAC s'associe au le Domaine national du Louvre et des Tuileries pour présenter, au cœur du Jardin des Tuileries, un programme d'œuvres extérieures.
L'intérêt croissant des galeries et des artistes, ainsi que le cadre exceptionnel du jardin, permettent de rassembler chaque année une vingtaine de projets conjuguant installations, sculptures, performances ou œuvres sonores qui, en interaction avec le public, prennent corps entre les allées, les bassins et les pelouses du jardin. Un public de plus en plus important témoigne d'un vif intérêt suscité par le parcours des Tuileries et d'une attention particulière portée à la création moderne et contemporaine. Un service de médiation culturelle sera assuré par les étudiants de l' Ecole du Louvre du 23 au 26 octobre 2014 de 15 h à 17 h 30 qui répondent aux questions du public et présentent les œuvres pendant la semaine de la FIAC.
Fanny Fanny, 1991-Éléments de bronze soudés
Presented by Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois, Paris | FIACCésar Baldaccini est né en 1921 à Marseille et décédé en 1998 à Paris.
Si César est aujourd’hui plus connu pour ses compressions et ses expansions, il s’est toujours présenté comme un sculpteur « classique ».
Le Bestiaire qu’il développe en fer soudé dans les années 50 sera un vivier tout au long de sa carrière pour réinterpréter ses propres motifs, à l’instar d’un Rodin, pour ré-inventer sa propre sculpture.
Ainsi, la rare et monumentale Fanny Fanny, créée en 1991 à partir d’éléments de bronze soudés, reprend la technique du célèbre Centaure qui orne la Place de la Croix Rouge à quelques pas du Lutetia.
En savoir plus sur http://www.fiac.com/en/hlm2014-cesar.html?lg=fr#LC63Q1D9szydrv7v.99
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Par Une fleur de Paris le 29 Août 2014 à 05:23
Jardin des Tuileries : La Seine et Marne de Nicolas Coustou
Ce groupe était destiné à la pièce d'eau des Nappes du parc de Marly, avec la Loire et le Loiret de Corneille Van Cleve ainsi que des groupes représentant d'autres rivières réalisés par les sculpteurs Anselme Flamen et Simon Hurtrelle.
Le modèle en plâtre date de 1699.
Le groupe a sera transféré près du bassin occidental du jardin des Tuileries, en 1719.
Transporté au Louvre en 1993, il a été remplacé par un moulage (La tempête de 1999 ne l'a pas épargné).
Artiste : Nicolas Coustou - Modèle : La Seine et la Marne - Date : 1712
Matériaux : Moulage - Acquisition : Commande - Sculptures dans la ville
* Sources : http://www.insecula.com/oeuvre/O0007399.html
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Par Une fleur de Paris le 28 Août 2014 à 04:37
Jardin des Tuileries : The Welcoming Hands de Louise Bourgeois
" Si tu ne sais pas quoi faire de tes mains, transforme les en caresses. " Jacques Salomé
"Les mains de bienvenue : ce sont des mains amicales. Vous voyez ces mains ouvertes, cet entrelacement de formes et cette prise ferme. Les mains sont vulnérables et accueillantes. C'est le désir de toucher et d'être touché, de bercer et de caresser. Elles expriment la manière dont un adulte tient la main d'un enfant, avec un sentiment de protection et d'affection. Les mains sont généreuses, elles révèlent "nous aimons, quoiqu'il arrive". Chacun à son importance, chacun à un rôle, chacun est bienvenu."
Louise BourgeoisLouise Joséphine Bourgeois, née à Paris le 25 décembre 1911 et morte à New York le 31 mai 2010, est une sculptrice et plasticienne française, naturalisée américaine.
Louise Bourgeois est née en France et y a grandi, mais l'essentiel de sa carrière artistique s'est déroulé à New York, où elle s'est installée en 1938 après avoir épousé l'historien d'art américain Robert Goldwater (1907-1973).
Artiste : Louise Bourgeois - Date : 1996 - Matériaux : Granit, Bronze patiné au nitrate d'argent
Acquisition : Dépôt du Fonds national d'Art contemporain (2000) - Sculptures dans la ville
* Sources : Wikipédia
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